Citation d'un Livre de Tanrai Youkouko.
Il pleuvait énormément. Comme sur les visages de tous ces ninjas morts il y a quelque année de ça. Comme sur le monde shinobi dans son ensemble. Ils pleurent, eux les ninjas, ils pleurent les leurs mais que cherchaient-ils à présent?
A les respecter comme avant ? A chaque ère il y a de nouvelles décisions, des nouveaux hobbys, de nouveaux engrenages. Et parfois des choses disparaissent pour laisser place à bien d'autre. Es ce égoïste de dire que l'on ne veut pas disparaitre ? Es ce hypocrite de croire que le monde a encore besoin de ninja ?
Peut être bien. Mais, les ninjas ont toujours fait partie de se monde. Dans une forme ou dans une autre. Officiellement ou… Ou pas comme actuellement.
Les ninjas ont été réduis à une minorité presque négligeable. Mais leurs courage vaux bien des vies et celui d'un ninja est plus grand encore après avoir subit la 'purge' qui avait réduit encore le nombre des descendants des protecteurs du monde. A présent, les shinobis, qu'es qu'ils sont ? Qu’un tas d'homme ou de femmes capable ou non de changer le monde. Ou simplement leurs vies. Devenue des hommes de l'ombre, les shinobie se font encore plus discret, encore plus muet sur se qu'ils se passent.
Mais ils sont encore là. En nombre parmi nous, ils sont encore là. Notre devoir ? Les effacer de notre vie ? Non. Simplement leurs faire comprendre que leurs existences n'a plus lieux d'être.
Oui. Il pleuvait beaucoup ce jour là. Un parapluie au dessus de la tête, tenu par un petit sous fifre de ma 'famille d'adoption'
- " Les cheveux cours vous vont si bien Maitre. "
- " Merci. "Les cheveux cours ? Je les ai toujours eux. Mais, celui à qui j'ai prit la place ce plaisait à masquer son visage de ses longue cheveux noir. N’étant que l'ombre de son père. Vivant reclus sans voir personne. Une personne insignifiante en soie, une personne qui devait mourir pour que notre cause progresse un peut.
Pardon.
A présent, j'étais le maitre d'une bande de gugusse tous a mes pieds. Parce que mon 'père' était le riche écrivain révolutionnaire pactisant de la purge de Shinobi. Il avait gagné tellement d'argent qu'on ne pouvait lui dire non. C'était si grotesque, maintenant qu'il se mourait petit à petite grâce au pouvoir de notre organisation. Bientôt il mourra. Et moi, se fils dont il n'a jamais vu les traits, j'hériterais de sa petite fortune pour aidé la même organisation qui l'aura tué.
Toute en discrétion, sans jamais me montrer. En vivant parmi les gens si puérils qui vivent dans ses immenses cités entassaient les un sur les autres. Ah. C'était si laid. Tout ça, si laid oui.
Le vent soufflait fort aujourd'hui alors que nous avancions calmement sous la pluie. Un petit convoi avec derrière moi une charrette ou j'aurai pu m'abriter de se vent glacial. Observant autours de moi, je posai les yeux sur la créature qui tenait un parapluie au dessus de ma tête. Elle était plutôt petite, emmitouflé dans une lourde cape.
- ' Il me faudra un bain en rentrant. M'y accompagnerez-vous? '
- ' Oh oh maitre! Je n'oserais pas voyons ... 'Un sourire s'afficha sur mon visage en regardant le visage jeune de la demoiselle a coté de moi. Elle rougissait, elle était plutôt mignonne et j'adore les belles choses. Serait-elle vierge? Hum se serrai si séduisant de lui voler ça sans aucune douceur. Mais je ne suis apparemment pas se genre de 'type' même si ma propre personnalité finira bien par ressortir avec mon nom d'emprunt. Il faut bien jouer le vrai pour déclarer le faux. Un minimum tout de même. Enfin Enfin. Tout cela ne me déranger pas trop. Être un noble ? Je suis un chef de clan à l’ origine. La noblesse me va comme un gant. Jouer écrivains ? Pourquoi pas. Mais là n'était pas ma mission. Enfin, pas totalement ...
" Halte là ! Qui va là ?! "
Le parapluie au dessus de ma tête se pencha en arrière. Je vis alors deux gardes en armures non loin de là observant à tours de rôle moi et ma princesse de servante.
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' Nous venons de loin, et nous cherchons mon oncle, Tanrai-sama. 'Dis je, m'arrachant presque la langue de se 'sama' qui n'aurai dut être réservé qu'à moi. Foutu statue. J'aurai préféré être encore plus haut dans la société
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' Tanrai-sama ? Vous êtes Hikari Tanrai-san ? '-
' En effet. '-
' Nous avons été prévenu de votre visite. Vous pouvez passer. 'Encore heureux, sinon je les aurais peut être tous tuer et me serrais fait passer pour le seul survivant ...
Mais se n'est plus vraiment crédible à notre époque. M'enfin : Le vent était trop fort pour que ma petite servante reste trop longtemps dehors et je me décida donc à passer les portes de la ville de verre pour me diriger vers ce qui semblait être le lieu d'habitation de mon oncle.
Suite au prochain topic.