Ikari Buki Dorei [Validé: 11 XP]

Nom: Buki Dorei

Prénom: Ikari

Age: 18 ans

Sexe: Masculins

Âge : Physiquement il semble avoir entre 17 et 19 ans.

Taille : Il doit mesurer entre 1,75 m et 1,80 m.

Poids : Environ 60 kilos.

Groupe sanguin : A

Rhésus : Positif

Quelles sont les aspirations de votre perso?

Lorsqu'Ikari atteignit finalement la maturité nécessaire, son envie fut d'avoir un élève personnel, qui serait capable d'apprendre les techniques du clan dont il fait partie, mais un unique élève, afin que ce clan ne possède qu'un seul pratiquant par génération.

Décrivez votre perso physiquement et moralement :

Seules les personnes présentes lors de sa découverte on pus découvrir son corps meurtri, sans qu'il n'y ai réellement de raisons connues. Son regard était, et est toujours inexpressif, bien que démontrant cependant une supériorité pesante.
Son charisme suffit à alourdir l'ambiance à son arrivée dans une pièce. Ses cheveux se confondant entre le roux et le châtain, restent étrangement mi longs, sans qu'il n'ait besoin d'y faire quoi que ce soit. Bien que ne dormant très peu, la fatigue ne se lit jamais sur son visage.
Son flanc gauche est déchiré, et on peut y voir en permanence un bandage. Un étrange collier orne son cou, qui fut le premier cadeau de son maître, le seul qu'il accepta. Sur son épaule gauche, également dénudée, un tatouage représentant un magnifique dragon enroulé sur lui même est à la vue de tout le monde. Fait étrange, il semblerait que le dragon se meuve, puisque sa position change régulièrement. Seul quelques puissant Ninjas on pu témoigner de l'utilisation de ce tatouage, qui semble être un puissant sceau.

Renfermé sur lui même, ne réagissant à rien d'autres qu'aux paroles de son maître, il reste immobile, et intérieur imperturbable, bien qu'il lui soit demandé parfois d'être ouvert. Même s'il fait partie du bon côté comme on aime à le dire, le doute persiste toujours sur le fond réelle de sa pensée. Jamais un sourire n'est venu s'inscrire sur ses lèvres, jamais il n'a semblait être heureux, bien qu'il se plaise à le dire en présence de son maître.

Informations personnelles :

Date de naissance : La nuit du vendredi 5 mai.

Lieu de naissance : Un petit village perdu dans les montagnes du pays du vent.

Village souhaité: Kiri No Kuni

Grade souhaité : Bras droit du Mizukage - Anbu - Juunin

Histoire :

Iruka Fugou, 17 ans, jeune fille de la célèbre famille Fugou, propriétaire d’immenses terrains agricoles dans le pays proche de Kiri No Kuni. Elevé par une tutrice, ne voyant que rarement sa mère, elle n'aimait se croire fille de cette femme qui vivait sous les richesses, et qui maltraitait le personnel se croyant tout permis. Elle préférait passer du temps avec ceux qui se considérait comme étant ses serviteurs, mais qu'elle considérait comme ses amis, à parler, s'amuser dans l'imposant jardin de leur luxueuse maison.
Elle aimait les plaisirs simple, les animaux, bref c'était une jeune fille tout ce qu'il y avait de plus simples. Cependant sa mère n'était en accord avec aucun de ses principes, et fini par renvoyer la tutrice, qu'elle estimait inutile après un travail sans résultats. Elle s'occupa elle même de l'éducation de sa fille, à qui elle avait tracé un avenir qui n'était pas le sien : elle devait être marié à un riche et vieux propriétaire d'une marque de la région.

Eiki Tairyoku, 19 ans, paisible villageois, qui survivait aisément en faisant des courses dans les endroits les plus périlleux de la même région. Ayant sa propre petite habitation, étant un villageois actif, il participait à tous les travaux, et était quelqu'un d'aimer parmi ses compères. Bien qu'étant jeune, fougueux, il possédait cependant une sagesse digne des anciens, et sa réputation ne faisait plus à être démontrée. Il aimait jouer avec les enfants, préparer de bons plats, et faire la fête avec tous ses amis. Il aidait toujours son prochain, et n'appréciait guère l'arrivée d'étrangers dans un lieu si paisible.
Il avait toutes les filles qu'il désirait, sans cependant en profitant, croyant au grand amour et au coup de foudre. Il préférait se réserver à cette femme qui ferait battre son coeur dès la première fois. Compréhensif, gentil, il n'attendait rien de personnes, et offrait son aide à quiconque semblait en avoir besoin, sans forcément la demander.


Deux vies, deux destins semblant opposé, mais merveilleux. Deux personnes au coeur sur la main, la vie prête à être vécue. Cependant le dieu de la mort va en décider autrement. Aujourd'hui, Iruka et Eiki vont mourir.

Le froid hivernal de la montagne de Take fait rage en cette saison, et les médicaments qui devaient parvenir pour faire face à l'épidémie semble avoir était égarés. Rien n'y personne ne peut prévoir combien de temps pourront tenir les enfants, les personnes âgées atteintes. Eiki, comme à son habitude ne compte pas laissait cette tempête approchante anéantir leur village. Accompagné de ces deux meilleurs amis, ils partirent alors en direction de la grande ville, afin de se fournir en soin. Prêt à partir, il engage la marche rapidement afin d'anticiper au plus vite la tempête, et être de retour dès que possible.

Cependant, la mort, qui surveille de prêt ce jeune garçon qui semble comme un autre, accélère les choses, et au bout de 4 heures de marches, la tempête se retrouve finalement juste au dessus de leur tête. Tous accrochés par une corde, aucun d'entre eux ne peut être en danger, sous la protection de l'autre. Ne voyant rien aux alentours, ni à leur position, la corde sera finalement rompu à cause d'un éboulement impromptu, et Eiki qui menait la troupe se retrouve isolé, tombant, emporter par une avalanche. La fin semble proche . . .

21h. Le bal commence. Depuis maintenant 3 semaines, des affiches sont placardées dans toute la région afin de convier les plus grands hommes de la région, mais également du pays. En effet, la mère d'Iruka a décider de marier sa fille au plus vite, afin d'en faire une jeune mariée convenable. Des invitations furent envoyés partout, et les réponses affluées pour la jeune fille à la beauté exquises. Sous les ordres de sa mère, bien plus sévère et impressionnante que n'importe qui, Iruka se taisait, observant son destin, sa vie lui filait entre les mains. Tous les serviteurs avait été viré, et de nouveaux étaient arrivés, et n'avait pour ordre de ne jamais parler à la jeune fille sous peine de punition. Personnes n'avaient osés se dresser contre cette femme qui effrayait quiconque.
Habillée dans une magnifique robe pour l'occasion, afin de trouver l'époux, la jeune fille, qui s'était isolé, laissait désormais les larmes coulaient le long de son si beau visage. Les employés qui ne pouvaient endurés plus que cela, aidèrent la jeune fille à fuir, retardant toutes recherches, prétextant qu'elle s'était enfermée dans sa chambre. La jeune fille quant à elle fuyait sur un cheval qui en perdait petit à petit haleine, mais qui puisait dans ces dernières ressources afin d'aider celle qu'il aimait tant. Non loin de là, une tempête d'une fureur éclatante s'approchait.
La jeune fille, perdue au milieu des bois ne savait que trop faire, ni vers où se diriger. Finalement elle perdit espoir, et s'effondra de fatigue au beau milieu de la tempête.
Cependant, la mort les gagnant chacun, leur rencontre se rapprochant, et de cette rencontre allait naître leur survie, leur amour, et bientôt un futur qui n'était perceptible par personne.

Eiki emportait par l’avalanche se rapprochait de la jeune fille, tandis que la mort semblait perdre peu à peu de sa puissance, au même titre que la tempête, qui s’arrêta soudainement, alors que le jeune garçon était étendu juste aux côtés de la jeune fille. Leurs yeux s’ouvrirent au même moment, et aucun d’eux ne savait où ils étaient. Leur regard se croisa, et ce fut le début de leur rencontre. Le cœur d’Eiki se mit alors à le réchauffer, non seulement lui mais également celui de la jeune fille, et des larmes coulèrent de chacun de leurs yeux. C’est comme s’il se connaissait depuis bien trop longtemps, que leur vie était enfin réunie, et qu’elle prenait sens maintenant. Ils s’enlacèrent longuement, avant qu’Eiki ne prenne conscience de sa mission. Les mots avaient été inutiles, il l’avait prise avec lui, et il serait maintenant inséparable.

Quelques heures plus tard, il retrouva ses amis, et présenta la jeune fille, qu’il désigna comme la femme de sa vie. Ils retournèrent finalement au village, les médicaments en mains, et Eiki avec Iruka.

De cet amour naquit Ikari, un jeune garçon, qui sortit de l’ordinaire. Tout d’abord car à sa naissance il devint meurtrier contre son gré. En effet, par une sombre nuit, ne laissant qu’apparaître la pleine lune, sa mère le fit naître aux dépens de sa vie. Une vie pour une autre. Mais la vie qui venait de naître n’était pas comme les autres. En effet, une étrange marque, plutôt un tatouage, représentant un dragon d’une beauté, et d’une précision diabolique. Les sages-femmes furent tout d’abord surprises, puis effrayées, se rappelant d’une vieille légende que l’on croyait irréelle. Eiki savait également de quoi il s’agissait, et ne savait pas comment réagir.

Le secret fut tout d’abord dissimulé, et les sages-femmes en firent finalement part aux anciens du village, qui convoquèrent Eiki, ainsi que son petit garçon. Il fut étudier tel une bête de foire pendant plusieurs jours, et la décision fut longue à être prise. Ils optèrent finalement pour l’acceptation du jeune garçon, laissant de côtés cette stupide légende. Malheureusement cela n’était pas du goût de l’ensemble du village qui n’appréciait guère la présence d’Ikari. Mais après plusieurs années de vie commune, et l’observation d’aucun changement apparent, Ikari fût rapidement considéré comme l’un des leurs.

Durant 6 années, il fut élevé par son père, qui s’y prit étonnamment bien, puisqu’il fit un garçon gentil et doux, bien qu’étant parfois curieusement pris de pertes de consciences. Mais la légende rattrapa bien vite le jeune garçon, alors que le pays entrait bientôt dans une guerre civile sans précédent, faisant plus de morts chaque jour, plus de victimes innocentes chaque minutes. Le village fut bientôt envahit par un petit groupe d’étrangers, venu en quête de territoire. Cependant ils durent s’heurter à un étrange maléfice. En effet, Ikari semblait différent. Le village était bizarrement désert, seul lui était présent en plein milieu de la place centrale.

« Fuyez pauvre fou . . . »

Les barbares rirent tout d’abord au nez du jeune garçon, puis des flammes sortirent peu à peu des maisons, et flash aveuglant s’abattit sur le village, tuant petit à petit les membres du groupes. Finalement, l’un d’eux parvint à assener un coup au jeune garçon, qui s’évanouit alors. Au moment où il allait lui infligeait le coup final, une garnison du village de Kiri, investit alors les lieux, sauvant de justesse le jeune garçon. Il ne restait qu’un survivant du clan des barbares, afin de raconter l’histoire qui s’était passé. On le prit pour un fou, on l’enferma, et il mourut finalement d’une étrange manière. Ikari quant à lui fut récupéré par un Shinobi, Okita Soujï qui le ramena à Kiri et le confia à sa mère.

Cependant il remarqua vite le tatouage d’Ikari, son don pour le combat, et malgré son envie de le rendre humain, Ikari semblait seulement prêt à obéir aux ordres d’attaques et de défenses. Sasuke accéda au titre de MizuKage quelques années plus tard, tandis qu’Ikari évoluait rapidement à l’académie, ayant reçu pour ordre « de faire du mieux qu’il le pouvait ». Les jours s’enchaînaient et se ressemblaient péniblement pour le jeune garçon, qui s’ennuyer énormément dans les cours, bien qu’était un des plus jeunes. Il apprenait plus rapidement que quiconque les techniques, et réussissait avec génie les épreuves qui lui était infligés, son âme et son esprit s’enfermant de plus en plus dans une solitude qu’il appréciait.

Après 2 années au sein de l’académie, Ikari fut nommé Genin, et rejoignit rapidement une équipe. Les deux autres Genin semblait se connaître, une fille prénommée Anna, qui possédait un talent innée pour le Genjutsu, ainsi qu’un jeune garçon, plutôt maladroit, et tentant désespérément d’être reconnu par la jeune fille, démontrant néanmoins des aptitudes plutôt moyenne dans chaque discipline.

Leur Junin attitré (Ranmaru Mori) était un proche de MizuKage, et savait à quoi s’en tenir quand à la présence d’Ikari. Il savait qu’il ne devait pas le considérer comme un simple enfant, et il connaissait toutes ses aptitudes, ainsi que les terribles rumeurs qui couraient à son compte. Durant plus d’un an, cette équipe enchaîna les missions, toutes furent pour la plupart des réussites, Ikari se mettant toujours en retrait, et ne faisant jamais démonstration de sa toute puissance. Il était néanmoins considéré par l’un des plus faibles Genin, et fut rapidement défendu par son camarade, qui l’avait vu en action nombre de fois, et dont il savait sa puissance dominante. Malheureusement, car il y a toujours une fin à une histoire plus ou moins heureuse, une mission plutôt dangereuse fut affectée à l’équipe numéro 9.

Une mission qui apparemment de rang C, fut rapidement reconnu comme une mission de rang A. Il s’agissait au départ d’escorter un important émissaire, mais des choses qui n’auraient pas du être découverte l’ont été, ce qui eut pour effet une attaque de plusieurs Junin d’un autre village. L’attaque fut brève, et sans équivoque. Bien que pressentant le danger, Ikari, Ran et Anna ne purent rien faire pour sauver la vie du jeune garçon. Mais ce qui suivit fut encore plus abominable. Pour la première fois de sa vie, Ikari avait apprécié une personne tout autant que MizuKage. Tout s’enchaîna en quelques secondes. Son katana fut rapidement dégainé, et le sang gicla dans une furie si effrayante, que plusieurs gardes moururent de crise cardiaque.

A son retour, Ikari fut mis en isolement, afin d’être examiné. Anna avait subit un violent choc psychologique, et est actuellement toujours sous suivis. Par chance l’émissaire quant à lui ne vis rien de la scène. Pour finir Ran fut affecté à l’enseignement de jeune garçon, suite à sa demande. Après quelques semaines, Ikari fut relâché, puis appelé aux côtés de MizuKage, qui s’occupa de sceller son tatouage. Pendant plusieurs mois, il fut entraîné selon l’enseignement de Sasuke, autant sur le plan physique, morale mais également émotionnel. Cependant il ressentait toujours ce besoin de renfermement. Le Kage réussit parfaitement à utiliser le potentiel d’Ikari, et passa Chuunin, puis Junin en très peu de temps. Il enchaîna les missions en solo, apprenant à agir et compter uniquement sur lui-même. Ikari fut alors pris en main par son sensei, ayant le même nom que lui, et lui appris tout ce qu'il connaissait, afin de pouvoir reprendre le village lors de sa mort prochaine. Cependant il ne put lui apprendre à éprouver les émotions de n'importe quel humain, ayant une particularité. Il fut alors au service du nouveau Mizukage, s'enfermant d'avantage dans son esprit.

C’était une nuit annonciatrice de sang, la lune ayant prit un habit spécial pour l’occasion, comme celle de ce terrible soir, et pourtant, cette nuit là, son visage, si paisible, si discret à son habitude, était visible à plusieurs kilomètres à la ronde. Pourtant cette nuit était encore floue pour Ikari, qui n’avait aucun souvenir de ce moment, cette période si sombre dans son cœur. Ikari s’installa paisiblement sur l’une des branches d’un arbre solitaire de Suna, sortant le livre que son père lui avait offert lorsqu’il était encore tout jeune. Il se souvient encore de ses paroles au moment de lui offrir. Ikari fêtait son quatrième anniversaire, et pourtant il savait déjà écrire les mots les plus difficiles, ayant déjà lu plusieurs livres pour des enfants de 8 ans. Ce livre venait de la grande ville, où Ikari désirait tant aller, afin de devenir un grand ninja.





Après avoir reçu un cadeau si précieux, venant de l’un des plus grand presseur de la région du pays du vent, Ikari , qui s’était vu offrir également une plume, n’osa pas écrire dans ce livre trop important pour lui, et ne voulant pas le souiller. Seulement quelques jours après, se sentant l’âme d’un écrivant, et sentant qu’il pouvait se libérer de tout ses maux, à travers les mots, Ikari se prit d’une passion pour écrire, décrivant en détail chacune de ses journées, portant un mot sur chaque moment qu’il vivait. Il ouvrit alors la page au moment précédent le drame, un jour sans faille. Il était alors âgé de 8. Cela faisait 9 ans ce soir, que ce drame s’était déroulé.

La semaine dernière, il pleuvait dans le village, je te l’ai déjà dit, cependant l’orage a causé plus de dégâts que nous le pensions, en effet il semblerait qu’il est était annonciateur d’un malheur bien plus grand. Ce matin il n’y a pas en effet pas eu école, il semblerait que tôt dans la nuit un messager soit arrivé, un messager du pays voisin, nous annonçant l’arrivée d’une petite légion de barbare, profitant de la guerre pour piller les villages, engageant de forces les hommes les plus vaillant, et violant et tuant les femmes et enfant. Je me suis faufilé à travers l’un des conduits que j’utilise souvent afin d’entendre les anciens discuter des problèmes aux villages, cela est assez amusant de voir à quel point notre petit village peut être ancestral. Quoi qu’il en soit, ce que je ne t’ai pas mentionné, ce que l’homme n’eut le temps que de laisser que quelques bribes de phrases, son état physique, mais également psychologique semblant complètement détruit. Il avait semble-t-il était envoyé par le clan barbare, après avoir subit un traitement des plus atroces. Je ne me fais toutefois pas de soucis, notre village est béni par les dieux, et je suis assuré que les barbares ne nous atteindrons pas, le chemin à gravir est bien trop dangereux pour des étrangers, seul mon père et quelques hommes du village son assez puissant pour le traverser. Fait moi confiance maman, notre futur ne sera pas menacer par cette guerre, nous en apprendrons simplement les déboires, nous saurons que demain nous avons changer de frontières, pour après demain en changer de nouveau.



Après avoir fini d’écrire, je me suis rendu à la chute non loin, afin de profiter de l’eau fraîchement de la fonte des anciennes glaces éternelles, afin de me nettoyer. Cela devait bien faire 5 jours que je ne m’étais pas lavé, et je commençais à empester le rat mort, bien que me changeant chaque jour, et faisant une toilette quotidienne sommaire. Cependant, je ne pus forcer sur mon tatouage, ce dernier semblant s’agiter depuis quelques jours. En général, chaque jour de pleine lune mon cœur battait plus fort dans ma poitrine, et mon sceau me brûlait partiellement, comme de petites épines que l’on enfoncerait, puis que l’on retirerait, le tout très rapidement. Quoi qu’il en soit je m’étais habitué à la douleur, et cela ne semblait presque plus rien, peut être la douleur était-elle si puissante que je ne pouvais plus rien sentir. Je passais donc ma journée dans cette petite clairière, me dissimulant sous l’eau afin de surprendre quelques animaux qui passeraient. Je rentrais le soir, mon père ayant déjà préparé le repas. Je lui racontai ma journée, paisible, presque banale, avant de mettre la table, et de nous installer, commençant notre jeu favori, le go. Tout en mangeant des morceaux de Fugu fraîchement pêché, mon père m’avait initié à ce jeu, afin de développer mes facultés. Cependant, ayant déjà une avance sur mes camarades, et un niveau de compréhension accru, il ne me fallut que quelques mois pour lui apprendre à jouer. Peut être jouait-il la comédie, afin de me porter plus d’importance, mais je m’en fichais, pour moi ce qui comptais c’était de passer du temps avec mon père. Comme chaque soir c’est moi qui le porta dans sa chambre, s’endormant de fatigue après quelques parties de go. Avant de m’endormir je laissais encore quelques mots à ma mère, afin qu’elle puisse suivre notre vie de prêt, sans pour autant totalement présente. Je m’endormais alors à présent, dans un profond silence, un silence trop étrange qui aurait alerté je le pense n’importe quel ninja apprenti, ou même des gens connaissant la guerre. Je savais qu’il y avait quelques choses d’étranges, étant habitué à vivre de temps à autres dans la forêt, mais la fatigue était trop présente, et la chaleur de mon lit me fit bien vite oubliée mes présomptions.



Je fus alors violemment secoué par mon père, mais n’entendant pour l’instant rien. J’avais un étrange sommeil, qui faisait que mon système s’éteignait de manière inverse à celui d’un être humain. Mon système auditif s’endormait en premier, et s’éveillait en dernier. Quoi qu’il en soit, lorsque je fus totalement maître de moi-même, je pus entendre à l’extérieur des chevaux hennir, et habituer à leur présence, je compris qu’il ne s’agissait certainement pas d’hennissement de bonheur. Je me relevais alors brusquement, prenant ce que je pouvais à porter de bras, violemment tirer par mon père, qui m’emmena dans l’une des écuries non loin. Le conseil du village semblait avoir pris des dispositions afin de parer à toutes éventualités, sans que je sois au courant. Par un astucieux système de poulies et de tractions, une trappe s’élevée, où était déjà caché quelques enfants, qui n’était pas mes amis, mais dont j’avais sommairement fait connaissance. C’est à ce moment là que la cassette s’arrêta alors lorsque je fus enfant, mais étrangement des flashs me revenaient alors, postés sur cette branche. La lune semblait cogner ma tête, et je me retrouvais alors dans cette période qui avait été effacé de ma vie, spectateur de ma propre enfance, évanouis sur cette branche. Je me revis alors, ne me souvenant pas réellement des gens présents, mais je pus alors remettre chaque nom sur chaque visage qui m’était présentés. Mon père était repartis près des anciens, qui imploraient le chef du clan de les épargner leur offrant tout ce qu’il possédait, se cachant bien évidemment d’avouer leur plus grande richesse. L’homme accepta, fatigué de toutes ses tueries, et fit volte face, rebroussant chemin. Mais lorsqu’il arriva aux niveaux de ses suivants, il eut un petit rire sadique.



Les pillards foncèrent alors avec joie sur le petit groupe de paysans, ne sachant trop que faire ni par où commencer. Cependant, je savais de qui tenir quand à être un petit stratège. S’étant dissimuler derrière quelques faux murs, les plus vaillants des hommes prit alors d’assaut les quelques barbares qui furent totalement pris par surprise, et de ce fait tuer sans la moindre hésitation. Mais une seconde vague arriva, d’homme plus puissant, encore moins intelligent que les autres, et lancèrent leur épée, sans voir ce qu’elle touchait. Les femmes apeurées, se mirent à pleurer, tout comme moi et l’ensemble de notre petite communauté dissimulé. Mais ce qui coulait sur mes joues étaient des larmes de haines, et non de peur, une haine impromptue envers la race humaine, ne comprenant pas, et je laissais alors mes émotions me satisfaire pleinement, tout comme à mon épaule, qui me brûla d’une manière inexistante auparavant à la vue des premières giclées de sang. Je déchirais alors ma chemise de nuit, et les enfants se mirent alors à pousser de petites cris, voyant le dragon sur mon épaule bougeant tout doucement. Les femmes , du moins celles qui n’étaient pas encore évanouies par l’effroi cachèrent les yeux de leurs enfants, tandis que d’autres sortirent alors de leur cachette, pensant qu’elles allaient mourir quoi qu’il arrive. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait, je comprenais après tant de tant ce qu’il se passait, et ce qui avait pu se passer ce soir là. Je me voyais me tourner vers le groupe apeuré, mon expression était modifié, et je possédais une terrible envie de sang.



Le reste de la troupe s’enfuyait alors vers le haut de la montagne, passant le col pour finalement se retrouver sur l’autre versant, afin de rattraper une garnison du village de Suna. L’autre moitié fuyait vers le groupe de barbare, et moi seul dans le trou, j’attendais. Je ne comprenais pas ce qui se passait en moi, mais il semblait qu’à ce moment là, je prenais pleinement conscience de mon pouvoir. Des images apparurent alors en moi, celle d’un dragon, qui m’annoncer tout un tas de choses que je ne comprenais pas étant enfant, mais que mon moi actuel comprenait pleinement, après avoir récupéré le katana, après avoir entendu toute l’histoire du vieillard. Je faisais donc réellement parti de cette civilisation antique, qui avait disparu. Je me vis alors ne plus écouter le dragon dans ma tête, la secouant violemment, et foncer vers le groupe de barbare, massacrant les derniers survivants. Je m’arrêtais net, voyant le corps de mon père, étendu à terre, inerte. Je m’effondrai alors à ses côtés, le priant de se relever, de me protéger. C’est à ce moment là que tout à virer, l’un des plus grands barbares s’approcha de moi, et leva la main afin de tenter de me fracasser le crâne au moyen de sa massue. Sans que je n’ai rien eu à faire, l’arme s’arrêta à quelques millimètres de ma tête, ne m’ayant rien causé comme dégâts. L’homme, certainement plus bête que sa massue, recommence moult, sans jamais parvenir à atteindre sa cible.

Mon corps bougeait tout seul, et je me voyais, me tenir face à l’homme, bougeait comme si mon âme anticipait le mouvement de mon corps, et tendre la main, l’enfonçant dans celle de l’homme, n’en retirant que sa propre âme. Je récupérais alors l’arme de l’homme, faisant certainement le double de mon poids, la soulevant comme si elle ne représenterait, et dans un enchainement effrayant je massacrais ce qu’il restait des hommes, mais également des femmes et enfants de mon village. Rien ne pouvait arrêter ma haine meurtrière, si ce n’était la voix de mon père. Mon village regorgeait de feu, dévorant chacune des petites maisons qu’il trouvait sur son passage. Et c’est là , entre deux, que je vis mon père, tout du moins l’âme errante de mon père, spectateur de mon carnage, qui ne comprenait pas, et ordonné de me stopper immédiatement. Mes yeux pleuraient des larmes de sang, j’étais moi-même entièrement recouvert de sang, et c’est à ce moment là que j’ai retrouvé le court de la vie normale, me retrouvant au milieu du village, la garnison de ninja de Suna arrivant, et me retrouvant, moi seul vivant. Je tombais de fatigue, mais probablement également d’effroi, d’incompréhension, et de chagrin. A la suite de cela on m’apprit qu’il n’y avait aucun survivant, et que seul quelques objets furent retrouver. Durant toute ma vie la vérité m’avait été caché, il restait encore une partie de mon village, elle avait simplement eu peur de me récupérer, et je vivais à présent, avec ce sceau, seul témoin de ma mémoire perdue. . .

Je m’éveillais à présent sur l’arbre, le soleil pointant ses premiers rayons. J’eus alors un violent mal de tête, certainement le résultat de cette rencontre avec moi-même, mais également de ma prise de conscience de ce que je renfermer.

Comme toute histoire qui commence, il y a un moment incertain, un moment hésitant, celui de la naissance. Au début, il n'y avait rien, seul le néant dominait ce qui n'existait pas. Un noir si obscur, si calme, si paisible, que rien n'aurait pu détruire cette plénitude parfaite. Comment sommes-nous donc présents sur cette Terre en ce moment ? A quoi, à qui devons nous notre existence ? Tant de questions qui resteront sans réponses, du moins, pour le moment . . . Mais revenons à ce moment alpha, où la matière et l'antimatière ne faisaient qu'un, où les mots n'existaient pas, où les sentiments n'étaient pas définis. Le chaos, la destitution du trône de néant. En un temps que l'on ne peut décrire, que l'on ne peut observer, ni même se souvenir, tout a jaillit. Tout ce que nous savons, nous supposons, c'est déroulé dans un temps infiniment court, s'élargissant peu à peu vers un espace, un temps. Un temps si long, que personne n'a pu juger, n'a pu vivre. Tout ce que nous savons, remonte au jour de notre naissance. Le monde dans lequel nous vivons, nous respirons, se situe dans un temps autre que cette création. L'origine de l'homme elle même est floue, comment avons nous été créé, par qui ? Partout dans le monde, chaque être vivant pense, trace son chemin dans un temps et un espace qui ne sont définis que par lui même. Chacune des perceptions diffèrent selon l'individu, le caractère, le sentiment, la pensée. Cependant une pensée collective s'est créée, tout au long du temps, injectant des modes de pensées, des noms de personnes connues pour leurs faits. Mais remontons dans un temps inconnu, un espace qui n'est connu d'aucun. Il n'existe que dans le subconscient de certaines personnes, que dans l'imagination commune de créateurs, que dans la pensée, la main, le stylo de l'auteur qui écrit ce texte. Si l'on réfléchi quelques instants, si nous prenons le temps d'y réfléchir, nous remarquons que cette pensée existe également dans l'esprit de chacun, sous formes différentes, mais dans un esprit commun. Gaia. L'esprit si célèbre soit il de la Terre, considéré par certains comme un guide, une personne à part entière que l'on doit respecter plus que tout.



Mais en chaque homme existe son anti-pensée, celle de survivre par tous les moyens. De ne prendre en compte que son propre intérêt, aux dépens de celui d'autrui. Celui de prendre le pouvoir, de dominer avant d'être dominé. Rapprochons nous maintenant de cette pensée, et admettons maintenant que nous ne soyons nous même que le fruit de l'imagination de gens, qui vivent ce que nous pensons. Mettons nous dans la situation d'un monde, où la technologie n'existe pas, n'est pas connue, où des noms aussi célèbre que Nidaime, Albert Einstein n'existe pas, où notre esprit commun a été altéré à son commencement, où ce Big bang, ainsi que les lois quantiques de physiques ont été plus que corrompues, et que ce que nous appelons, chakra, esprit intérieure, ou plus populairement magie est désormais redondant dans ce monde. Deux mondes, vivant en parallèle, coexistant sans se connaître, si ce n'est dans le monde de l'imaginaire. Dans un monde, la technologie actuelle, la suprématie de l'homme aux dépens de la nature, où le monde s'approche petit à petit de sa perte. Dans l'autre, un bonheur absolu, une harmonie et un respect de la nature sans égal, une économie quasi parfaite, ainsi qu'une domination d'un groupe de gens sur tout le monde, unis dans toutes les circonstances, ne dominant jamais plus qu'un autre.



Il est l’heure du lever du soleil. J’approche de mes 8 printemps, et j’ai toujours était un enfant solitaire, ayant d’autant plus une particularité . . . Mais le seul moment qui me fait sentir comme un autre est celui de l’arrivée du géant de feu, qui est notre maître à tous, ainsi que la principale force de notre village. Dans quelques heures j’obtiendrais la réponse de mon admission à l’académie ninja, à laquelle je viens de postuler. Par principe, nous intégrons l’académie dès notre plus jeune âge, mais mon histoire est quelque peu habituel, et c’est la raison pour laquelle je désire être ninja rapidement, afin d’imposer ma force mentale et ma force physique. Dès mon plus jeune âge, mon rêve fut de devenir ninja, afin d’utiliser à bon escient mon agilité. Mais plus je grandissais, plus mon rêve devenait abstrait, le refus de mon père pour un tel poste. Je suivis donc une scolarité « normale », travaillant comme un acharnée pendant près de 5 ans lors du premier cycle, ce qui étrangement me permit d’acquérir un niveau de réflexion assez élevé. Lors du second cycle, le travail commença paisiblement à me lasser, et je préférais lire des livres qui pourraient me permettre de devenir un ninja, tout en obtenant de très bonnes notes sans travail. J’eu l’examen final avant même de le passer, et intégra l’une des meilleurs écoles de troisième cycle de notre village. C’est alors que je fis la connaissance de techniques interdites, ainsi que la composition de nos techniques de clans, plus puissantes les unes que les autres. A ce moment là me vint une idée, mais je devais d’abord obtenir mon diplôme. . .



Le soleil va bientôt se lever, la position des étoiles atteint peu à peu leur paroxysme, et la rosée matinale du géant de vie laisse apparaître ses premières traces. La fille de la Terre quant à elle, disparaît petit à petit à l'ombre de sa génératrice. Le silence de la nuit s'efface proportionnellement au réveil des êtres vivants. Le chant de quelques oiseaux vient couvrir les quelques nuages annonciateurs d'une fine pluie en ce jour. Le vent souffle dans les cheveux d'un jeune garçon, se tenant au sommet d'une petite colline surplombant le petit village d'Usui. Ce village porte le surnom du village de l'eau, du fait qu'il pleuve ici presque tout le temps, et qu'il soit entouré d'un immense lac. Cependant ce village est l'un des plus connus, étant l'un des plus prospères sur Gaia. Cheveux au vent, sa cape étant emporté dans l'élan de sa marche, le jeune garçon, main posée sur son sabre se dirige d'un pas ferme vers l'épaisse forêt non loin d'ici. Ayant bien changé depuis sa création, Gaia du voir au sein de son corps, la création d'une milice afin de faire prospérer la paix en elle, ainsi que la paix inter village. Depuis peu, Orio fait partie de la septième section de la milice, à un poste plutôt important, puisqu'il dirige actuellement une petite patrouille. Un groupe renégat a décidé d'attaquer le village de l'eau, afin de piller une bonne partie de celui-ci, et de se munir des meilleurs artefacts, pour finalement attaquer la garde impérial de l'empereur Arashi. Positionnée derrière les quelques arbres annonçant la fin du pays d'Uki, la patrouille numéro 121 de la septième section se maintient en place, attendant l'arrivée silencieuse des rebelles. Quelques mouvements s'annoncent au nord de leur position. La courte bataille est proche. La patrouille d'Orio ne se compose que de 4 membres, étant tous amis d'enfance. Les rebelles se montrent alors, tous armés de vulgaires épées émoussées. Il s'interpose alors en plein milieu de leur conquête, son bras tendu vers eux. Ses cheveux d'un blond clair, contrastaient avec son regard noir. Sa cape emportait sur le côté, laissait dévoiler sa main sur son épée, et prêt à agir au moindre refus des hommes.



Les rebelles rirent alors vulgairement au nez d'Orio, fonçant droit vers lui. Le jeune garçon retira alors son sabre, laissant alors sa lame quasi parfaite à la vue des brigands. L'infériorité numérique était évidente, contrairement à la fin des évènements. Son agilité surprit alors les hommes, qui furent battus à plate couture par le simple manche. N'aimant guère la vue du sang, et encore moins la mort, il n'usait de sa force qu'en dernier recourt. Ses amis débarquèrent alors, se mettant du côté de leur leader. l'un d'eux, un puissant sorcier, vêtu d'une longue robe noire, se soutenant à un sceptre d'une blancheur éclatante, marmonnant quelques brèves paroles, rapprocha sa main de son torse, et fit un petit signe avec deux de ses doigts, qu'il tendit quelques secondes après vers les hommes, interloqués. L'anneau surmontant la tige du sceptre se mit à tournoyer, et un éclair pourfendit alors la terre située devant les hommes, ne laissant qu'un trou entouré d'une marque noir, résultat de la température excessive.


Les hommes repartirent d'où ils étaient venu, terrifié par le groupe, ainsi qu'humilié par cette défaite cuisante. Orio rejoignit alors le petit groupe, formé par le sorcier, Mahou, toujours sombre, plutôt renfermé sur lui même, mais appréciant Orio. Sur sa gauche, on peut remarquer la toujours fraîche et disponible Onia, appartenant au célèbre clan de médecins Igakubu, et étant l'une des principales guérisseuses. Ce clan connaît tout ce qu'il y a à savoir sur les techniques de guérison, les remèdes, mais possède également une culture impressionnante sur la magie. Dernier compagnon de ce petit groupe, Siegfried, principalement remarquable par sa taille démesurée, puisqu'il atteint presque 2,30 mètres. Ses muscles sont plus que développées, et sa force en fait un redoutable adversaire. Cela fait maintenant près de 4 mois qu'ils se sont intégrés à la milice, et par le "fruit du hasard", ils finirent par se retrouver dans la même section, puis être sous les ordres d'Orio. Cependant le monde dans lequel ils vivent, est bien différent, une armée de dragon, menée par la puissance du légendaire Kojihiryuu, dragon des sept mers, des sept continents, attaquera bientôt.

Deux époques, deux personnages, une même puissance et une même force. Mais vous allez me dire, quel est le rapport direct entre ces deux personnages, qui n’ont apparemment rien du tout en commun. Seul l’avenir le dira, puisqu’il semblerait que leur destin soit lié, par un temps et un espace que nous ne connaissons pas.



Depuis quelques temps je fais un étrange rêve, je suis seul, au milieu d’une plaine, entouré d’un feu ardent d’une hauteur impressionnante, et cet homme me regarde, seul, et me tend ce katana. Il me dit quelque chose, mais les mots sont imperceptibles. La première fois que j’ai fait ce rêve, je n’avais même pas remarqué l’homme, mais plus le temps passe, plus les détails se font importants, et même depuis quelques jours je peux ressentir la chaleur émanant du feu qui crépite sur ma peau. Je me réveille alors en sueur, juste avant le lever du soleil. C’est à ce moment là de l’histoire que mon rêve de devenir ninja fut alors plus qu’un rêve, mais mon futur direct, reliant mon destin à celui de cet homme que je ne connaissais pas. Lorsqu’un matin je me suis réveillé avec ce katana dans ma main gauche, le fourreau dans la droite, tout ensanglanté. Mon père ne parvint pas à expliquer ce fait étrange, mais la seul chose qui fut sur, c’est que ce katana me revenait de droit, de temps, et d’un homme qui semblait assez flou.



Mais c’est à ce moment là que la cassette s’arrête, et que l’on fait un arrêt sur image afin de décrire tout ce qui se passe. Je suis seul, toujours seul, fils unique, et pourtant je fais parti du clan que je ne connais pas encore, ce qui je pense m’enterre d’avantage dans ma solitude, mais cette solitude me donne force et courage pour continuer ce que j’espère devenir. Mon père n’est pas très présent à la maison, mais c’est un modèle pour moi, puisque lui-même est un homme respecté dans notre village. Ma mère quand à elle est morte à ma naissance, je ne l’ai jamais connu, mais trop de faits trouble l’entoure. J’ai toujours été aimé dans cette famille, mais je ne la considère pas comme ma réelle famille, comme si j’étais détaché de ce monde. C’est là que la cassette reprend, et que je me retrouve en train de tenter de manipuler tant bien que mal ce katana dans mon jardin. Les vacances débutent, et je viens de déposer mon inscription à l’académie, ayant obtenu l’un des meilleurs résultats du diplôme. Et c’est là que le destin que je possède ne m’appartient plus.



Le soleil se lève une fois de plus, mais aujourd’hui est un jour différent des autres, aujourd’hui, je vais mourir pour la gloire du monde. La guerre persiste dans notre pays, qui voit son déclin s’agrandir de jours en jours, et sa fin plus proche que jamais. Bien qu’étant sur ma position la plus sur du campement, je ne sais pas encore ce qui va m’attendre, et c’est à ce moment là que les premiers arts ninja seront créés, mais également testés inutilement sur notre petite garnison. Un groupe bien moins nombreux se dirige à toute vitesse sur nous, sans que nous ne puissions faire quelques choses, sans même les sentir. Le feu fut alors déclaré alors que le sommeil avait gagné chacun, et sans cette intense lumière qui fut alors descendu de nulle part, je n’eus pu faire la réalisation de mon destin, et ainsi finir ma vie paisiblement. Un immense halo de lumière vint alors entourer les ninjas, et seul un jeune enfant apparu au milieu d’un feu. Je ne savais pas ce qu’il avait, mais je me sentais comme lié à lui. J’étais le seul survivant de mon équipe, et la vie commençait doucement a quitté mon corps. Je lui tendis alors ce qui avait fait tout mon corps, toute mon âme, tout ma vie : mon katana. Une immense flottille de dragon arriva alors, détruisant tout nos adversaire. Kojihiryuu remarqua alors ce guerrier, cet enfant pris au milieu des flammes, et il savait ce qu’il avait à faire. Un immense explosion eut alors lieu. Orio fut retrouver plus tard, à quelques centaines de mètres, un cœur de dragon battant en lui. Notre Kage en personne se déplaça sur le carnage, sans savoir la raison de notre mort. Nous fumes déclaré héros à titre posthume, mais l’attaque du pays ennemi, son test avait eu un franc succès, et quelques mois plus tard, notre pays n’existait plus.

C'est là que le drame s'inscrit dans ma vie. Nous étions tous dans le bonheur, j'allais bientôt intégré l'académie, mon père était fier de moi. Cependant la guerre faisait rage, et bien que nous fusses un petit village isolé, les barbares ne manquèrent pas de nous piller. Mon père me cacha d'une une petite remise, un lieu inconnu, où je fus à l'abri. Cependant une partie de ma mémoire fut inactive, je suppose à cause du choc de la violence. A mon éveil, j'étais à Kiri, le kage me prit sous son aile, mon caractère fut changer irrémédiablement, et le katana perdu à tout jamais, certainement dans la bataille qui fit rage.

Dans des temps immémoriaux, où les ninjas n’étaient pas encore aussi connus qu’aujourd’hui, plusieurs centaines de clans, surpuissant tous autant les uns que les autres, s’affrontaient dans de puissantes et destructrices batailles. Parmis l’un des, le clan des dragoons, un clan qui a aujourd’hui perdu toutes traces de pratiquants, qui possédait un lien plus qu’étroit avec une lignée d’animaux légendaires, n’étant autre que les magnifiques dragons des plaines, survolant notre terre. Ils avaient appris à vivre en communauté, les anciens vouant un culte à ses créatures majestueuses, les jeunes apprenants à vivre en harmonie avec eux, en symbiose. Chacun vivait aux dépens de l’autre, dans le respect mutuel de la vie. La structure social se basait, que ce soit dans l’une des races ou dans l’autre sur le respect de l’ancienneté, comprenant à la fois force et sagesse. Ce clan dominait largement les autres, maintenant une paix durable dans leur pays, repoussant chaque assaillant sans aucune perte humaine ou dragonne. Quoi qu’il en soit, lorsque les premiers shinobis créèrent les premiers clans de ninjas, et par la même occasion, les villages, ainsi que les jutsus et autres artifices, le clan suivit la progression, créant lui-même ces propres jutsus, bien évidemment d’un niveau et d’une intelligence bien supérieur à n’importe quel clan de cette nouvelle ère.



Cependant car il y a toujours un point noir lorsqu’une civilisation domine le monde, les jalousies montèrent dans un intérêt général d’obtenir leur place, et de détrôner ce peuple qui vivant dans leur propre monde, à l’abri du besoin de la guerre. Une longue guerre fut alors déclenchée, tous s’unissant contre ces « dragoons » qui dominaient depuis trop longtemps la Terre, Gaia. Séparé des dragons, le clan fut alors mené à la perte, les dragons étant chassés les uns après les autres. Cependant une poignée de dragon parvint à être sauvé, par des hommes comprenant leur détresse bien que n’appartenant pas au célèbre clan. L’un d’eux, possédant d’immense terre dans les montagnes, ainsi que d’innombrables grottes, fit survivre durant plusieurs générations une famille de dragon, dernière survivant de cette guerre qui dura près de 200 ans. Toutes traces écrites, tous les documents furent brûlés et détruits pendant cette période, excepté ce qu’en garda la famille salvatrice de la famille. Après des centaines d’années, il ne resta finalement qu’un seul survivant, dernier héritier de l’histoire des dragoons. L’un des enfants de la famille passa alors toute sa vie à écouter le dragon, afin de pouvoir mettre des mots sur cette histoire, de pouvoir laisser tout de même une trace écrite afin de ne pas oublier ce clan si magnifique qui existait. Cependant, les hommes avides de pouvoir et de terres investirent les quartiers de la famille, ordonnant de distribuer chacune des terres qu’ils possédaient au peuple, insistant sur le droit de chacun à posséder une terre. L’homme, chef de la famille n’opposa aucune résistance, demandant simplement de conserver une partie de son terrain, dont la grotte. La demande fut rejetée, et au cours d’une nuit, une horde de paysans, armés de fourches et autres broutilles s’attaquèrent à la bête, afin de faire réellement disparaitre ce clan maudit. Toutefois, dans un dernier souffle, l’homme s’interposa, et reçut la flèche que le dragon aurait du recevoir, bien qu’ayant accepté son destin. Dans un souffle de rage, le dragon tua tous les paysans, et offrit son cœur à l’homme, lui permettant ainsi de vivre. Lorsque l’homme se réveilla, tout ce qu’il vit n’était que cendre d’homme, ainsi que le corps sans vie du dragon. Il s’écroula alors en sanglot au sol, criant tout le désespoir inscrit en lui. Un dernier souffle du dragon vivait en lui, afin de lui dire comment commémorer sa mort. Il devrait forger le meilleur katana, et ainsi sa mémoire pourrait s’en reposer en paix. L’homme ne prit pas le temps de réfléchir, il couvrit la bête avec plusieurs centaines de tissus, afin de ne pas laisser son corps à l’air libre.

Durant une décennie il exécuta son périple, recherchant le meilleur de tous les forgerons, bien qu’étant déçu à chaque fois, par le peu de propreté de la lame, et la mauvaise facture de celle-ci. Après vingt ans de recherche, la maladie commença à emporter peu à peu son corps, mais cela ne l’empêcha pas de continuer sa recherche. Dans un petit village reclus, un homme possédait une étrange technique, cependant, pris par la folie, que tous disait, l’homme fut expulsé à l’extérieur du village. En effet cette technique consistait à communiquer avec les esprits des anciens maîtres du monde, ce même clan que l’homme persista à rechercher durant plusieurs années. Le priant de l’aider à faire ce que son ami lui avait demandé, lui ayant montré ce cœur si majestueux vivant en lui, tout sa vie allait peut être enfin prendre un sens. L’homme communiqua alors avec les esprits, afin de l’aider dans sa quête.

Une nuit sans lune, une forêt sans bruit, une immense lumière jaillit alors de la petit hutte du fou, laissant alors apparaître l’esprit du plus anciens des dragons, lui expliquant ce qu’il devait réaliser. Une semaine entière fut demandée aux deux hommes afin de réaliser ensemble, sous le geste du dragon, le katana d’une étonnante facture, mais d’une réalisation parfaite. Peu de temps après le fou mourut d’une rupture d’anévrisme, et son corps disparut comme par enchantement, ses cendres rejoignant le royaume des étoiles. L’homme revint quant à lui dans son pays, tout avait changé. Laisser à l’abandon, sa maison était entièrement recouverte de mousse, par chance, le petit chemin lui aussi était dissimulé, et sans prendre le temps de rentrer chez lui, il se rendit dans la grotte, où étrangement, le corps du dragon avait continué de vieillir. L’homme tendit la pointe du katana vers le dragon, et une violente lumière, emportait par un puissant vent apparu dans la grotte.



« Je te remercie . . . mon âme sera à présent éternellement scellée dans cette lame, qui durera jusqu’à la fin des temps . . . Apprends à te servir de cette lame, perpétue la tradition dans ta famille . . . »

Des générations après, cette famille fut la dernière et la seule à connaître les secrets de ce clan, si célèbre soit il. Mais leur destinée n’était pas encore finie, il devait encore faire connaissance avec un jeune garçon, un jeune garçon qui serait la réincarnation de cet ancien dragon, revivant sous les traits d’un étranger en périple. Conscient de l’enjeu qui était entre leur main, la famille éparpilla ses membres à travers tous les pays, recherchant durant plusieurs siècles cette vie qui pourrait être celle-ci. Plusieurs prétendants furent ramenés, tous les uns plus que les autres, aussi prétentieux que possibles. Chacun d’eux mourraient dans d’affreuses souffrances lorsqu’ils tentèrent de voler ce katana si précieux, leur corps retrouvé complètement calciné. Finalement, il ne resta qu’un seul survivant, qui vieillit seul, renfermé sur lui-même, sa demande ne faisant plus écho. C’est alors, qu’un jeune garçon, Ikari, notre jeune étudiant, en plein périple afin de tenter de retrouver les traces de ses ancêtres. C’est alors qu’il frappe à la porte du vieillard, demandant l’hospice pour la nuit. L’homme, surprit de voir un si jeune garçon, en périple, lui offre le gîte pour la nuit, apprenant à faire connaissance avec lui autour d’un bol de ramen bien chaud.

L’homme lui fait alors part de sa propre vie, après avoir été subjugué par tant de mystère autour de sa vie, en rapport avec les dragons. Toute la nuit passe, les deux hommes s’échangeant chacun leur mystère, se rejoignant peu à peu. L’homme fait finalement part à Ikari du katana ancestral faisant partie de leur histoire familiale. C’est alors qu’il vint une idée à l’homme, envieux de savoir s’il était ou non le digne descendant de ce clan si réputé. Ikari s’éclipsa alors l’espace d’un instant, allant cherchant un objet qu’il désirait offrir à l’homme en remerciement de l’invitation. Pendant ce temps , l’homme inséra discrètement dans le thé du jeune homme une puissante drogue, qu’il utiliserait pour la suite des évènements. L’homme vit alors Ikari s’effondrait dans un profond sommeil, profitant de cela, pour le tirer jusqu’à la grotte, le katana accroché dans son dos. Il découvrit alors le torse d’Ikari laissant alors apparaitre le sceau sur son épaule.



Il enfonça alors au plus profond d’Ikari le katana, laissant pour seul douleur une imposante lumière, enfermant dans tous son être tout le savoir jusque là enfermé à l’intérieur d’Ikari. Le sceau se développa doucement, progressivement, le dragon se mouvant sur le dos d’Ikari, créant alors une atroce douleur, étant son premier éveil. Ikari se releva alors, tenant à présent dans sa main le katana, l’utilisant comme support pour se relever, la chaleur de son corps étant étonnamment élevé, sa sueur s’évaporant sous la température. Les yeux d’Ikari ressemblait à ceux du dragon, et le sceau des dragoons était à présent visible sur la poignée du katana, celui si étant également modifié. La lame reflétait un noir, synonyme du néant où survivaient à présent les âmes des dragons.



L’homme pouvait à présent rejoindre les cieux, endroits paisible qu’il avait eu la permission de rejoindre, ayant finalement accéder à l’être qui n’était autre que le descendant direct du plus puissant dragoon jamais connu. Ikari s’effondra peu de temps après avoir vu l’âme de l’homme rejoindre la lame du katana, de son katana. Son sommeil n’était en rien normal, puisque son âme s’était également retrouvée enfermé dans la lame, ayant pour guide le vieil homme. Ce dernier lui expliqua l’âme qui était enfermé dans le katana, celle de Kojihiryuu, le fils illégitime du roi dragon, ainsi que la puissance qu’il dégageait. Il eut un peu de mal à expliquer la présence du sceau sur son épaule, étant certainement un signe de bénédiction des dieux. Après environ deux jours de coma, Ikari s’éveilla, étrangement guéri de ses blessures. La grotte n’avait plus aucune trace, et la maison avait complètement disparut, de même que le vieillard, ainsi que toutes traces de sa vie.

Pensant avoir fini son périple, Ikari s’en retourna à Kiri, profitant de chaque jour pour s’entrainer au maniement du sabre, ainsi que faire connaissance avec l’âme qui était enfermé dans la lame, celle de Koji. Il s’avéra un compagnon de route assez étrange, pouvant sortir sous forme de petit lézard, profitant des épaules de son porteur. Un étrange lien se forma au fil du voyage, Koji étant l’exact inverse d’Ikari, amusant, attendrissant, laissant ses émotions le dépasser.

Citation :

Nom de l'arme : Kojihiryuu

Type
Katana unique

Particularité
Renferme l'âme d'un légendaire dragon, qui a la capacité d'emporter
avec lui l'âme de sa victime dans les abîmes.

Dégats
X PV lorsque le pouvoir du dragon n'est pas activé par l'utilisateur.

Pouvoir
Si l'âme est faible, c'est la mort assuré, dans le meilleur des cas, ou dans le pire, suivant le point de vue..

Contrainte
Le pouvoir du dragon ne peut être utilisé qu'une fois par personne par combat, sinon il se retourne contre son utilisateur et il reçoit les dégâts.

Coûts
X point de chakra pour activer le pouvoir.

Histoire
On dit que l'âme d'un dragon y résiderait, et pas n'importe quelle âme, celle du fils de plus puissant dragon de l'ancien temps. Certains livres content l'histoire d'un ancien temps, où les dragons étaient vénérés tels des dieux. Seulement le plus jeune d'entre eux était détesté, étant un futur grand roi. Il décida alors de détruire son âme, mais de manière astucieuse. Il proposa un défi au jeune dragon, qui accepta sans même réfléchir. Il devait battre un homme dans un combat, sans utiliser un quart de sa puissance, ni utiliser aucune technique de son clan. Mais trop avide de victoire, le dragon perdu dès la première minute de son combat. Il fut chassé du royaume, et détesté par les hommes. Le reste de sa vie ne fut que tristesse et abandon. Mais un homme qui croyait en lui en fit son ami, et bien que lui était immortel, ce n'était pas le cas de son compagnon de route, qui succomba des suites d'une guerre. Mais il connaissait un moyen de le ramener à la vie, il fallait qu'il lui offre son cœur. Chose fut faite, et en
l'honneur du dragon, l'homme forgea un katana, dont on dit possesseur
de l'âme de ce dragon. Elle fut transmise de génération en génération à
la famille, qui perdit peu à peu le goût à la bataille, ainsi qu'à l'utilisation. Lors de son périple, Ikari rencontra la famille, les sauvant d'un mystérieux mal. Afin de le remercier, ils lui offrirent le katana, ayant remarqué son étrange tatouage. On dit que peu après, d'étranges morts d'espion en tout genre, de brigands, et de malfrats s'étaient déroulés. Les quelques survivants qui purent décrire l'évènement, comptèrent une puissance redoutable, et l'avènement d'un immense dragon sortant d'une lame . .

Citation :

C'est le costume qu'Ikari porte en général, loin de l'habituel tenue de ninja.

Citation :

Ces vêtements se modifient lorsque Kojihiryuu se libère et laisse le pouvoir agir sur le katana. Cela permet à Ikari d'accroitre très légèrement sa vitesse.

Citation :

Contrairement aux autres, Ikari porte de simples sandales , qui lui permettent autant de mouvement et d'agilité que des sandales de ninja.

Citation :

Ce livre a été offert à Ikari par son père lorsqu'il était enfant, afin qu'il écrive le grand livre de son histoire. Aujourd'hui ce livre ne possède que quelque pages blanches. Ikari l'utilise principalement afin de décrire ce qu'il voit dans chaque pays qu'il a traversé, mais également de recueillir diverses herbes médicinales.

Bon ton tatouage a été scellé c'est tant mieux...Ensuite pour le katana je sais pas faudra demander a Tsu sinan ta 11 XP et tes validé ton grade maximum est de chuunin ou genin voir aspirant comme tu veut. Mais tu ne sera pas anbu ou juunin donc change ca. Et ton equipement est refusé.

Je pensais avoir un grade supérieur, mais vous avez jugé, je serais donc Chuunin avec votre accord final. Pour mon équipement, qu'est ce qui est refusé ? Je ne possède que mon kimono, mes sandales ainsi que mon livre .

Bon d'accord pour l'equipement mais pour le sabre faaut voir avec un admin