Interrogatoire de Xion

Une pièce sombre et froide dans le pays le plus chaud du continent. Une chaise en bois. Des murs, en sable mêlés de pierre blanche, souillés par le sang et la souffrance qui a reigné en seul maître dans ce local à quelques mètres sous-terre. Un lieu longtemps inutilisé depuis le règne de mon « père », Yondaime Kazekage. Aujourd'hui en ce jour hivernale mais de température médium, cette salle reprendra son rôle. Un homme aux cheveux mi-longs, gris clairs. Il affirme être vécu dans un autre monde, en ce qui est mon point de vue, je pense plutôt qu'il est un des nombreux espions des pays alentours. Je n'ai pas de certitude mais je le pense beaucoup. Il arrivait cinq minutes après on arrivée, maintenue et accompagné par le capitaine Yuura, chef de la première division de surveillance et de protection du villaga de Sunagakure No Sato.

L'homme d'une grande taille entre dans la pièce sans ne laisser paraître un quelquonque frisson. Je le fais donc assoir sur cette chaise d'une bien mauvaise qualité. Je ne disai aucun mot au fugitif, tournant d'un pas lourd mais réguliers autour de sa chaise. Ce fut le capitaine Yuura qui commença l'interrogatoire avec une voix plûtot confiante à ce moment en lui posant une première question:

- Pour quel pays espionne tu, qui es-tu ?

Il le répétait plusieurs fois au fugitif ... Je tournai autour du lui m'arretant et sortant de la pièce pour laisser seul le capitaine Yuura. Je n'avais aucune idée de ses origines, apart peut être Kumo mais pourquoi ? La mission aux dernières nouvelles se déroulait très bien sans aucun souci mais le doute persistait tout de même. J'attendais donc adossé contre le mur exterieur et chaud de la salle d'interrogatoire.

Je vis alors passer quelques jeunes habitants entrain de jouer au ballon lorsque leur mère me fixa et partit avec ses enfants d'un pas précé.

* Tsss ... Pauvre femme! Ton point de vue est celui d'un noble architecte quoi qu'il se passe il reste le même ...*

Je décidais donc de ré-entrer dans le petit local assez discretement à l'abris des regards indiscrets.

Xion arriva à Suna en pleine journée, la chaleur était peu supportable mais il en avait l’habitude, mais se qui lui faisait d’avantage supporter la chaleur c’étais qu’il était finalement arriver a c’est fin, en réussissant à trouver par c’est propres moyen un village qui ne sembler n’avoir aucune localisation géographique au yeux du monde. Mais malheureusement pour lui l’accueil fut loin d’être chaleureux et bien vite plusieurs ninja arrivèrent lui bloquant le passage, il décida donc de le laisser prendre pour ne pas envenimer sa situation. On l’emmena après jusqu'à un homme beaucoup plus important, le capitaine Yuura chef de la division de surveillance.
Après quelque seconde à l’observer le capitaine décida de l’emmener dans la salle d’interrogatoire, il était improbable qu’un simple civil puisse survivre aussi bien au désert et arriver à localiser l’un des villages cachés.

Il arriva dans la salle d’interrogatoire où l’air était plus froid qu’a l’extérieur, mais très vite il remarqua une nouvelle personne, celle-ci sembler plus importante mais elle ne lui adressa aucun mot avant de sortir de la salle. Il s’assit alors sur la chaise usée, juste avant que le capitaine ne lui pose des questions.

- Pour quel pays espionne tu, qui es-tu ?

Xion resta étrangement calme, et se prit même le luxe de ne pas répondre directement à la question. Se qui ne jouer pas en sa faveur mais c’était là un trait de sa personnalité, et dit d’un ton supérieur mal placé.

- Je me nome Xion et je ne suis pas un espion d’un autre pays… d’ailleurs je n’ai pas de pays…

Il resta ainsi sans ajouter un seul mots, quand l’autre personne rentra a nouveau dans la salle d’interrogatoire. Mais se qui troubler Xion se n’étais pas vraiment l’interrogatoire, mais quel pouvait bien être la puissance des hommes qui lui faisait face. Il détacha alors sont regard des deux hommes et observa le plafond... il savait qu'agire de cette manière provoquerais sans doute leurs réactions, et même si il devait souffrir il devait savoir.

Alors que je venais d'entrer de nouveau plus discrettement dans cet salle, je restais dans l'ombre, laissant dépassé au yeux de tout deux mais cheveux d'une couleur bordaux. Le questionné prétendait se nommer « Xion », plutôt un drôle de nom pour un espion qui prétendait ne pas l'être ... Mais il affirmait surement cela pour ne pas causer d'ennui à son serviteur. Alors que le Capitaine Yuura lui reposait cette question plus d'une dizaine de fois, l'homme au cheveux mi-long gris pris le luxe de ne pas y répondre. J'affirma donc au Capitaine Yuura de me laisser seul avec lui suivit d'un petit rire ironique.

Je regardais cette homme, les yeux exorbité sur son visage, le fixant droit dans les yeux. Aucune réaction n'était à déploré à son égard. Je lui reposait toujours cette même question ... Il répondait toujours cette même négation qu'il avait affirmée plusieurs fois au Capitaine Yuura. De ma manche, je sortais un Kunaï peu ordinaire que je n'avais pas l'habitude d'utiliser, en effetc ce Kunaï était recourbé épousant une forme de vague ou de cou pour mieux le transperser.

- Parle ! Pour qui travailles-tu ? D'ou viens-tu ?

Lui répaitais-je sans qu'il ne réponde. Je le regardais d'un air sadique, haussant mon arme sur son corps et plus particulièrement sur son dos lorsque le Kunaï transpersa sa chaire avec un bruit d'ouverture de carton comme une fissure formée au niveau de la vingt-troisième vertebre de sa collone vertebrale. L'homme se pliait en deux, ne répondant pas peut-être à cause de la souffrance ou de la culpabilité. Je restais donc impatient de recommencer cet acte qui me fit temps du bien ...

L’homme ne réagissant pas vraiment comme il l’avait prévu et n’avais pas laisser un sentiment de haine le submerger… Le capitaine sur les ordres de l’inconnu avait quitter la salle dans un rire machiavélique de l’inconnu, il se trouver désormais seul dans la pièce avec lui, il sorti alors de l’ombre de la salle… a se moment Xion pu apercevoir le visage de celui qui sembler être le supérieur du capitaine Yuura. Les yeux exorbité de l’inconnu ne le gêné pas vraiment mais un points éveilla sont attention, le Kanji qui se trouvait sur sont front… L’homme s’approcha et il pu alors clairement distinguer le Kanji. Il le regarda alors fixement droit dans les yeux, sans que Xion ne montre aucune réaction. Il me reposa plusieurs fois la même question je lui répondit alors la même chose que j’avais précédemment dite à la virgule près… Il sorti alors une arme étrange, un Kunai recourber avant de reposé a nouvelle fois a peu près la même question mais cette fois d’une façon plus sadique.

- Parle ! Pour qui travailles-tu ? D'ou viens-tu ?

Xion décida alors de ne rien dire, histoire d’évaluer la situation, bien que l’homme sembler menaçant avec sont arme, mais répéter encore une fois la même chose était au-delà de ses capacité, il se serait probablement énerver se qui n’aurait pas était plus à sont avantage…

Il senti alors l’arme tranchante sur sont dos, si il ne se mettait pas à parler il serait probablement paralysé mais sa fierté l’en empêcher…la lame commença alors a s’enfoncer dans sa chaire laissant ainsi des filés de sang sortir de la plaie arrivant tant bien que mal a contrôlé sa douleur, quand il senti alors une sensation étrange au niveau de sa colonne… il se plia en deux se retenant de crier même si la douleur était extrême.
Après plusieurs minute pour essayer de supporter d’avantage la douleur, il releva la tête et défier du regard l’inconnu.

- …hum …Dite moi c’est étrange un tel Kanji sur votre front...

Ce fut les seuls mots que prononça Xion ne trouvant rien d’autre a redire, puis que tout se que cette personne voulais savoir, le savait déjà…

Cela faisait plusieurs heures que Xion se trouver prisonnier dans cette salle d’interrogatoire, sans avoir de réel conscient du temps pendant lequel il était retenu… Il soufrait le martyr avec les nombreux coups de couteau qu’il avait reçut dans le dos… pour être exacte deux coups au niveau des vertèbres… même si sa mauvaise fois l’empêcher d’avouer être en mauvaise position il se décida tout de même a répondre de façon sérieuse… la situation échapper complètement à sont contrôle mais il usa encore une fois d'un humour quelque peu de mauvais goût...

"Bon… Je vais vous dire pour qui je travail... approcher... Je travail pour le marchant du coins qui ma demander de lui rapporter un croissant de Suna... quand à mon village… vas voir dans se qu’il te reste de cervelle, tu le trouvera sûrement… Comme je vous l’ai dit je ne vient pas de se que vous appeler "village caché" ou "village ninja"… Je suis née dans un village ou les ninja n’existe pas… bien loin de vôtre pays pour vous donné une idée j’avais a peine 10 ans lorsque mon village à était détruit pour arriver dans vôtre pays… Vous êtes vraiment boucher dans ce village… caché soit il…"

Il cracha alors un peu de sang sur le sol, avant de lever sont regard vers l'étranger.

Je ne fis pas attention aux questions que l'individus me posait, fixé sur mon objectif à découvrir quelle était belle et bien sa nationalité. Je le regardais attentivement entrain de se morfondre sur cette chaise à demi-peinte par un sang sec et inodore. Soudain il cracha une substance rougeâtre raclé par sa gorge. Du sang ... Du Sang, j'enlevai immédiatement mon pied pour ne pas me salir lorsqu'il m'affirma d'une voix assez écartelé ceci:

"Bon… Je vais vous dire pour qui je travail... approcher... Je travail pour le marchant du coins qui ma demander de lui rapporter un croissant de Suna... quand à mon village… vas voir dans se qu’il te reste de cervelle, tu le trouvera sûrement… Comme je vous l’ai dit je ne vient pas de se que vous appeler "village caché" ou "village ninja"… Je suis née dans un village ou les ninja n’existe pas… bien loin de vôtre pays pour vous donné une idée j’avais a peine 10 ans lorsque mon village à était détruit pour arriver dans vôtre pays… Vous êtes vraiment boucher dans ce village… caché soit il…"

Peût-être disait-il la vérité mais comment en être sur, un ton plutôt confient mais n'avait-il pas été entraîné à ceci. oudain j'accepta d'un signe de tête son aprobation plutôt tengeante puis d'un air assez mécontent, j'appelai d'un voix basse le capitaine Yuura qui se trouvait à l'entrée de la porte.

- Il n'a rien avoir avec un pays, il semble assez sous-instruit, vos pouvez le relacher.

D'un signe ponctuelle, mais assez douteux, le capitaine entra de nouveau dans la pièce froide et relacha l'individu maintenant ... Membre du village de Sunagakure No Sato

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