Planete Naruto
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L'histoire originale du jeu de rôle du quatrième âge de la terre du milieu
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Le couteau suisse du montage photo
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 Acte 2- Le messager

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Tsunade Koichi
6ème Division - Capitaine
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Tsunade Koichi


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MessageSujet: Acte 2- Le messager   Acte 2- Le messager Icon_minitimeVen 12 Oct - 3:28



Chapitre 6- Le messager


L’obscurité avait minute après minute dévoré le ciel, engloutissant le village de son voile sinistre. Ce soir, le ciel était avec Tsunade, ou plus particulièrement la personne qui contrôlait son corps, ses pensées et ses actes en cet instant précis. La nouvelle lune ne viendrait pas illuminer de ses rayons inexistants le ciel, et pareilles ténèbres servaient particulièrement bien les intérêts de l’entropiste. Avec le déclin de lumière venait celui de la sécurité. Une soirée idéale pour monter de toute pièce un acte de guerre purement provocateur.

Il fallut attendre quelques heures, avant que la nuit ne s’empare totalement du village. Depuis la fenêtre du bureau, l’Hokage pouvait apercevoir les quelques rares passants qui parcouraient les rues en quête d’un endroit chaleureux où noyer leurs malheurs et partager leurs joies. Pourtant, des personnes d’une toute autre nature et aux desseins bien différents arpentaient ce soir là les rues de Konoha. Des ninjas, en apparat de gardes, veillaient au bien être des habitants. Ils ne pouvaient pas prévoir que, ce soir, la menace viendrait de l’intérieur, de la corde la plus sensible du village, celle qui lorsqu’elle cédait provoquait des ravages. Le fils de l’Entropie était bien décidé à leur démontrer pareille raisonnement, bien qu’il était plus enclin à savourer le chaos qui en découlerait.

L’Hokage quitta son bureau, grimpant les quelques marches qui la séparaient du toit. D’ici, on avait une vue imprenable sur ce mythe, cette légende sociale qu’était le village caché de la feuille. Un coup d’œil aux statues, faiblement éclairées par les lueurs des habitations et des commerces, et Shaolan étira les lèvres de Godaime en un sourire, souriant d’ironie face à cette volonté du feu en laquelle tous ces pitres croyaient tant. On aurait pu y voir un spectacle de marionnettes. Chacun des habitants de ce village était acteur médiocre. Tous connaissaient leur texte par cœur, et se contentait de suivre la trame de l’histoire.

Mais, sans un Hokage pour leur souffler la réplique, cet héritage des premiers Hokage perdurerait-il bien longtemps ? L’entropiste en doutait, fortement. Il était inconcevable qu’une morale aussi mièvre tienne bon face aux horreurs de ce monde. Un monde qu’il purifierait, par la force, pour que de nouveau le soleil se lève en inondant de sa lumière une terre où vivre en vaudrait la peine. Un doux rêve, qui prenait forme, particulièrement ce soir là.

Un vent frais balaya le visage de la cinquième, caressant de même celui de ses quatre prédécesseurs à jamais immortalisés dans la roche. Cette brise aussi, était une bonne chose. Elle plongerait en état de quasi-somnolences les plus téméraires des gardes de service ce soir là. Inspirant profondément, Tsunade retourna dans son bureau.

Il était temps de passer à l’acte. Et la plus grande des méthodes était de rigueur…

Shaolan prit place derrière l’office. Il malaxa son chakra, créant un clone de bois à partir de la table. Ce type de bunshin était idéal dans le cas présent. Discret, sans odeur, et assimilable à toutes sortes d’environnements. Le clone exécuta alors un Henge, comme lui dictait les quelques instincts de son créateur qui parcourait son être. Le nuage de fumée se dissipa, balayée par une petite bourrasque, dévoilant un ninja de Kiri recouvert de bandages, le bandeau frontal parfaitement discernable. Le clone savait parfaitement ce qui lui incombait de faire. Son rôle était précis, clairement défini à l’avance, et il ne devait commettre de faux pas. Il prit un kunai, et le mot que Shaolan venait de rédiger à son attention sur un bout de parchemin.

Alors que l’entropiste contemplait cette création depuis le siège et le corps de l’Hokage, le mokubunshin disparu dans la pièce adjacente, ouvrant le passage comme si lui-même était l’auteur des quelques protections présentes, ce qui, à dire vrai, n’était pas entièrement faux. Il disparu dans cette succursale secrète, refermant derrière lui et rompant ainsi le contact visuel dont disposait jusqu'alors Shaolan. Qu’a cela ne tienne, il y avait bien des manières de se tenir au courant des agissements d’un clone.

Shaolan se contenta de quelques secondes de concentration, et parvenait clairement à distinguer ce que son clone voyait, touchait, sentait. Le Mokubunshin ouvrit le cercueil de verre, passant le bras mort de Yondaime sur ses épaules. La scène était grossière, délirante. Jamais personne n’aurait pu imaginer pareille vision de son existence.

Les pieds du clone s’enfoncèrent alors dans le parquet, qui semblait en cet instant n’être qu’une illusion à texture boisée. Il eut tôt fait de disparaître de la surface du sol, emportant avec lui le corps du défunt quatrième Hokage, tant aimé, si respecté de tous. Plus, certainement, que ne le serait jamais Godaime Hokage. Shaolan souriat à cette idée, avant de sonner le glas de la deuxième étape : l’alibi.

Dans cette histoire, le hasard n’avait pas sa place, et la prudence était de mise.

« Shizuneeeeeeeeeeeee ! » appela Tsunade, du moins la seule chose qu’il restait d’elle dans cette pièce, à savoir son corps.

Quelques bruits de pas dans le couloir. Le témoin oculaire arrivait. Le tour était joué.

~~


Le clone ne mit que peut de temps à s’extirper de la tour. Passant de charpentes en charpentes, glissant son corps en fusion aisément, tantôt dans du bois, tantôt dans de la terre, et parfois dans l’eau, il parvint très rapidement au lieu de sépulture tant respecté de tous. A quelques vingtaines de mètres devant lui, la stèle des Morts Au Combat de Konoha se dressait devant lui, avec toute la noblesse dont le marbre noir qui la composait pouvait témoigner. En cette basse plaine, les lueurs de la ville ne parvenaient plus à compenser l’absence de lune dans le ciel. Le clone devait d’avantage se fier à son ouïe qu’a sa vue pour s’assurer de l’absence de tout témoin.

En une heure aussi tardive et par une nuit si sombre et froide, personne n’était présent pour honorer la mémoire des morts.

Après s’en être assuré une quadruple fois, le clone, à l’apparence toujours aussi contrastée vis-à-vis du décor, son bandeau du village caché de la brume sur le front, s’extirpa du sol, à quelques centimètres seulement de la dalle aussi glaciale que funeste. Il usa de toute la force dont il était capable pour hisser Yondaime sur le marbre. Là, jambes tendues, dos accolé à la pierre, l’œil vitreux de ceux qui ont vu la mort de trop près, Minato Namikaze semblait à présent faire parti du décor. Une fin indigne, teintée d’ironie. Celui qui avait préservé tant de vie par son sacrifice était à présent étendu, inerte, contre la stèle qui sans lui aurait été gravée de quelques noms supplémentaires.

Mais la tâche n’était pas pleinement accomplie. Elle ne le serait qu’au petit matin, quand le premier shinobi ferait cette froide constatation, d’ailleurs. Mais le Mokubunshin avait encore à faire. Ses pieds toujours fusionné à la terre afin de ne laisser aucune trace, il s’empara du kunai dénué de tout signe distinctif, et du mot, écrit en lettres majuscules, d’une écriture barbare et brute qui n’avait absolument rien à voir avec la délicatesse des lettres de Tsunade. Le kunai pénétra la chair, traversant le papier avant de faire craquer la peau atteinte depuis bien longtemps de rigidité cadavérique. La lame s’enfonça dans la chair morte, plus profondément encore. Une sensation délicieuse, pour Shaolan, qui suivait le tout depuis la tour, où il était en pleine discussion tout a fait anodine avec Shizune. Il souriait, en cet instant, mais il était tout à fait impossible à la disciple de Tsunade de s’imaginer pourquoi...

Le sang ne coula pas. Minato était mort depuis bien trop de temps pour cela. Mais le message était en place. La mise en scène, parfaite. Et les quelques restes de preuves qui pouvaient subsister ne feraient bientôt plus qu’un avec la terre. Le clone se fondit de nouveau dans le sol, utilisant aussi peu de chakra que possible afin de ne laisser aucune trace. Il s’enfonça, sur plusieurs dizaines de mètres. Quand la terre se fit roche, il progressa horizontalement sur une centaine de mètre, avant de remonter, s’entremêlant avec les racines les plus profondes de la forêt située juste au dessus, celle du terrain d’entraînement 28. Le mokubunshin se fondit au sein du bois, et la technique se dissipa, ne laissant pas la moindre trace derrière elle.

A des centaines de mètres de là, Shaolan perçu soudainement un afflux de détails sordides, d’images parfaitement claires, de sons et d’odeurs qu’il n’avait perçu que par le biais du clone, maintenant disparu. Pour l’heure, il était en pleine discussion médicale avec Shizune. Une conversation qu’il fit durer au possible, avant d’annoncer à la jeune femme qu’il était temps pour toutes deux de rentrer et de profiter d’une bonne nuit de sommeil. Si la jeune médical nin ne pouvait pas une seule seconde imaginer pareil réveil, l’entropiste, lui, s’en réjouissait d’avance.

Les deux femmes prirent la direction de leurs maisons respectives, cheminant ensemble dans les rues de Konoha, déjà calmes et vidées de la plupart de leurs habitants. Elles ne se séparèrent que devant la porte de Tsunade, qui se glissa dans son domicile, avant de faire de même dans son lit. Un dernier sourire, au contact de l’oreiller, et Shaolan décida qu’il était grand temps pour lui d’effacer quelques éléments de la mémoire de l’Hokage avant de retrouver son propre corps…


~~

Le soleil caressa de ses premiers rayons la stèle, lui donnant une teinte grisâtre. Mais ce matin là, les noms gravés avec soin n’étaient pas lisibles. Le corps du quatrième Hokage occupait l’espace qui leur était réservé, la poitrine perforée par une arme dont la neutralité et la popularité auprès de tous les shinobi du monde entier ne laissait nullement présager l’auteur d’une telle mise en scène macabre.

Sur le morceau de parchemin, gribouillée d’une main non habile, on pouvait lire ce message.


« L’éclair de Konoha semble avoir perdu en vivacité. Il ne nous est plus d’aucune utilité. Il était grand temps de vous le rendre…»


[j’ai besoin de quelqu’un pour découvrir le corps et alerté les gardes. Qui se dévoue ? Razz]






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Une nouvelle ère est proche
L'aube caresse de ses premiers rayons les futurs champs de bataille
Le Théâtre de l'erreur humaine est prêt.
Il n'attend plus que ses marionnettes

Le Sang doit couler. La guerre l'exige.
Son appel est fort, plus que jamais.
Saurez vous résister?

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Yahiko Ineta
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Yahiko Ineta


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MessageSujet: Re: Acte 2- Le messager   Acte 2- Le messager Icon_minitimeVen 12 Oct - 23:20

Les premiers rayons du soleil caressaient le visage de Yahiko. Il était en train de dormir paisiblement. Cela faisait longtemps que cela ne s'était plus produit. Un sommeil sans rêve étrange. Pour une fois il aura la possibilité de se réveillé calmement sans le moindre soucis. Et pour la première fois, Yahiko se réveilla sans l'aide de son grand-père. Il semblerait qu'il se soit même levé avant lui. C'était l'occasion de réveillé son grand-père en sursaut , pour lui faire subir ce qu'il a subit durant de nombreuses années. Quelque chose l'en empêcha , une pensée, un souvenir. Le souvenir de la fois où il failli franchir la porte de la chambre de ses grand-parents. Sa grand-mère l'avait saisi par l'oreille et tiré de toute ses forces. Yahiko se posait vraiment des questions, quel secret pouvait se trouver dans cette chambre. Il n'en avait aucune idée.

Le Genin descendait les escaliers pour se rendre vers la cuisine. Il avait une faim de loup. Avant de rentrer dans la cuisine, Yahiko entendait du bruit provenant de la pièce. Tout à coup une bonne odeur pénétra les narines du jeune homme. Curieux de savoir ce que c'était , il se précipita vers la cuisine. Surpris il aperçu sa grand-mère en train de faire de la pâtisserie. On dirait qu'il n'était pas le seul à s'être lever aujourd'hui. Yahiko embrassait sa grand-mère, pour lui dire bonjour et lui demander ce qu'elle était en train de préparée. Yahiko eut une réponse à sa question tout de suite. Il lui suffisait de jeter un coup d'oeil sur la table où se trouvaient plein de pommes. Ca voulait tout dire, ils allaient mangé une tarte aux pommes cette après-midi. Malheureusement que ce n'était pas pour tout de suite. Yahiko dû se contenter de trois bols de céréales ce matin. Une fois son déjeuné fini, il prit une pomme pour la route et quitta son domicile.

Le matin l'air était toujours si frais et doux. En plus les rues de Konoha étaient vides et d'un calme légendaire. Yahiko n'avait rien à faire , c'était le moment idéal pour aller s'entrainer. Tout prêt des falaises du village se retrouvait un petit coin reculé paisible. Il n'y avait que peu de personnes qui passaient par cet endroit, il n'était pas connu de tous. Les personnes qui s'y rendaient avaient un but commun, trouver un peu de calme et oublier les soucis qui les entourent. La cerise sur le gâteau était qu'il y avait un ruisseau qui s'y trouvait. Le bruit du courant d'eau était très apaisant. C'était un vrai petit paradis sur terre.

Une fois arrivé à son havre de paix , Yahiko fut émmerveilé. Les rayons du soleil qui venait à peine de se lever reflétaient dans l'eau. De loin le ruisseau semblait brillé. Un sentiment de bien être envahi le corps du Genin. Il leva les bras, ferma les yeux , respira le bon air frais et sentit le vent lui caressé le visage. Avec du recule, il commençait à penser que se lever tôt pouvait être agréable malgré tout. Tellement qu'il se sentait bien , il ne voulait plus s'entrainer. Il se rua vers un arbre et grimpa. Il voulait admiré le joli spectacle que lui offrait la nature. Nature, que les hommes de temps en temps négligent et mettent de côté. Yahiko s'imaginait comment la terre serait belle sans les hommes. Il n'y aurait même pas eu besoin d'un endroit comme le paradis.

Enfin une occasion se présentait pour réflechir. Ca faisait longtemps que Yahiko n'avait pas prit du bon temps pour soit même. Tellement occupés à accomplir des missions à gauche à droite pour se remplir les poches, qu'il en oubliait presque les points essentiels dans sa vie. La vie de shinobi n'est pas aussi facile qu'il ne l'imaginait. Ca le faisait rire. Il y a encore quelques moi en voulant devenir shinobi, il imaginait qu'il verrai d'autres horizon et protéger le peuple un peu partout. Jusqu'à présent, il n'a encore jamais quitté Konoha de sa vie. Mais il y a une chose qu'il ne regrettera pas, il a enfin trouvé un sens à sa vie. Car son existence n'a pas toujours été toute rose. Il pensait à ses parents, il les haïssait de tout son être. Il les en voulait de l'avoir faire vivre sept années dans le mensonge. Il versa une petite larme en y pensant. Il enviait tout ces enfants qui avaient des parents qui les aimaient et partageaient des moments forts avec eux. Quoi que resté là à s'acharner sur son sort n'arrangerait pas les choses.

La branche sur la quelle il s'était couché n'était pas vraiment solide. Yahiko entendait comme un crac. Il soupira en se disant qu'il devait se préparer au pire. Il n'eut pas le temps de réagir, la branche peut solide, se brisa en une fraction de seconde. En atterrissant ses fesses étaient tombés sur une pierre pointu. La douleur était si intense qu'il sursauta et se cogna contre le tronc d'arbre.


Kussoo. Ca fait mal...

Yahiko se releva en pointant son doigt vers l'avant. Il avait une pose de quelqu'un qui était très sur de lui. Il ne pu s'empècher d'avoir un sourire qui se dessina dans le coin de sa lèvre.


Attention Konoha! Le grand Yahiko est là pour veiller sur toi !

Il prit la pomme qui se trouvait dans sa poche. Il avait un petit creux. Il l'a mordait à pleine dent, et savourait le gout juteux de la pomme. Il n'avait plus de raison de s'attarder ici. Le repos est une bonne chose, mais comme toute bonne chose , il ne faut pas en abuser. Il y avait encore un endroit que Yahiko voulait visiter. Il voulait honoré la mémoire, de ceux qui sont mort pour ce village. Il ne savait pas d'où venait cette envie immense d'aller visiter la stèle. Pourtant il n'y avait aucun nom d'une personne que Yahiko connaissait qui se trouvait sur la stèle. A part les deux derniers Hokage qui nous ont quittés trop tôt.

Le soleil commençait petit à petit se rapprocher du sud. Cela voulait dire qu'il était à peu prêt onze heures. D'habitude c'est à cette heure-ci que Yahiko se serait levé. Sa journée lui paraissait longue , il se demandait à quelle heure il s'était levé. Encore quelques instants et il arrivera enfin à la stèle. A vrai dire il n'était pas loin de là. Apparament il n'était pas seul. De loin il aperçu un homme blond qui était couché sur la stèle. La bonne conscience du Genin disait qu'il devait consoler ce pauvre homme. Il courra donc au secours d'une personne qui en avait besoin. Arrivé prêt de l'homme blond, Yahiko était horrifié. Tout sentiments de bonheur quitta son corps et fit place à la haine. C'était le corps de Yondaime qui se trouvait sur la stèle la poitrine perforée. Yahiko Serra ses poings, il ne pouvait plus contenir sa haine. En lisant le mot qui se trouvait dans la main qui arrivait à peine à tenir le bout de papier.
[center]

Yo... Yon... Yondaime Hokage ! Qui a fait ? Qui est l'enfoiré qui à fait ? Qui!!! Je le jure devant Dieu que cette personne souffrira! Je ne peux pas rester ici. Il faut que je prévienne quelqu'un !

[center]Yahiko mit le bout de papier dans sa poche intérieur et fila chercher de l'aide. Il ne savait pas par où commencé. Il devait trouver un shinobi responsable et vite. Mais il ne savait pas par où commencer. Il essaya de se calmer et de réflechir. Il savait qu'il y avait un avant poste de garde à quelques mètres d'où il se trouvait. Il s'y rendait le plus vite. Quand il était arrivé à l'avant poste , Yahiko était en sueur et toujours sous le choc. Il avait du mal a prononcé des paroles.


Yondaime... Hokage. Son corps , sur la stèle des morts au combats. Lisez ceci...

Deux Chuunins étaient présent à l'avant poste. Ils étaient surpris. Ils ne perdaient pas de temps. Ils confiaient la tâche à Yahiko de prévenir discrètement certains ninja à la tour du Hokage, pendant qu'ils allaient voir ce qu'il se passait. Yahiko eut d'abord besoin de quelques instants pour reprendre ses esprits. Ce n'était pas tout les jours qu'il voyait un corps sans vie, et surtout pas le corps d'un Hokage. Yahiko s'éloignait un peu et se mit à vomir. Le Genin tombait à genou. Cette journée qui avait si bien commencé avait prit une tournure plutôt sombre. Ce n'était pas le moment de broncher, on lui avait confié une tâche, il ne pouvait pas rester là en train de s'occuper de sois-même. Il devait se rendre au village le plus vite possible, c'était prioritaire. Yahiko prit son courage à deux mains et se rendait vers la tour du Hokage.

Le jeune homme encore sous un état second, avait eut du mal à se rendre au village. Ce fut un grand soulagement quand il franchit les portes de la tour. Il ne voulait pas alarmer tout le monde et se dit que informer le Hokage serait plus astucieux que d'aborder le premier venu. De ses dernières forces il se rendait dans la bureau de Tsunade. Le seul ennui , c'est qu'elle ne semblait ne pas être là pour l'instant.

Shizuuneeee!!!! Hurla-t-il.

Après Tsunade ,c'était la seule personne à qui il pouvait faire confiance. Une grande qualité de Shizune est, qu'elle a le sens de la ponctualité. Aussi-tôt que Yahiko l'avait appelé , qu'elle se trouvait déjà sur place. Yahiko lui expliqua vaguement ce qu'il venait de voir et lui montra le mot laissé par l'auteur de cet horreur. Une fois tout ça fait, Yahiko se sentait libre. Il n'avait plus de responsabilité qui reposait sur ses épaules. Enfin il pouvait se laissé allé. Ce n'était que maintenant qu'il venait vraiment de réalisé ce qu'il venait de voir. S'en était trop pour lui, pour la première fois il était en manque d'énergie. Le jeune Yahiko , d'habitude toujours si heureux , joyeux et dynamique s'écroula au sol , inconscient.

Prevenez Tsunade-Sama! Ceci est de la plus grosse importance ! Faites-en votre priorité ! Je m'occuperais de réanimer Yahiko. S'il vous plait faites-vite.Dit Shizune en s'adressant à plusieurs Juunin se trouvant aux alentours du bureau.

Ce que tout le monde ignorait, c'est qu'une guerre était proche et que le sang de nombreuses victimes innocentes allait être versé , pour rien...


J'ai fait de mon mieu Tsu' ^^
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Tsunade Koichi
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MessageSujet: Re: Acte 2- Le messager   Acte 2- Le messager Icon_minitimeMer 17 Oct - 3:21




*ouah…*

Un étau. Non, une tronçonneuse. Peut-être plutôt une batte de baseball. J’entrouvris avec la plus grande des difficultés l’œil droit, courageuse mais pas suffisamment téméraire pour faire de même avec le gauche. Du coin de l’œil, je vérifiais si ma cervelle n’était pas répandue sur l’oreiller. Jamais du haut de mes 50 années d’existence je n’avais eu pareil mal de crâne.

Je me redressais, laissant glisser la couette le long de mon buste, avec la très nette impression de souffrir d’un traumatisme crânien. Passant la main sur mes cheveux, je constatais que tout semblait en ordre. J’ignorais ce que j’avais bien pu faire hier soir, mais, sans le moindre doute, je n’avais certainement aucune fierté a en tirer. Impossible de m’en rappeler, je glissais mes pieds sur le sol, peu enclin à me torturer la mémoire pour découvrir une vérité qui de toute manière m’apporterait plus de honte et de regrets qu’autre chose.

La douleur sembla perdre en intensité tandis que je me préparais un café aussi corsé que cette terrible migraine. Ce « lendemain difficile » s’illustra une fois de plus lorsqu’il fallut verser le café dans la tasse à la contenance d’un saladier réservé à ce genre de réveil. Une bonne partie du café servit à nourrir le parquet.

*Il faudra que je le cire, à l’occasion*

Ce dernier craquait à chacun de mes pas, me rappelant sans cesse à quel point je le maltraitais. Du moins, c’est ce que je m’accordais à croire, refusant de songer a une éventuelle surcharge pondérale de ma part. Mes lèvres embrassèrent le mug avec délice et réconfort, tandis que je me vautrais dans le plus confortable des fauteuils, vêtue d’un simple peignoir blanc.

A la surface de la tasse, on pouvait voir un petit dessin accompagné de deux mots

FUNNY SLUGGY
Acte 2- Le messager Chibi_Katsuyu_by_kago_woo


Un vieux présent offert par des amis à une très lointaine époque. J’y tenais beaucoup, mais, ce matin là, je n’avais pas la tête à me remémorer le bon vieux temps. Cette dernière semblait plutôt occupée à se fendre en deux, c’est du moins l’impression que j’en avais vu l’étendue du mal de crâne que je me payais. Pour couronner le tout, quelqu’un frappa vigoureusement à ma porte, troublant ma quiétude de quinquagénaire au saut du lit suite à une soirée bien arrosée.

Trainant des pieds, ma tasse toujours en main, je me dirigeais vers l’entrée, où l’inconnu insistait, tambourinant plus fort encore.

« Ouais, ouais, j’arrive. »

J’ouvris la porte, éprouvant une surprise devenue presque habituelle en voyant un juunin en tenue se tenant sur le pallier. Ce qui était moins commun, en revanche, c’est la mine sinistre et l’air grave qu’il affichait. J’entrouvris la bouche, prête a poser la traditionnelle question, quand il devança mes interrogations.

« Godaime-sama. Il s’est produit quelque chose de grave. »

Ça, j’aurai pu le deviner à sa tête. Un petit regard consterné de ma part l’encouragea a donner de plus amples détails, tandis que je portais le café a mes lèvres. Le cynisme et le pragmatisme dont pouvait faire preuve un Hokage après un an de fonction étaient assez épatants. Le Juunin sembla pourtant ne pas vouloir en divulguer trop pour l’instant.

« Cela concerne Yondaime Hokage… » souffla-t-il en prenant soin de ne pas se faire entendre des passants.

Une réaction réflexe incontrôlable. Je recrachais le café que je venais de boire, complètement abasourdie. Yondaime ? Après tant de mois ? Que pouvait-il bien y avoir de si urgent au sujet de feu Minato pour qu’un juunin vienne me chercher en urgence jusqu’à mon domicile ?
Intriguée, je me précipitais à l’intérieur, avant d’enfiler des vêtements propres, et de me précipiter de nouveau dans la rue. Enfilant la manche de ma veste verte, j’adressais un regard vif au ninja.

« Alors, qu’est ce qui se passe ? »

~~


Depuis combien de temps ma main était-elle en proie à d’incontrôlables tremblements ? Je n’en avais pas la moindre idée. A vrai dire, je n’en avais rien à foutre. En cet instant, tout, absolument tout semblait négligeable, sauf une chose. Devant mes yeux figés par l’incompréhension et la douleur, se tenait le cadavre de Minato Namikaze, alias Yondaime.

Le soleil était déjà haut dans le ciel. La température, particulièrement douce pour la saison. Mais les rayons chaleureux ne parvenaient pas à dissiper le sentiment de vide et de froid qui habitait chacun des ninjas présent, moi comprise. L’inconcevable venait de se produire. Après une disparition de près d’un an, et le quatrième Hokage, celui que tous considéraient comme le plus grand et le plus valeureux d’entre tous, était de retour au village de Konoha, le corps presque vierge de toutes les séquelles que le temps et la mort aurait du lui faire subir.

Une mise en scène grotesque. Son cadavre comme assis sur une stèle aussi noire que la situation, le thorax perforé d’un kunai.

Une main se posa sur mon épaule. Sans pour autant chercher à croiser le regard de cette personne, je savais qu’il s’agissait de Shizune. Les traits crispés par la douleur qu’elle ressentait, elle me tendit un morceau de parchemin.

« L’éclair de Konoha semble avoir perdu en vivacité. Il ne nous est plus d’aucune utilité. Il était grand temps de vous le rendre…»


Les mots me manquent. L’effroi que peut jeter la lecture de pareil message semblait ne pas pouvoir être décrit par de simples caractères. A l’image de mes propos, mes pensées se précipitaient en un chaos magistral dans ma tête. Une telle chose semblait être impossible, irréelle, mais je ne pouvais me permettre le luxe d’imaginer que tout ceci n’était qu’un simple cauchemar. J’étais Hokage.

De la retenue. Voilà ce qu’il me fallait en cet instant. Mais si une année de service m’avait enseigné une grande partie des affres du rôle d’Hokage, j’étais et j’avais toujours été incapable de faire primer le code de conduite ninja face à des émotions aussi intenses. Ce n’était pas un ninja qui était étendu sur le marbre froid de cette stèle, ce n’était pas une arme ! C’était l’un des notre. Un jeune homme brillant à qui le destin semblait réserver il y a quelques mois encore un avenir radieux. Le ciel semblait se moquer éperdument de nos têtes. Le soleil radieux qui illustrait cette scène aussi. La tristesse de la découverte cédait du terrain face à la colère implacable qui s’emparait de mon cœur.

L’envie de broyer ce fragment de parchemin en une boulette insignifiante était inévitable, comme si ce geste pathétique était capable de réduire par la même occasion cette situation tragique au même état : insignifiant. Mais elle ne l’était pas, et elle ne pouvait l’être. Incapable de tenir plus longtemps entre mes doigts pareils missives, je la laissais glisser à même le sol. C’était le corps inerte d’un être cher que j’avais sous les yeux, un de plus. La colère se tu légèrement, comme préférant céder sa place à son tour à l’amertume. Aucun mot n’avait glissé sur mes lèvres depuis près d’une dizaine de minutes. Pourtant, la dizaine de ninjas présente n’attendait que mes ordres. Des directives que je n’étais pas en état de prendre. Je faisais honte à mon titre, mais c’était le cadet de mes soucis. Je n’étais pas prête à rompre le silence, pas encore. Et ces minutes de silences n’étaient que du temps perdu. Un temps bien précieux, que je dilapidais dans ma peine. Une pensée m’obsédait. Je ne parvenais à m’en détacher.

*Cet affront se payera par le sang…*


La dignité. C’est une valeur très relative, quand on y pense. Toujours plongée dans le mutisme le plus total, je la ravalais, comme je ravalais mes larmes. Puis je prenais la direction du village, après une immobilité quasi parfaite durant ce qui m’avait semblé être une éternité.
Des ordres, je n’en donnerai pas. Un regard appuyé vers Shizune, et ma disciple semblait avoir saisit le fond de ma pensée. Je l’entendis demander a deux des ninjas présent de transporter le corps à l’hôpital pour examens, tandis qu’un autre groupe était chargé de réunir les ninjas gradés du village.

Anéantie, j’ignorais encore que j’allais arpenter les rues durant de longues minutes avant de réaliser pleinement la situation. Cette découverte atroce ne faisait qu’augurer le pire de ce dont l’humanité était capable. C’était la guerre que les Hommes réclamaient, et en dépit de tous mes efforts, et de ceux de mes prédécesseurs ; en cet instant, elle semblait inéluctable.

Une triste vérité qui guida mes pas jusqu’à la Tour.
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