¤Akimichi Chôji¤
Vivent les Gens "de forte corpulence"!
Nom: Akimichi
Prénom: Chôji
Age: 15 Ans
Grade souhaité: Beuh...celui que vous me mettrez^^
Physique: Ah! Le PHYSIQUE! Question plus que Tabou pour Chôji! (Ne vous avisez jamais de dire qu'il est gr... enrob... un peu env... bref, qu'il n'est pas mince, si vous tenez à votre vie). Bon trêve de bavardages.
Chôji est un garçon plutôt grand et à vrai dire, plutôt gros, quoique très musclé. Normal, en temps que membre de la famille Akimichi, la moindre odeur de Chips ou de Yaki-Niku (sans parler des ramens) déclenche chez lui des envie irrépressible de dévorage. Il porte de longs cheveux bruns hérissés, et est généralement vêtu d'habits civils et d'une longue écharpe, ou de la tenue de combat cramoisie des Akimichis, couverte par une armure de plaques à faire frémir un Tatou.
Qualité(s): Chôji, comme tout bon Akimichi est un bon vivant, particulièrement sociable. Ne pas devenir ami avec lui est une chose quasiment impossible, sauf pour les gens très méchants et très villains, comme par exemple: (Haha! Tu ne le sauras pas!). Que dire d'autre... ah oui! Même s'il rechigne parfois à se battre, il n'hésitera pas à mettre sa vie en péril pour aider et/ou protéger ses amis (qu'il s'est fait parce qu'il est gentil tout plein).
Défaut(s): Chôji est d'un naturel craintif. Des années de moqueries à l'académie n'ont rien arrangé. Sa peur de déplaire lui fait aussi parfois manquer de l'assurance dont il aurait besoin pour s'affirmer totalement au sein d'un groupe. Enfin, son irrépressible assurance pour la nourriture quelle qu'elle soit lui fait parfois perdre le nord et accessoirement les objectifs qu'ils s'était fixés. Solutions: La carotte au Yaki Niku. YA-KI-NI-KU!!! Hôôôôôôsss!!
Peur: Comme je le disais précédemment, Chôji à peur de déplaire et de ne pas être dans la norme, ce qui lui vaut parfois des moqueries. Evidement, quiconque s'aventurerait à prononcer le-mot-qu'on-ne-doit-pas-lui-dire se verrait immédiatement explosé, fracturé et écrasé. (Paix à son âme).
¤Histoire¤
¤ Maternité de Konoha no Kuni - 12H AM - Un matin de printemps ensoleillé ¤Un tremblement fit vibrer tous les mûrs de l'hôpital du village caché de la feuille allias, Konohagakure no Sato, 1ère puissance militaire de la région.
L'immense Chôza venait de défaillir sous les yeux terrifiés des sages femmes et des infirmières qui ne trouvèrent aucun moyen d'arrêter les 2m05 (pour 164 kilos) du père d'un nouveau né au moins aussi Joufflu que lui: Akimichi Chôji, dernier descendant des maîtres cuistot du village.
La mère du petit garçon qui pesait quand même 5Kg, soit 2 au dessus de la moyenne, s'empressa de serrer son chérubin contre son coeur avec force mots gentils mignons tout plein tels: mon petit jambonneau. Comment voulez vous que cet enfant ait une alimentation normale après ça?! Hein? Je vous le demande!!
De son côté, Chôza avait repris ses esprits et après s'être relevé tant bien que mal dans l'espace exigu qui lui était réservé, il regardait à présent son fils unique avec tendresse. Mais, un petit creux survint, et il sortit manger un pain au sauté de porc qu'il s'était préparé AU CAS OU.
Mais pour le jeune Chôji, ce bonheur parfumé aux ramens ne dura que peu de temps. Quand il eut 6 ans, ses parents, après en avoir discuté avec lui (Chôji avait l'esprit très éveillé pour son age), l'inscrirent à l'académie ninja de Konoha.
Son embonpoint le désigna vite comme la cible des moqueries, et sa lenteur l'exclut tout aussi rapidement des jeux des autres. Pas facile de se faire aimer quand on est trop mou pour échapper aux shurikens en bois de ses petits camarades.
Les années passèrent lentement pour Chôji. L'académie le rebutait et il ne savait plus très bien si il devait continuer sur la voie du Ninja. En quelques temps, les seuls êtres vivant qui l'acceptaient encore étaient... les papillons; ces magnifiques insectes, symbole de la beauté et de la grâce, qui, avant de devenir ce qu'ils étaient, passait de longue semaines sous la forme immonde de chrysalide. Ceci l'intriguait. Pourquoi, CES insectes, plutôt que les fourmis industrieuses ou abeilles? Il ne savait pas si il devait y voir une simple coïncidence ou un signe du destin...
Les Akimichis avaient toujours, (d'après les archives secrètes du villages) entretenu des liens particuliers avec les papillons. Des liens, spirituels, évidement, pas comme les Aburame qui étaient presque des hybrides! L'on racontait que le Papillon, était la "forme finale" des Akimichis, celle par laquelle ils accédaient à la puissance ultime. Mais il semblait surtout qu'à part les concernés, personne n'ait jamais vu cette forme. Peut être un des 5 Hokages?... Peut être.
Mais Chôji n'eut pas a attendre là réponse très longtemps. Trois mois plus tard, le jour de ses neuf ans, son père décida qu'il était temps pour son fils de découvrir les vrais secrets des Akimichis. Chôza avait toujours appréhendé ce moment, la peur que son fils ait honte de sa propre famille lui tordait les tripes. Et c'est avec une grosse boule dans l'estomac, qu'il expliqua à son enfant les dons des Akimichis. Le décuplement du corps. L'étonnante force offensive dont ils disposaient, les techniques d'écrasement, et surtout... Les Pillules.
En temps que maîtres cuisiniers de Konoha, les Akimichi avaient au cours de leur histoire mis au point trois puissants concentrés ultra protéiné, décuplant le Chakra comme aucune pilule énergétique ne pouvait le faire.
Un sourire émerveillé se dessina sur le village du petit garçon. Lui qui n'avait jamais été que l'objet des moqueries et des insultes des autres appartenait en réalité à l'un des plus puissants clans du village de Konoha.
Durant des heures entières, il restait dans la bibliothèque de la demeure familiale afin d'étudier les techniques familiales. Sa préférée était: Bubun Baika no Jutsu. Pouvoir décupler la taille d'un de ses membres lui semblait extraordinaire. Aussi, passait il des heures dans les prairies à tenter de réaliser son Jutsu favori. Mais ne maîtrisant pas les bases, une technique nécessitant la pilule jaune était tout simplement irréalisable. Son acharnement (qui ne sera pas sans rapeller un certain ninja imprévisible) lui apporta tout de même un avantage non négligeable: un réserve de Chakra qui lui permettrait à coup sûr de devenir un des plus endurants combattant de son village.
Un beau matin, car les matins étaient toujours beaux à Konoha, Chôza son père, vint le chercher à la sortie de l'école. Chôji, pour une fois, n'affichait pas de mine triste, mais plutôt un sourire réjoui, un peu fier, et il avait de quoi. Toute la journée passée avait été consacrée à des travaux pratiques concernant la maîtrise du Chakra, et il avait impressionné jusqu'aux sensei par ses talents. Mais, revenons au papa. Celui ci se mit à la hauteur de son fils et lui annonça d'une façon solennelle:
-Chôji. Demain, tu ne vas pas à l'académie. Tu effectueras ta première mission avec moi. Bien sûr, il ne s'agit que d'une mission de rang D, mais à ton age il est important d'acquérir l'expérience du terrain... la vie de shinobi n'est pas toujours aussi facile qu'on dit!
Et sur ces mots, il afficha un grand sourire et emmena son garçon chez Ichiraku. 147 ryos de ramens. (Eh beh!).
Le lendemain, aux aurores, le fils et son père se réveillèrent en pleine forme. La 1ère mission de Chôji les excitaient autant l'un que l'autre et à vrai dire, ils n'avaient quasiment pas dormi. Chôji passa ses vêtements, prit son écharpe et sorti en prenant bien soin d'emporter le panier à provision, parce que chez les Akimichis, on n’envisage pas de travailler sans manger. (Sacrilège!!). La mission de rang D du jour: Rattraper ce *** de ***** de * à a [censuré] de chat de la femme du gouverneur qui avait prit la mauvaise habitude de s'enfuir aussi souvent qu'il le pouvait, allez savoir pourquoi.
Le matou, d'après les informations fournies, se baladaient régulièrement en pleine rue, effrayant les superstitieux et ravissant les petites filles qui le trouvaient mignon tout plein, et effectivement Chôji et Chôza ne mirent pas longtemps à retrouver le monstre, qui ronronnait au soleil, près de la libraire de la rue principale.
-Vas-y fiston dit Chôza à son fils un grand sourire sur le visage, montre moi comment tu te débrouilles.Le garçon prit son courage à deux mains, et s'approcha discrètement, l'air de rien, du matou. Mais celui ci, habitué aux tentatives de captures (dont il avait déjà été l'objet de multiple fois), se redressa en un éclair et, alors que Chôji lui sautait sur le rable pour l'immobiliser, recula d'un bond, laissant ce dernier s'écraser lourdement sur le sol.
Une voix aiguë et moqueuse résonna alors:
-Hin! Comment veux-tu attraper un chat avec de si grosses fesses?!!La cible de cette attaque mesquine tourna la tête. Il aperçu l'un des élèves de l'académie qui avait pour habitude de l'humilier en permanence. Une fureur sourde monta en lui, accompagnée d'une violente poussée de Chakra. Le chat, qui semblait avoir remarqué l'agitation détala, ce qui malheureusement pour lui n'échappa pas à Chôji.
-Temeeeeeeeeeeeee!!! Hurla t-il en étendant le bras dans un geste désespéré. Une chose étrange se produit alors. Son bras s'allongea, s'allongea encore de plusieurs dizaines de mètres et sa main devenue énorme se referma sur l'animal qui miaulait de rage. Un papillon vint taquiner la sale bête, alors que Chôza restait stupéfait, à la limite de l'évanouissement
-Bu…Bubun Baika no Jutsu... laissa t-il finalement échapper...