#Présentation - Omoi Raizen - [En cours]

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# Général #

Nom: Raizen
Prénom: Omoi
Age: 24 ans.
Date de naissance: 16 Février

# Physique: Un joli garçon. C'est du moins ce qu'Omoi a toujours entendu dire de lui par la gente féminine, toute générations confondues. Du haut de son mètre soixante-dix-huit, Omoi n'est pas ce que l'on apelle un géant. Ses soixante-treize kilos en font un individu mince et quoiqu'assez athlétique.
Sa peau mat, bronzée par le soleil froid des montagnes de Kaminari no Kuni s'accorde parfaitement à une grande paire d'yeux noisettes. Son nez droit soutient généralement une paire de lunette de soleil qui contribuent à lui donner un air mystérieux et désinvolte, celui du mec cool par execellence.
Chose étonnante, ses cheveux ont blanchis prématurément, sans raison particulière; sucitant la curiosité de la plupart de ses interlocuteurs... et mêmes adversaires!
Omoi n'aime pas porter son bandeau ninja, et le garde la plupart du temps planqué dans son paquetage, entre deux Kunai. Cependant, il se force à l'attacher autour de sa taille lors des cérémonies officielles, le noeud soigneusement caché par le fourreau de son Katana. Rares sont les personnes à l'avoir vu manier cet objet d'une pureté fascinante, et l'on sait peu de chose quant à sa capacité à infliger des dégâts avec cette arme.
Enfin pour ne rien oublier, il est important de mentionner qu'Omoi se trimballe toujours avec une sucette sur lui. Dans sa bouche ou dans son sac, il considère cette sucrerie comme un porte bonheur...

# Caractère: Derrière une apparence désinvolte, se cache un ninja en réflexion permanente. Omoi peut passer plus de 5 minutes à se demander si il aurait mieux fait de mettre les fumigènes dans sa poche gauche plutôt qu'un shuriken et une bobine de fil. Le choix d'un menu au restaurant peut lui prendre près d'une heure. Omoi analyse tout, de la décision politique de la plus haute importance à l'envol d'un moineau sur une branche d'arbre.
Le garçon se sent de surcroit obligé de dire la vérité en toute circonstance, quitte à vexer son interlocuteur. Il s'est d'ailleurs fait tabasser plusieurs fois par ses petites amies suite à une réflexion...désagréable.
Omoi n'est pas un compétiteur. Le simple fait de devoir prouver qu'il vaut mieux que son adversaire le dérange. Cependant, sa formation lui interdit moralement de se défiler face à un adversaire. Aussi a t-il pris pour habitude de ne faire que le minimum requis en toute circonstance. Cette attitude a plusieurs fois joué en sa faveur, car son peu de motivation à l'affrontement pousse ses adversaires à le sous-estimer... Dommage pour eux..!

# Qualités: Omoi a pour principale qualité et atout, un calme difficilement perturbable. A vrai dire, une volée de baffes n'y parviendrait pas. Son physique avantageux lui permet de lier facilement contact avec ses cibles (surtout celles à gros... euh.. poumons... oui c'est ça: poumons). Enfin, habitué à jouer à cache-cache dans les montagnes, Omoi est devenu un agent de reconaissance hors du commun...

# Défauts: Bien que doué d'une capacité d'analyse surdéveloppée, Omoi est un garçon plutôt lent à la détente. Ce manque de vivacité le force souvent à devoir s'extirper de situations qu'il aurait très bien pu éviter en réfléchissant un peu plus vite.
De plus, sa capacité à élaborer des stratégie est relativement limitée, et il a souvent besoin d'un appui tactique (qui prend le plus souvent la forme d'un autre shinobi) important...

# Peur: Omoi n'est pas du genre à avoir peur des araignées ou des serpents non... ni même du vide. En revanche, il redoute d'être responsable de qui que ce soit lors d'une mission. L'idée de perdre un équipier suite à une erreur de commandement lui est insupportable, et il laisse volontier son kage lui confier des tâches auxiliaires, quitte à passer pour un bon à rien.

# Histoire #

I~Le Clan Raizen.

Les montagnes de Kaminari no Kuni sont, depuis des temps immémoriaux habitées par une foultitude d'individus regroupés au sein de familles, elles mêmes regroupées au sein de clans.
Parmi ces clans, certains se sont distingués d'une manière où d'une autre, que ce soit par des aptitudes spéciales où par des actions politiques de valeur, et parmi eux, le clan Raizen.

Le Clan raizen fut fondé plus de trois cents ans avant l'avènement des cinq puissance ninja, et compta plus de 1000 familles à son appogée. Pendant plus de soixante ans, cette immense alliance, souvent nommée: Le Clan des Mangeurs de Foudre dans les récits historique, régna en maîtresse sur une bonne partie des territoires actuellement constituants de Kaminari. Cette hégémonie du clan Raizen fut sans doute la pire période que connût la région.
D'une nature belliqueuse et arrogante, les Raizens foulèrent au pied chaque clan qui tenta de les défier, réduisant les prisonniers de ces guerres tribales en esclavage, assassinant sauvagement les autres.

Ce clan pour le moins barbare tirait son pouvoir d'un parchemin ancestral nommé:Aube Foudroyante. Cet antique rouleau n'était ni plus ni moins que la source de l'une des cinq voix de ce que l'on appela plus tard Ninjutsu: Le Raiton.
Le Raiton, ou l'art de commander à l'électricité et aux orages servait aux Raizen de religion et de philosophie. Chaque membre, dès l'âge de raison était formé à la maitrise de cet art, et aux précepts militaristes du clan, devenant ainsi un soldat de plus pour cette immense armée.
Mais il vint un jour où les montagnes enneigées ne suffirent plus aux Raizen, et ils se lancèrent à la conquête des régions avoisinantes. Durant les années qui suivirent, de nombreux récits relatèrent les méfaits des Mangeurs de foudre dans tous les pays du monde. Aveuglé par leur soif de pouvoir, le clan ne sut pas voir que ses seuls effectifs ne suffiraient pas à dominer un territoire cent fois plus grand que celui des montagnes de Kaminari. Aussi, après s'être dispersé, les Raizen commençèrent à refluer vers leurs montagnes sous les assauts des clans attaqués. Cette première défaite sonna la fin de la suprématie des Mangeurs de Foudre sur les montagnes.
Diminués en nombre comme en force, les Raizens mirent plusieurs année à reprendre du poil de la bête. Pour se faire, ils durent conclure des alliances, et peu à peu, la pureté de sang de ces barbares s'estompa au profit de métissages toujours plus nombreux.

Cette diversification à l'interieur du clan entraîna un changement profond. Autrefois exclusivement constitués d'individus à l'affinité Raiton, le clan Raizen vit peu à peu naître des enfants incapable de produire un seul éclair. En revanche, ces derniers se révélaient habiles à la manipulation d'un autre élément... le feu.
Plus le temps passait, et plus ces maîtres des flammes gagnaient en importance dans le clan, tant et si bien que ce qui fut le clan le plus uni de tous les temps commença à s'entredéchirer.

La branche "Raiton" Commença tout d'abbord à déconsidérer la branche "Katon", les traitants de la même manière que leurs esclaves, bien qu'ils fussent leurs propres frères, cousins, pères, fils. Puis, ils entreprirent de les massacrer, comme ils l'avaient toujours faits avec les clans rivaux. Mais la branche du feu avaient pris bien plus d'importance que ce qu'ils l'avaient pensé, et l'affrontement fut terrible. Après un an de fratricide sans merci, les "Raiton" finirent par l'emporter, et repoussèrent les "Katon" au pied des montagnes, vers les steppes arrides du pays de la foudre. Enfin, la branche originelle se rebaptisa Dairaizen, et continua de vivre dans les montagnes.

Des années durant, la branche Raizen exilée survécut tant bien que mal, en sédentaires, cultivant les quelques ares de terre fertiles que la nature leur avait consenti. Mais ce répit fut de courte durée... Par dela les mers, une guerre avait éclatée, entre clan rivaux, sur un archipel brûmeux. Chaque clan, par des jeux d'alliance et de diplomatie ralliait peu à peu à lui d'autres clans, qui eux mêmes en ralliait d'autres à leur cause. La première grande guerre secrète venait d'éclater.
Quand la guerre vint frapper à leur porte, les Raizen exilés surent qu'ils ne survivraient pas à un nouveau conflit d'une telle envergure en utilisants des moyens conventionnels. Ils ne disposaient ni de forces militaires suffisantes, ni de matériel lourd. La situation semblait désespérée. Cependant, un membre de la petite communauté eut une idée qui allait révolutionner l'art de la guerre. L'idée était simple. Etant dans l'impossibilité de saper les armées ennemies à la base, il faudrait frapper directement à la tête. Comment? par le biais d'unité d'élite spécialisées dans les interventions à haut risque. Le concept de Ninja était né. Suivant les conseils du dénomé Soren Rai, la plupart des clans, les Raizen y compris formèrent leur propres unités d'assaut.
Cette nouvelle manière de combattre se révéla efficace, et la guerre fut terminée en moins de deux mois, dessinant la plupart des frontières actuelles.
Chacune des nations récemment créé fonda sa propre école de formation aux arts shinobi. Désireux de gagner en puissance, les clans du monde entier se dirigèrent vers ces écoles, formant ainsi des villages de combattant. A Kaminari no Kuni l'école fut fondée dans la chaine de montagne du sud. Les nuages bas qui masquait les hauts sommets des montagnes inspirèrent le nom du village qui se créa: Kumogakure no Kuni...
Soren Rai, le 1er Chef de ce village fut nommé Raikage.

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II~La Seconde Grande Guerre Secrète

Soren Rai fut un bon dirigeant. Bien que descendant direct des Raizen et par conséquent maître du Katon, il encourragea le développement des capacité des Raiton des nombreuses tribu qui s'étaient ralliées à son clan. Apparement, les Dairaizen avaient fait des émules, et depuis des générations, d'autres tribus avaient développé leur propre style de Raiton. Certains l'associaient à un Taijustsu de leur conaissance, d'autre l'associaient à des armes blanches, d'autres encore l'incorporaient à des Genjutsus, pour un résultat pour le moins surprenant. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et vingt-cinq ans après avoir fondé Kumogakure, Soren Rai s'éteignit par une nuit sans nuage. Sans que l'on sache comment, la nouvelle arriva aux oreilles des dirigeants de la nation voisine: Tsuchi no Kuni.

Le pays de la pierre était un pays instable qui n'avait cessé de mener une guerre larvée contre le pays du feu depuis deux décénies. Cette agressivité n'était pas sans raison. Après la 1ère GGS, le clan Dairaizen avait profité de la faiblesse des forces militaires de la région pour prendre le pouvoir dans le village nouvellement créé d'Iwagakure. Doté de leur Aube Foudroyante, ils n'avaient eu aucune peine à balayer les tribus adepte du Doton, cette affinité étant directement inferieure à celle des Dairaizen.
Ces derniers s'étaient donc emparés du pouvoir, et avaient assimilié les techniques Doton. Durant toutes ces années passés, les Dairaizen avaient entretenu une haine féroce et latente contre leur congénère de Kumo et attendu la bonne occasion pour les exterminer une bonne fois pour toute. La mort de Soren Rai leur parut être cette occasion. Quatre jours après sa mort, Iwa déclara une guerre à Kumo. Konoha, qui subissait les attaques du 1er depuis vingt ans, attaqua Iwa, Kiri se rallia à Kumo, estimant que Soren Rai les avaient aidé à se fonder, et Suna pensa bon d'agresser Kiri, pour récupérer ces îles, carrefour commercial entre tous les pays.

La guerre fit rage plusieurs années, mais une fois de plus, les vainqueurs de la 1ère guerre se montrèrent plus forts, et Iwa du se rendre, isolé entre trois grande puissance. La fin du clan Dairaizen avait sonné. Une fois de plus, un Raizen se distingua. Il proposa à Iwa de ne pas annexer les territoires de Tsuchi no Kuni, en échange du parchemin de l'Aube Foudroyante. Iwa n'eut d'autre choix que d'accepter, et la guerre prit fin. Un nouveau Raikage fut alors nommé: Un certain Katoru Asuka. Un maître de la foudre qui aurait fait pâlir d'envie un Dairaizen...

III~Omoi, mon fils.

Les années passèrent, et le fameux manuscrit fut entreposé au fond des caves les plus profondes du village, afin que personne n'ai jamais la tentation de ressortir cet artefact de la discorde. Cependant, d'autres enjeux agitaient les jeunes puissance, et une nouvelle guerre éclata. Au coeur de celle ci naquit un héritier du clan Raizen. Cette naissance aurait pu être tout ce qu'il y a de plus banale, mais il n'en fut rien. En effet, rares étaient les bébés qui ne criaient pas à peine sorti du ventre de leur mère. Ce petit garçon était un de ceux-là. Il été né l'air pensif et rêveur, le visage calme, et rien de l'agitation autour ne semblait pouvoir perturber son calme. On le nomma donc Omoi (la pensée).
Le petit Omoi vécu jusqu'à l'âge de trois ans au coeur du violent conflit armé qui faisait rage dans tous les villages du continent et des îles. Son père, Shinobi au service du Raikage ne fût pas souvent présent, et les rares périodes de relève qu'il connut durent l'amener à l'hôpital pour des séjours prolongé.
La mère d'Omoi, une grande femme aux cheveux noirs, vivait avec la peur permanente de la mort de son mari, et ne s'occupa que peu de son fils pendant ses trois premières années. Ce dernier s'y était habitué, et apprenait peu à peu à se débrouiller tout seul pour éviter les pièges de la vie. Il avait notamment appris par lui même, que ces objets froids et métalliques que les ninjas emportaient dans leur paquetage étaient tout à fait en mesure de couper sa peau encore fragile. Il avait aussi appris à s'éloigner de ces bouts de papiers rectangulaires, marqués à l'encre noire, après que l'un deux ait explosé à quelques mètres seulement de leur maison, soufflant toutes les fenêtres de la pièce dans laquelle il se trouvait. Omoi apprenait vite. Bien qu'il n'eût pas prononcé le moindre son depuis sa naissance, il était d'un naturel curieux, et l'air de ne pas y toucher, à force d'observation et d'écoute, récupérait inlassablement des informations sur le monde qui l'entourait.

Personne ne s'inquietat du mutisme de cet enfant de trois ans, jusqu'à ce que la guerre se terminât. Le premier à remarquer cette obstination à ne pas prononcer un mot fut son père. Durant ces années de conflit, il n'avait pensé qu'à son enfant, à ses premiers pas, à son premier mot. Mais quelle ne fut pas sa surprise, quand il s'apperçut que le gamin n'avait jamais sorti le moindre gazouillis en trois ans de vie. Il se contentait de le regarder, à moitié dans ses pensées. Après tout, il n'avait du voir son père que deux ou trois fois depuis sa naissance. Il n'était pour lui qu'une vague conaissance. Trop fraiche pour être déjà un souvenir. Il allait falloir rattraper le temps perdu; aussi, Ryuzu Raizen passa les semaines suivant son retour à s'occuper de son fiston. Pêche, siestes, balades, siestes, siestes, les activités ne manquait pas, et Omoi semblait y prendre goût. Cependant, il restait muet comme une carpe, au grand desaroi de ses parents. Mais toute les choses ont une fin, et bien que tardif, le premier mot du garçon se fit entendre, par un après-midi nuageux.
-Sha'k'ra...

Ryuzu et son épouses restèrent interloqués, quand ils entendirent ce son si familier à leur oreilles. Ryuzu approcha la figure de son fils, qui affichait un grand sourire. Celui ci avait trouvé un rouleau ninja, et l'observait d'un oeil amusé.
-Sha'k'ra! Répéta le bambin, en pointant du dois le dessin au centre du parchemin. Ryuzu, faillit défaillir en appercevant le contenu du parchemin. Il s'agissait du fameux rouleau que tous les aspirants shinobis avaient eu à apprendre à l'académie "De l'aquisition et de l'usage du Chakra". Omoi n'avait pas prononcé ce qu'il avait prononcé par hasard. Il l'avait LU. Tout simplement LU. En trois ans, le petit avait appris les bases des Kanji et était désormais capable d'en déchifrer certains, peut être même beaucoup.
Sa mère s'émerveilla devant son tout petit:
-Ce sera un savant ! Fit elle, des larmes plein la voix.
-Ou un shinobi... répliqua Ryuzu, l'air rêveur. Peut être aurait il mieux fait de garder ses quelques mots pour lui. Cette petite réponse anodine dégénéra en un grand débat sur l'orientation d'Omoi, qui lui même dégénéra en dispute, qui se termina par un statut quo d'une semaine, avec rupture de communication entre les deux partis.
Pour débloquer la crise, les deux parents eurent une idée. Tester la réaction instinctive de leur fils. Omoi fut assis devant une table; sur cette table, deux piles d'objets. A gauche, un livre de médecine, un bistouri, une éprouvette emprunté aux médical-nin du village, et une seringue. A droite, un Kunai, trois mètre de filin d'acier, un rouleau ninja et un Senbon. Si Omoi réagissait positivement aux livres et au matériel médical, il serait destiné à une formation scientifique; si il se sentait à l'aise avec le matériel ninja, on l'inscrirait à l'académie.
Cinq minute passèrent sans qu'Omoi puisse se décider à utiliser l'un où l'autre des objets que l'on lui proposait. Le contenu des livres ne l'interessait pas beaucoup, mais la vue du Kunai lui rappellait un douloureux souvenir. C'est alors qu'il avisa, sur le haut d'une petite étagère, un étrange objet. Un baton surmonté d'un emballage aux couleurs criarde, autrement dit, une sucette. Omoi évalua rapidement la hauteur de l'étagère, et en déduisit qu'il ne pourrait pas atteindre la friandise par lui même. Il descendit donc de sa chaise, la poussa vers l'étagère. Puis, il s'en fut chercher les deux livres, et les empila sur le siège. Enfin, il attacha le filin d'acier autour de l'éprouvette, pour se faire un hameçon de fortune. Juché sur la chaise, il se lança donc à la pêche à la sucette. Il put attraper l'objet au bout de trois ou quatre essais, et quand ce fut fait, il s'en retourna jouer dans sa chambre, sa sucette à la main.

-Tu vois bien qu'il est destiné à être scientifique, Ryuzu. Il a un esprit créatif ce petit, il fera de grandes découvertes. Fit la mère d'Omoi à l'intention de son époux, d'un air supérieur.
-Hakura-kun... Je n'ai vu chez lui que l'esprit débrouillard et la faculté d'analyse dont le shinobi a besoin pour se tirer d'un mauvais pas... répliqua ce dernier calmement. Et une nouvelle semaine de boudage passa.
Une autre année passa, et l'on avait pas reparlé de l'avenir du fils de la famille. Pourtant, il allait falloir en décider rapidement, car Omoi arrivait à un âge où il est bon d'entrer dans le système scolaire, qu'il soit conventionnel ou shinobi.

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