[Mission de Rang D] Une femme tourmentée-Une Seconde Chance

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[Mission de Rang D]
Une femme tourmentée
Une Seconde Chance
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Code:

Narrateur : Rayate-San
Type : Aide
Lieu : Rues de Suna no Kuni
Composition de l’équipe : Yashamaru Iga
Description: Le magasin d'une femme a été saccagé par un bandit à la recherche d'argent, vous devez aider cet femme à ranger son magasin et retrouver cet homme et capturer le.

Après la visite inopinée d'Ogen-Sama, Yashamaru se rendit là où la mission lui demandait d'aller. Il voyait en elle, l'intitulé ressemblant au précédent, une occasion de se rattraper de sa mégarde de la veille.
Il avait encore les traces de son combat qui l'avait fatigué, mais se disait que celle-ci, classée rang D, ne nécessitait pas de grand renfort de combat, sachant qu'un aspirant débutant pouvait la faire...

Il chercha le magasin de la femme, n'ayant que le nom, "Ayakashi", et arriva devant ce qui ressemblait fortement à une librairie.
Il entra, fort curieux, et découvrit un magasin mis sans dessus-dessous. Il restait toutefois une partie où les livres étaient intactes, ce qui permettait à la vendeuse de laisser son commerce ouvert et tourner...

"Bonjour, que puis-je pour vous ?"

"Oh, bonjour... Je suis Juunin, et je vous fais l'honneur de ma présence pour vous débarrasser du parasite qui viens vous racketter de votre argent durement gagné."

"Ah, vous êtes le ninja qu'on m'envoie, ce pour quoi j'ai payé, et c'est un Juunin qui se déplace ? Il n'en fallait pas tant, vous en faites peut être un peu trop. Ce n'est qu'une petite frappe, un homme certainement perdu...
Quoi qu'il en soit il fait peur aux clients quand il vient, environ tous les deux jours, et mon chiffre d'affaire est en baisse depuis un mois à cause de lui...
Enfin... Ce n'est pas ce qui m'inquiete le plus... Je crains toujours pour moi et ma vie...
Et mon fils, Raito... Comment vais-je le rendre heureux sans argent et la peur constament inscrite sur mon visage ?...
Il dort à l'étage, il est tard et j'allais d'ailleurs justement fermer."

"C'est pour ca que j'ai fait vite... Je voulais savoir si je pouvais m'installer à l'étage, pas forcément dans votre chambre, mais quelque part où je pourrais être à l'aise, pour me reposer, avant le grand nettoyage de demain et l'arrestation de ce bandit de bas étage... De plus, vous disiez qu'il revient souvent, alors je ferais mieux de monter la garde, de rester au cas où il viendrait, et je pourrais ainsi surgir et vous aider !"

"Très bien. Par contre, il n'y à pas de lit pour vous... A moins que vous acceptiez de prendre celui de mon ex-mari ? Non, il n'est pas mort, il m'a quitté pour vivre avec une femme de Konoha..."

"Oh, sachez que je ne vous aurez pas questionné outre mesure... Par rapport à votre proposition, tout ce qui est un lit me conviendra."

"Alors suivez moi que je vous y mène."

La femme guida Yashamaru à l'étage, d'où il pouvait voir la chambre du jeune enfant, qui dormait paisiblement, et non loin de là, une grande chambre, où se trouvait un grand lit. Yashamaru n'avait pas prit le temps de penser au fait que le lit de l'ex mari était le même que celui de la femme !

"Euh, aufait, pense que je pourrais me contenter du sol pour ce soir !"

"Et vos blessures, je vous soignerait demain."

"Oh, elles ne me font pas mal, n'ayez crainte."

"J'insiste."

Géné : "Je n'oserais pas"

D'une voix plus sévère : "J'insiste !"

Nonchalent et intimidé : "Bah... Si vous insistez..."

Ainsi, il s'installa dans la couche de la femme, et ils dormirent paisiblement, quoique la main de la jeune femme vint se déposer sur...

Spoiler:

La nuit s'écoula ainsi dans le plus grand calme...

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Deuxieme et Troisieme Jours :
Luxe - Calme - Volupté
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Le lendemain, il était temps de s'affairer. Mais les blessure du Ninja lui donnant des courbatures sur le bas du dos, la femme commenca à ranger seule, oubliant presque qu'elle avait donné de l'argent pour que le ninja le fasse pour elle. Peut être que sa compagnie avait apporté un petit plus dans sa vie et qu'elle était de bonne humeure.

Yashamaru, honoré de tant de gentilesse, passa la journée entiere à se reposer.

Dans son sac, il avait amené un petit papier, sur lequel on pouvait lire un petit mot d'Ogen :




Le reste évoquait des palabres sans interets de grand-mère protectrice, et les ingrédients dans leur ordre précis de concoction.
Il lisait attentivement la lettre, tandis que le jeune Raito fit son entrée dans la pièce, sans frapper, ni attendre une quelquonque invitation de Yashamaru.

"Oh, salut bonhomme, comment ca va ?"

L'enfant, sans hésiter, sans gène :

"Vous êtes mon nouveau papa ?"

"!!!!!"

Le choc était fortement lisible dans le regard du Juunin interloqué et fort décontenancé face à un tel affront de la part d'un si petit enfant. Lui, père, il était bien trop jeune, comment ce garcon avait il put être aussi fou pour l'appeller ainsi ?

"Tu es mon nouveau papa alors, du moins le temps que tu resteras ici... Tu as l'air gentil... Je t'aime bien. Tu as quel age ?"

Face à une telle innocence, Yashamaru se vit contraint d'être à la fois franc, à la fois taquin.

"Je ne suis pas amoureux de ta mère tu sais, elle non plus d'ailleurs, je suis un ninja, ici pour vous proteger du méchant bandit, tu sais, celui qui vous embete toi et ta mère..."

"Ah, débarasse nous de lui s'il te plait... J'ai encore fait un cauchemard où il frappait maman..."

"Je te promet de lui faire regretter tout ce qu'il à put faire ou vouloir faire, et que tes cauchemard cesseront aussitot. Je te promet d'être ton héro."

"Merci m'sieur ninja !!"

"Tu peux m'appeller Shuu-san, c'est le nom que me donnaient les enfants de la caravane d'où je viens et où j'ai grandit..."

"Et ils sont heureux la-bas ?"

"Oui, surement..."

Son regard se porta vers la fenetre, la fenetre, un lieu où les pensées peuvent voyager en paix, sans l'affront des barrières physique et du temps. Les carreaux, les barreaux, rien ne peut empecher des rêves de se mouvoir...
Le regard de l'enfant, lui, après ce bref entretien, devint lumineux, merveilleux. C'était le regard que Yashamaru préférait, un regard d'admiration qui semblait lui faire prendre des proportion infinies... Pourtant, il n'était pas grand chose... Mais cette reconnaissance gratuite était comme une mane, prise avec un plaisir immense...

"Aufait, tu as un enfant ?"

"Ahh, oui... Hé bien oui, j'ai une fille, de vingt ans, qui à elle même eu un enfant qui à aujourd'hui deux ans..."

"Alors tu es grand père !!! C'est pas possible, tu as quel age ?"

"J'en ai trente huit !"

"Ohhhhhhh... Moi, j'en ai comme ca !"

Pour évoquer son age, l'enfant lui montra cinq doigts, cinq années où l'enfant avait vécu une vie totalement inconnue pour Yashamaru, mais au vu de sa douceur et de sa pureté, semblait fort loin de toute la souffrance des hommes, que l'on peut parfois vivre même quand on est un tout petit enfant...
La naiveté passagere de l'enfant était un ravissement. Ainsi, Yashamaru parvint à glisser une histoire merveilleuse à la place de sa véritable enfance, pas forcément des plus ininteressantes et banales, mais moins romanesque, vous en conviendrez, que l'aventure d'un grand-père ninja qui survole le pays du vent sur le dos d'un dragon blanc !
L'enfant, l'espace d'un instant, était comme transporté. C'était une paix agréable, que Yashamaru vint agrémenter d'une douce requete.

"Je viens de recevoir ca de ma grand mère, voudrais-tu m'aider à fabriquer une creme de soin ? Un truc qui te rend en pleine forme même quand tu as mal, et comme ca, tu pourras l'apprendre à ta mère et la soigner si elle rencontre un vilain garcon et que je ne suis pas là pour vous aider..."

"D'accord Shuu-san !!"

Yashamaru déplia une petite boite de bois dans laquelle il avait réuni un à un tous les éléments nécéssaire à la fabrication de cette petite crème de soin. Il expliqua la facon de faire à l'enfant, l'invitant à découvrir une à une les étapes de la fabrication des baumes de soin. Il apprit par la même occasion comment en faire, et ce travail matinal évéilla l'enfant au Médical-Nin.

"Plus tard, je serais docteur-ninja !"

"On appel ca un Médical-Nin mon petit Raito"

Le visage de Yashamaru brillait tant la paix de cet instant était douce. Pas un brigand dans l'air, la femme chantonait en bas, son commerce fermé le matin, elle rangeant le magasin, du moins une petite partie, laissant la majeure partie entre les mains de Yashamaru. Mais elle avait remarqué sa fatigue, et voulait le laisser profiter d'un instant de repos avant de le charger de travail comme un mulet.

Ainsi, la journée passa, et Yashamaru se reposa toute l'après-midi, enchainée par une soirée paisible, une nuit similaire à la précédente, excepté que cette fois-ci ils...

Spoiler:

Le lendemain matin fut sous les mêmes hospices, luxe, calme et volupté, bien que Yashamaru ne fit rien le matin et qu'il commenca à se déplacer vers la boutique pour jeter un coup d'oeil au chantier qui l'attendra demain.
L'hospitalité de la femme devenait si agréable qu'ils avaient déjà lié une certaine amitié, la relation "Cliente-Ninja" ayant disparu au profit de rapports humains.

C'était une mission de rang D, banale, sans infiltration ni piège, un simple gredin qui allait se voir remonter les bretelles et qui devra forcément dédomager la femme et la communauté.
Oui, comment pouvait on être si bête pour aller déranger une femme et récidiver dans un village rempli de combattant belliqueux comme le sont les ninjas ?





[2 jours de repos et une Crème médicale faite sous reserve d'acceptation d'admin]

[Crême médicale
Restaure 10 PV, usage unique. [nv1]
Possibilité de le créer a artisanat (alchimie) rang 1]

[Réstaurés 20 PC (8+8+endurancex2) et 20 (peut pas plus ^^)PV]

Yashamaru ronflait dans la chambre où cette fois le lit comptais trois personne. Raito avait décidé de s'immiscer dans l'intimité du duo Cliente/Ninja. De toute facon, personne n'allait vérifier la manière dont il remplirait la mission, et il serait payé dès que le magasin sera rangé et le bandit calmé et livré aux autorités.
Alors il profitait de la paix que la maison offrait, et il passa un dernier jour à ne rien faire en attendant que le jour où il devrait travailler arrive...

Lors de ce jour, il prit le temps d'écrire, car l'homme était un penseur à ses heures libres.

Il s'interrogeait fortement sur la question de la liberté dans le pays du vent, il se sentait de plus en plus clivé dans le village du sable. Son passé de nomade lui offrait un soupcon de liberté pure, des moments où seul le soleil dictait les journées, et où seul la caravane était sous sa responsabilité comme sous celle de chacun des Igas.

A Suna no Kuni, il ressentait l'omniprésence de la guerre et des rapports inter-villages tendus à chaque instant de sa vie. En dehors, il avait la possibilité de ne pas se soucier du sort d'autant de gens, et de réduire le monde aux guerre.

Oui, la société de Suna ne se batit elle pas autour de la guerre, et uniquement autour du combat ? Il était ninja, fait pour assassiner. A la tête du village, un combattant, certainement le meilleur de tous. Des combattants partout, comme si tout était fait pour la guerre. Pensait on à l'art ormis celui de la guerre? Où était la romance, le paisible, le sport et la paresse ? Rien ne pouvait exister dans ce monde.

Pourtant, il était ninja. Et quoi qu'il pouvait penser ne pouvait empieter sur cette immuable logique. Il vivait pour son clan, mais aussi pour Suna no Kuni, o patriotisme cruel et dévorant, il tenait par dessus tout à la paix de son village. Ce sentiment le prenait de plus en plus quand il voyait les cas de femmes veuves et d'orphelins du pays, de plus en plus nombreux...
Il fallait qu'il se batte pour ne plus que leurs larmes ne coulent !


[ Dernier jour de repos pour récuperer des PC ]

Le jour suivant, Yashamaru se leva précipitement. Comme si son instinct frappait à la porte et lui avait jeté un seau d'eau à la figure pour qu'il réagisse et prenne conscience de quelque chose qu'il ne connaissait pas encore. Il prit vite son équipement sur lui et se dirigea vers la porte de la chambre, laissant la gérante dans les bras de Raito. Ils formaient une belle famille tous ensemble, et rien au monde ne devait troubler cet équilibre, ce semblant d'équitée qui semblait joliement regner...

Il descendit les marches de l'escalier qui mène dans la boutique, et un bruit métallique le retint. Aussitot, il sauta sur le plafond et marcha à l'envers, avec le comportement d'un ninja en infiltration. On pouvait entendre du remou en bas, sachant que tout le monde dormait en haut, il en conclut que ca ne pouvait être amical ou familial...

Il prépara un Kunai, et arriva assez pres de la scene pour voir ce qui s'y passait. On pouvait voir un homme, au physique assez imposant, qui fouillait dans le comptoir du magasin à la recherche du coffre qui contenait tous les Ryos colléctés. Il venait ici sans aucun scrupule, en ayant défoncé la porte, certainement le bruit qui avait reveillé Yashamaru.

Il descendit alors des marches, cette fois sans retenue, ayant prit le temps de jauger son adversaire de loin.

- Tu dois être fort impétueux pour venir ici et fouiller comme un rat crevé dans les affaires d'une femme, ta mère ne t'as donc pas appris les bonnes manières ?

L'homme interpellé s'interrompit dans son acte cléptomane, et se retourna vers Yashamaru, avec un air paniqué.

- Qu'est ce que tu fais là, t'es son nouveau petit copain ?! Casse toi, excepté si tu veux que je te pete la figure !

- Quelle vulgarité, je suis assez contrit d'être provoqué par un homme tel que vous... Un vrai rustre, et les manieres vous échappent vraiment, au point que vous veniez me tutoyer sans pour autant que nous soyions familiers...

- Viens par là, et reglons ca aux poings !

Yashamaru ne put s'empecher de sourire en voyant le regard determiné du gros lourdeau qui lui faisait face.

- Vous n'avez donc rien d'autre à l'esprit que la violence, l'immédiateté de vos actions renvoient à l'enfance... Il faut être dénué de conscience pour ruiner le travail d'un autre par paresse. Je suis ninja de Suna, Juunin. Pensez vous franchement faire le poids ?

L'homme prit finalement de temps de se rendre compte qu'un bandeau était attaché au bras de Yashamaru, signe de son rang de Ninja.

- Je vais mettre en avant deux points précis, après, je te laisserais décider de ton prochain mouvement.
Dans un premier temps, je suis ninja, avec de l'experience dans le combat, et je peux en un seul mouvement t'oter la vie et le faire sans être inquiété par mes superieurs. Ton corps peut n'être que la prochaine nourriture des vers de sable uniquement si je le souhaite. Pour cela, je n'ai qu'à bouger les doigts.

Il fit tourner son Kunai autour de son index avec un regard des plus sombres.

- Toi par contre, tu aurais tout à perdre en t'attaquant à moi. Si tu bouges, me tues, tu auras toute la ville aux trousses, tu mourras certainement après qu'on t'ait torturé... Belle perspective non ?
Le deuxieme point, c'est l'humain que je vise en toi. Je pense que tu es arrivé à ce point à la suite d'une série de malencontreux evenements, peut être une enfance difficile, l'envie de s'en sortir en usant la force ,n'est ce pas ?
J'ai connu beaucoup de gens dans ton cas, des loups solitaires et dont la nature avait doté de force... Mais contre moi tu ne pourra rien. Je te suis supérieur techniquement, et tu dois savoir accepter cette différence et te rendre. Je suis plus petit, mais apparait en usant de ma majesté. C'est assez orgueilleux non ? Pourtant, tout ce que je fais, je le fais pour toi. Car tu es humain, et je ne veux pas te laisser sombrer plus bas en t'assomant et te livrant betement aux autorité. Je veux t'amener à t'y rendre, a pied, avec moi, sans liens autour de tes mains. Je te donne la chance de tout regler sans que le sang ne coule, sans que ta vie en soit changée à jamais. Tu as vraiment été génant pour cette femme, tu as boulversé cet enfant, tu devras payer pour ca, mais tu pourras revivre en homme neuf si tu apprend à tirer les bonnes lecons de tes actes.

- Que de belles paroles, mais que connais tu de l'expulsion, du fait d'avoir des parents absent malgré eux car la vie est trop dure, de perdre un frère à cause d'une attaque de ninja, qu'est ce que tu y connais ?!! Moi, je n'ai plus rien envie de faire de mon avenir, je n'ai plus de rêves, je vis dans le présent, sans jamais savoir ce que je ferais demain... Ca, tu ne peux pas le comprendre, c'est la liberté !

- J'ai parfaitement conscience de ce qu'est la liberté. Je suis un Iga. J'ai vécu dans le desert, sans contrainte autres que celle qu'imposait le soleil. Moi je suis un enfant de la liberté et je sais quel face elle revet. Et crois moi, la liberté ne se fait pas au détriment de celle des autres, apprend à comprendre le fait que la liberté s'arrete là ou commence celle des autres, et cette femme ne voulait surement pas voir sa vie entachée de peur... Ce que je te propose, c'est de m'aider à tout ranger, ensuite, je t'amenerais chez le Kage, où cet acte sera une circonstance atténuante. Qu'en penses tu ?

- ...

- Autrement, je t'amene chez le Kage où tu seras surement puni avec severité. Dans tous les cas, tu dois être capable de prendre la responsabilité de tes actes, c'est le devoir d'un homme...
Alors, choisit, le combat n'étant plus à l'ordre du jour.

[Utilisation de compétences Sociales]

L'homme semblait avoir changé de regard. Il s'était presque adoucit après les mots de Yashamaru, assez fort pour trouver les bons mots au bon moment.
Etant donné le désordre du magasin, les deux hommes prirent alors un bon moment avant que le tout ressemble à nouveau à quelque chose d'acceptable.

Du haut des marches, des petits pieds descendirent les marchent, et des yeux écarquillés se déposèrent sur ce qui ressemblait à un drole de rêve. Le magasin était presque redevenu comme autrefois, et on voyait l'ancien tortionnaire s'affairer à tout remettre en place, et même, de créer de petites décoration en papier pour égayer les lieux.

- Maman, maman, vient voir !

La mère s'éveilla, appeurée, et vint vite aux cotés de son fils pour voir le spectacle qui s'offrait désormais à eux. La salle avait été rangée, et leur coeur s'apaiserent en même temps que le magasin reprennait des couleurs.

Yashamaru était finalement parvenu à redonner son sens au magasin, et il ne lui restait plus qu'à livrer l'homme aux mains des autorités. Celui ci, sans réel envie de tout gacher après avoir cédé aux prouesses relationnelles de Yashamaru, le suivit sans condition jusqu'au bureau du Kage.

[Fin, je t'attend Gokuhi]