Planete Naruto
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L'histoire originale du jeu de rôle du quatrième âge de la terre du milieu
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 Présentation de Arisa Yuhi

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AuteurMessage
Invité
Invité
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Présentation de Arisa Yuhi Empty
MessageSujet: Présentation de Arisa Yuhi   Présentation de Arisa Yuhi Icon_minitimeVen 20 Aoû - 2:39

PRESENTATION

Nom : Yuhi. Un nom qui devait avoir une signification, dans l'ancien monde, peut-être même un certain nombre de frères, impliquant des liens - mais qui a perdu toute sa valeur, ici et maintenant.
Prénom : Arisa
Age : 13
Grade souhaité : Genin (pourquoi se passer de l'occasion de se plaindre des crachats et autres joyeusetés réservées aux sous-espèces du Niganmen ?)


Physique/apparence :
Arisa est une fille à la jeunesse altérée par une moue perpétuellement railleuse. Ses lèvres roses-orangées sont tirées en un rictus peu amène qui la défigure, faisant oublier l'ovale parfait de son visage, et l'attrait de ses grands yeux marrons - qui tireraient presque sur le rouge, lorsque l'éclairage s'y prête - doublés de cils encore délicats et fragiles. Se dressant au dessus de ceux-ci, deux longs cils noirs, extrêmement fins, tirés jusqu'aux tempes, s'accordent à ses cheveux blonds, coupés avec difficulté au niveau de ses épaules.

Grande et mince par nature, elle est dotée de anches larges qui la contraignent à se tenir perpétuellement penchée de côté, une main sur la taille - attitude souvent jugée, à tort, provocatrice. Sa poitrine, désespérément plate, la protège néanmoins de tout assaut indésirable.
Indifférente aux avis extérieurs, elle cultive une blancheur de peau irréprochable, qu'elle a cependant ternie d'un long tatouage pour ses treize ans ; un dragon aux couleurs chatoyantes, constitué, à y regarder de plus près, d'un assemblage de plaques en forme de lames de couteau juxtaposées. Sa gueule, qui lui dévore le cou, précède un corps serpentant jusqu'à l'arrière de ses mollets, puis ses chevilles, où se plantent ses griffes. Cette œuvre, qui semble bien trop travaillée pour une jeune fille faisant si peu de cas de l'esthétique, est dissimulée sous de grands châles dorés dont elle s'encombre en hiver, et de grandes étoffes de gaze qu'elle aime à caresser en été - toujours accordées aux fleurs tressées dans ses cheveux. Il s'agit là du seul effort vestimentaire qu'elle ait pu faire, tout au long de son existence, à travers laquelle elle se déplace vêtue sobrement, vestige d'une enfance paysanne qui l'aura marquée.
Autre signe de ce passé peu glorieux, des pieds extrêmement rugueux, tant elle s'est amusée à courir dans la terre sans être chaussée, et une musculature, qui bien que dissimulée sous une constitution gracile, est bien développée.
De près comme de loin, cette adolescente s'apparente à une silhouette sombre et tordue, dont l'intérêt n'est que modeste.


Qualités : Arisa est une jeune fille extrêmement déterminée, fière, et sûre. Ses choix ne sont jamais regrettés, puisque toujours en accord avec ses convictions profondes. C'est donc dans cette optique, puisqu'elle s'allie aux bonnes personnes, qu'on peut la qualifier de fille loyale à toute épreuve.
Occupant la plus grande majorité de son temps à cibler et synthétiser ses pensées (elle cultive une passion toute particulière pour les listes et les schémas explicatifs), elle a développé quelques capacités de réflexion qui font d'elle un relativement bon stratège.

Défauts : Revers de la médaille, si Arisa est extrêmement déterminée, elle est aussi extraordinairement butée (entêtée, obstinée, quelle que soit la formulation, ça ne parait pas plus flatteur, de toutes façons...). Une fois sa décision prise, elle ne revient pas sur sa décision, et une fierté mal placée la vouera à mentir, fuir ou se cacher - toujours avec l'air impassible de la fausse innocente - plutôt que d'admettre ouvertement et publiquement, une fois ses méprises réalisées, qu'elle a eu tort.
Principal trait de son caractère, son peu d'estime de soi hante la jeune fille. Il s'agit d'une haine féroce qui s'insinue dans la moindre de ses pensées, le moindre de ses actes, et guide même la voie de celle-ci à plus grande échelle. Cette haine, elle l'étend aux autres ninjas, ce qui la rend particulièrement antipathique.

Peur : Arisa est terrifiée par les feux d'artifice. Si elle s'accommode des explosions et les jaillissements de fumées, la moindre étincelle colorée lui file une peur bleue.


Entourage :


Arisa née avec un frère, un père, et une
mère, mais se retrouve seule à 13 ans, sans que cela ne l'afflige
particulièrement. C'est par choix qu'ensuite elle se décidera à tisser
des liens, mais toujours selon ses principes, et au sein d'une faction
qui lui ressemble, ne serait-ce qu'un peu.
Ses interactions avec les
autres sont, le reste du temps, plutôt houleuses. Revêche, avec une
attitude moqueuse, rien ne la prédispose à se faire des amis - bien au
contraire. Sa loyauté sans faille n'a donc pas encore été mise à
l'épreuve.

Idéaux et ambitions :


Justice. Et tous les
principes qui en découlent. Tel est le maître mot d'Arisa, qui ne
tranche jamais, et en rien, sur ses principes. Née dans un contexte
particulière chaotique, et principalement axé sur le devenir des ninjas,
mais aussi suite à la découverte de la condition passée de ses parents,
et en devenir de son frère, elle fait de cette affaire sa priorité.
Pour avoir énormément lu, elle sait que les civils ne demandent que leur
disparition pure et simple. Cependant, pragmatique comme elle est,
Arisa ne compte pas sur l'intervention de créatures divines, mais bien
sur ses propres capacités - en développement - pour éradiquer cette
engeance à laquelle elle appartient. Pour ce faire, elle décide
d'introduire de Niganmen, de se lier à leur destiné, jusqu'à ce qu'il
soit temps, pour elle, comme pour eux (bon gré, mal gré) de mourir.
Son ambition intermédiaire devient donc le gain de puissance.


HISTOIRE


"Cette nuit, j'ai fait un rêve. Je me levais de ce même lit dont je peine à me tirer ce matin, et me dirigeais sans une pensée, sans un regard pour le ciel, vers le petit entrepôt qui s'élève, impudent, derrière la cuisine, bien dissimulé entre un diable déchiqueté et quelques casseroles rouillées. Je m'emparai de l'une de ces longues tiges de fer que collectionnait mon frère, et admirai alors ses reflets aux couleurs de l'arc-en-ciel, cette précision meurtrière maligne, qui exerçait, semblait-il, un attrait irrésistible sur les gens "comme nous". Je la caressais du doigt, de l'ongle, et je me la plantais sauvagement dans l'estomac, une douzaine de fois, jusqu'à ce que le sang, rouge, chaud, signe de vie, la macule de façon irréversible.
Et je mourais, alors, ravie, comme le sourire d'un ange aux lèvres, d'avoir débarrassé le monde d'une souillure telle que moi, et d'avoir, peut-être, empêché une autre raclure de faire le mal. Tout, pour que règne l'ordre et la justice, régulée. Régulée, telle était le mot.
La justice ne réside que dans ce genre d'actes, c'est certain. Mais avant de parvenir à ce stade de perfection dévote, je devais les tuer tous. Tous les autres, tous mes semblables, tous ceux qui n'étaient pas mort pour ou dans cette même tâche. Par ailleurs, ça n'était pas si mal. Ça me permettrait de canaliser mes pulsions meurtrières, qui se faisaient de plus en plus insistantes, à l'approche de la puberté - non, je n'étais définitivement pas une jeune fille ordinaire. Mais qu'importe. Je mourrais. Et j'emporterais le plus grand nombre de mes semblables dans ma chute. Si je puis dire, avec toute l'ironie que je puisse rassembler en des circonstances si funestes, il s'agit de mon nindô."


Yuhi Arisa est née d'une mère mourante et d'un père lointain, craintif, qui n'avait jamais su résister à se femme, ni quand elle lui avait demandé un enfant, alors que les temps s'annonçaient terribles, ni quand elle lui en avait soutiré un second, lorsque les temps s'avéraient bien plus troublés encore que prévu. Il n'avait jamais pu lui faire face lorsque les fièvres avaient commencé à l'emporter vers la mort, la raison la première, aidées par les conseils de médecins incompétents qui lui imposaient des saignées qu'elle supportait de moins en moins. Il n'avait pas su s'opposer, lorsqu'elle avait exigé que les enfants portent son nom. Il n'avait pas pu ; c'était probablement tout ce qu'il resterait d'elle, plus tard, sur le papier. Elle serait morte trop tôt - ou trop tard - pour figurer sur un quelconque rouleau relatant les exploits de ninjas quelconques.

C'était un décès de peuple, "un vrai", dans son lit, dans une toux horrible, et avec une odeur de charogne empestant la chambre. Le premier acte d'une existence d'hommes effacés, pour la famille d'Arisa, pour son père, et pour son frère, Akio, qui prenait forme humaine alors que les conflits faisaient rages. Ils renoncèrent, devant tant d'atrocité et de douleur, jusqu'à l'intérieur de leur demeure, à se battre, à la voie du ninja. Le père par choix (ou plutôt par désespoir ?), les enfants parce qu'ils ne devaient jamais recevoir l'enseignement du père, dont les talents se noyaient relativement bien dans l'alcool, qui avait un talent incontestable pour purifier le sang comme pour laver les mémoires.

Yuhi Arisa grandit dans leur maison, pataugeant dans la boue qui entourait l'enclos des chevaux, grimpant sur le toit pour y creuser des entailles en forme de lune - ou de sourire ? - avec des galets, nouant des fleurs dans ses cheveux avec des gestes patients, glissant des feuilles mortes dans la couche de son frère pour le punir de l'avoir laissée seule alors qu'il devait jouer avec lui. Première apparition de la notion de justice, mais aussi de loyauté, dans l'esprit étriqué de la jeune fille, qui a besoin de repère simples et définis.

Elle grandit jusqu'à pouvoir monter sur le toit d'un bond, et marcher dans la boue sans laisser de traces de pieds inexplicablement. Jusqu'à ce que l'état de son père, lui, se fasse expliquer - par la bouche de l'un des commerçant du village, qui, se moquant de l'accoutrement dépassé d'Arisa et de son déhanchement provocateur, a rit de l'alcoolisme "du vieux" en s'éloignant. Dure confrontation avec la réalité.
Jusqu'à ce que son frère s'absente de plus en plus souvent, et revienne dans un état plus pitoyable encore que celui de son père. Quelques lames plantées dans le ventre en plus. Cet état là, lui, s'est expliqué dans les livres, et dans le petit local dissimulé derrière la cuisine, rempli d'armes aux courbures étranges, et aux tranchants redoutables.
A son père, avant, sûrement. Peut-être même à sa mère. Mais utilisé par son frère, c'était sûr. Son frère qui se battait, tuait, assassinait, pour se faire reconnaître, probablement. Son frère qui s'opposait au choix de la majorité, concernant le devenir des ninjas - puisque c'était bien de ça qu'il s'agissait - si peu que la fillette en sache sur le sujet. Ce n'était pas juste.

Et elle prit le temps de se documenter, et de méditer la question, avant de ne prendre une décision radicale. Une décision définitive, qui s'appliquerait de ses treize ans à la fin de ses jours.

Et Arisa se dirigea vers le village, où elle acheta trois paquets de riz, des graines de tournesol, du fil, des aiguilles et une lampe de poche. Ainsi chargée, elle prit la direction du bar où traînait son père - qui était rentré, selon les dires du gérant (tant mieux, tout se passait comme prévu). Et, elle aussi, elle retourna vers leur ferme, où elle déchargea ses acquisitions. Elle alla prendre une douche, puis, en toute discrétion, se glissa dans l'entrepôt où se fournissait son frère, et saisit, quand à elle, deux traits de métal, qu'elle saisit, chacun dans une main, en les soupesant doucement, muette d'émotion - et de dégoût. Ce sentiment d'avoir retrouvé dans ces outils de mort sa vraie nature l'écœurait.

La nuit venant, propre, calme, ses cheveux tressés de fleurs qui n'adoucissaient pas la dureté de son expression, elle se glissa dans la chambre de son frère, prétendant ne pas parvenir à dormir, et vouloir, une dernière fois, s'il lui plaisait, avant de devenir trop grande, passer la nuit avec lui. Sa requête fut accordée, et quelques secondes après, doucement, elle lui planta la première tige de métal dans la gorge. Son père ne lui posa pas plus de difficultés - cependant, une tâche de plus grande envergure l'attendait. Avec les petits ciseaux, Arisa prit garde de découper proprement le dos du défunt, de sorte que le sang ne tache pas le magnifique tatouage qui ornait l'arrière de son corps. Puis, avec une adresse redoublée, et une souffrance indescriptible, aussi bien en intensité qu'en durée, elle s'attela à recoudre ce morceau sur son propre dos. Puis, soufflant :

- "tu vois, papa, avec ce tatouage que je te retire, c'est la fin de cet horrible fardeau qui t'encombre. Tu n'auras plus jamais à être ninja, ni à y repenser. Papa, je te délivre de ce poids, je le prends sur mes épaules, mais sois sans crainte : il ne me rendra pas fou comme toi, et il ne me mènera pas vers l'erreur comme Akio, parce que je sais ce que je veux. Dès maintenant, et jusqu'à la fin, ce pouvoir que tu me donnes, il ne sera destiné qu'à faire respecter la volonté de la majorité, et donc à tuer tous nos semblables. Je serai forte, tu verras, et quand je les aurai tous tués, je te rejoindrai. Tu seras fière de moi. Tu verras."

Et c'est sur cet horrible malentendu qui ne pouvait être corrigé par les paroles d'un mort - qui aurait été saoul, et bien incapable de répondre à une telle horreur, quoi qu'il en soit - que la jeune fille s'engagea sur la voie du ninja, comme elle l'avait prévu. Survivant de ses provisions de riz et de graines de tournesol, Arisa étudia tous les livres qu'elle trouva dans la maison avec assiduité, de jour comme de nuit. Oui, finalement, elle avait bien fait d'acheter cette petite lampe. Elle s'avérait bien utile. Bien consciente, cependant, de sa faiblesse, Arisa du jouer avec ses principes ; la seule solution apparente était d'adhérer à l'un de ces groupes de ninjas résistants pour être formée. Niganmen. C'était le compromis absolu. Tuer pour la survie d'une cinquantaine. C'était raisonnable, temporairement. Jusqu'à ce qu'elle soit assez puissante pour les éradiquer tous, définitivement.

Pourquoi pas ?

C'était raisonnable. Juste. Et ambitieux. Pour une fillette de 13 ans, effrayée par les feux d'artifices, avec des fleurs dans les cheveux. Cette idée lui aurait presque arraché un sourire.

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[question - et pas des moindres - dans la présentation "générale" du Ninganmen (à savoir celle qui est en lien sur les posts d'explications) il y a la charmante indication "{obsolète}", donc, par simple curiosité désespérée, c'est une nouvelle preuve de sadisme de la part de l'admin éternel coupable, ou juste l'indication que je dois refaire toute ma présentation parce que le groupe n'existe plus ? Présentation de Arisa Yuhi Icon_surprised

Ceci excepté, j'espère que la présentation ira ^^]
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