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Témari errait dans les couloires, effleurant de la main, les sourcils froncés, le mur couvert de sable dont certains pans, déjà, menacent de s'effondrer.

*Qu'est-ce qu'il s'est passé ici ?*

Son regard se porte sur un orifice, creusé à même le mur, et elle esquisse un sourire en regardant le désert qui semble s'étendre à l'infini. Des cris, probablements ceux de shinobis criant des douelurs de l'entraînement, lui parvienne, tandis qu'elle scrute une longue minute le sable, à la recherc he de leurs provenances, avant d'abandonner et de détourner la tête, les paupières fermées.

*Suna c'est pas pour les petitess natures.*

-Hum...
Elle relève la tête, avant de gémir d'un air affligé, s'affaisant contre le mur. Elle glisse lentement, emportant quelques grains de poussières dans sa chute. Elle plie la nuque, reposant son front contre la façade.

-Haaaaaaaa...Je suis bonne pour un sermont interminable de tous les gens que je croiserait ici...A commencer par mon frère.

Elle relève la tête, s'appuyant sur le sol d'une main pour se relever avant d'épousseter sa jupe, et de gémire, au bord des larmes :

-Je suis morte...

*En admettant déjà que je retrouve le bureau du Kazekage. Toutes les inscriptions sont éffacées. Et puis quelqun à refait la décos, cette plante n'était pas là. ET puis en plus elle est morte. Celui ou celle qui a fait ça est vraiment débile.*

A regrêts, comme se tirant de ses reflexions, elle se dirigea vers la porte, au bout du couloir, d'où semblaient provenir les cris.
Une lumière fugitive passa dans son regard.

*Tiens ? Une séance de torture ?*

Elle porta la main avec hésitation à la poignée, et entra dans la pièce, sobrement meublée, découvrant avec stupeur un rassemblement de gens à la mine sombre, et à l'expression grave. Elle détailla chacun des visages présents, découvrant des gens jusque là inconnus.
Elle s'assombrit, avec un sourire déformé sur les lêvres.

-Heu...Je crois que je ne suis pas arrivée au bon moment...

*C'était pas une scéance de torture !!! C'était un conseil !!! Le plus sage pour moi serait de trouver un moyens rapide et discrêt de m'éclipser...*

Elle entendit un brusque claquement derrière elle, la porte, qui semblait t-il, s'était refermée. Elle soupira, ramena une mêche de cheveux en arrière, et descendit son éventail de son dos, pour le porter à la main, s'appuyant néanmoins sur une commode pour le maintenir en équilibre.

*Bon, laissons tomber la fuite. Je crois que je suis bonne pour rester ici un bon bout de temps...*

Elle se tourna vers l'ensemble des gens présents dans la pièce, fit un moment de silence, avant de déclarer :

-Bonjour. Je suis Sabaku no Témari. Je reviens d'un stage à durée indéterminée de Konoha. Je suis revenue selon l'ordre du Kazekage, et je suis ici dans l'intêret de Suna.

Elle se mordit les lêvres, avant de poursuivre.

-Cependant je ne suis pas encore passée Gennin, la cérémonie a été interrompue pour le tournoi de Konoha, auquel un autre aspirant du pays du vent participait. J'espère que vous accepterait néanmoins mon retour parmis-vous, bien que vous me l'ayez demandé. Le passage en va plus tarder, et je passerait Gennin dans cet autre village, ou ici même selon votre bon vouloir.

Elle leva un regard étonné vers les hommes toujours silencieux dans la pièce, et haussa un sourcil.

*Tiens, pas une seule femme. Je me sens un petit peu...agrésssée par toutes ces ondes négatives....*

Elle regarda la plupart des personnes présentes sortir de la pièce, avant qu'elle ne remarque son frère debout derrière l'immense table.
Sa voix s'adoucit.

-Gaara...

Nous menions une conférence qui bientot allez touché a sa fin, elle parlait de l'avenir de Suna. Lorsque la porte s'ouvrit et j'entendis une voix féminine

- Gaara ...

C'était la voix de Témari, je fis signe que la conférence était fini, alors tout le monde sorta et je fis signe a Témari d'entrer.





- Tu avais donc oublier ce chère pays si familier pour toi, allant au village joyeux, sans ennui. Sache qu'etre KazeKage est une terrible prédilection. Tu n'as pourtant pas dû te soucier de l'attaque de l'akatsuki et de Oto pendant ton séjour. Témari tu me déçois, une soeur ou un fardeau que l'on ma laissé porté ?


La regardant, furieux, je lui fis comprendre que la beauté été finit.

Témari baissa la tête, cachant ses yeux derrière sa frange qui lui retombait sur le visage. Un sourire figé crispa ses lêvres.

-"Une soeur ou un fardeau à porter" ? J'ai toujours apprécié la part sensible de toi même que tu m'as toujours laissé appercevoir ! ironisa-t-elle, penchant son visage sur le coté.

Elle déplaça son poignet, ramenant son éventail à elle, avant de s'installer sur une chaise, en face de Gaara. Elle le détailla des pieds à la tête, notant quelques vagues changements visibles sur son visage, accablé par la fatigue.

*C'est vrai que ça doit être dur de ne pouvoir jamais dormir...*

Elle chassa ses pensées d'un geste de la main, et reporta son attention sur la conversation, qui ne tournait pas exactement comme elle se l'imaginait. A peine.
Elle joua un instant avec son éventail, détournant son regard d'un air amuser, le pliant et le dépliant dans un petit bruissement de vent, avant de prendre la parôle.

-Je suis revenue.

Elle se sourit froidement, comme pour s'en persuader elle-même.

*C'est fou ce que ça m'avance...J'aurai dû réfléchir, au lieu de rentrer comme ça juste parce qu'on me l'avait demandé.*

-Oto et l'Akatsuki...? Je ne vois pas en quoi ma présence aurait pû être utile, je ne savais même pas lancer un kunaï droit devant moi à l'époque !!

Elle rougit légerement, se rappelant ses entraînements devant des cibles immobiles, pendant des heures à se concentrer, et fière d'avoir réussi à maîtriser une technique basique...

*J'étais affligeante à cette époque...* songea-telle, mortifiée.

Elle se releva, laissant en plan la chaise au milieu de la salle, avant de se diriger vers la porte, s'appuyant sur le mur jouxtant la sortie.
Elle se pencha, récupérant son arme contre le dossier de la chaise, avant de regarder le nouveau Kazekage. Le détaillant discrêtement du regard, cherchant à savoir ce qu'il attendait d'elle, mais sans aucun succès.

-Que suis-je censée faire à présent ? Attendre que les autres aspirants de Suna soient prets à passer l'examen ?

-Que suis-je censée faire à présent ? Attendre que les autres aspirants de Suna soient prets à passer l'examen ?

Je La Regardait d'un air fixe, je lui repondis

- Maintenant, tu peux aider a la rénovation du village, c'est si délabré que ... Tu pourais "enfin" servir a quelque chose. Désolé, je dois te laisser, je dois retourner avec les aspirants du village, un doit venir avec moi pour aider a la rénovation du village.

* Le temp presse *

Je partis vers le desert de Suna

[ La suite c'est dans la rue de Suna, avec Yuji]