Kami Kage, le Dieu de l'Ombre EC

Prologue d'une Éternité

L'hypocrisie est dit d'une personne qui dissimule sa véritable personnalité et s'octroi, le plus souvent par intérêt, des opinions, des sentiments ou des qualités qu'elle ne possède pas. C'est une personne qui dit quelque chose sans le pensé. "Oh merci" Sans réel intérêt. Pensant plutôt que l'offrande ne sert à rien. " Tu es jolie..." ¨Pour profiter de la crédulité de l'autre. Pour le prendre dans ces sentiments pour le manipuler, le détourner. L'hypocrisie. C'est dire des choses que l'on ne pense pas pour faire plaisir parfois ou juste pour avoir plus de regard sur soie. C'est juste des mots sous des actions. Des douleurs pour les autres.

Être hypocrite c'est peut être se sauvé des autres ? Faire en sorte que tout soie rose autours de soie même sans se préoccupé des autres. C'est une par d'égoïsme ? Es que c'est mal ?

Mais le Mal n'existe pas. Le noir n'est qu'un dégradé de blanc et le blanc n'est qu'un éclaircissement du noir. Ici, dans la vie, il n'y a que douleur et plaisir. Sans éclat de masochisme! Il n'y a que de la souffrance pour se qui ne sont n'y égoïstes n'y hypocrite. Il n'y a que du plaisir pour les égoïstes et les hypocrites. Pourrions-nous séparer la barrière du bien et du mal a ça ? A l'hypocrisie des uns et à la douceur des autres ?
Non. Bien sur que Non.
Le mal est éphémère, n'existe pas sans le bien. Le bien n'est qu'une utopie crée par des gens avares pour décrire leurs système est manipuler les plus faibles. Il n'y a n'y bien n'y mal dans le monde. Seulement des yeux et des optiques diffèrent. Seulement des avis ou des décisions qui font de nous de bonne ou de mauvaise personne celons les avis.

Il n'y a que la caresse du temps et notre propre décision qui entre en compte dans notre jugement personnelle. Nous pouvons nous considéré comme bon ou comme mauvais; mais quel être ne dirait pas que c'est intention son bonne ? Qu'elle être fait le mal pour le mal? Quel personne n'a il pas, même dans le meurtre d'une nation, des idées qui pourrait faire de celui ci son propre sauveur ? J’ai tué pour une simple raison : parce que cella me fait plaisir.

Un homme peut tuer par plaisir. Un homme peut donner la vie par plaisir. Tout peut être fait par plaisir. Mais un homme qui tue par obligation? C'est qu'il fait tout de même cela pour sauver quelqu'un d'autre ? Sa propre âme ?
Nous avons toujours le choix sur nos actions, nous n'avons pourtant pas toujours le temps de réfléchir aux possibilités qui s’offre a nous. Parfois, lorsque l'on prend une cigarette, nous suçons la mort du bout des lèvres; c’est un choix ? Apporté cette chose ronde jusqu'à sa bouche pour incorporé a son corps des substances qui nous rendent dépendant ?
Nous sommes tous accrocs à quelque chose. Parfois nous sommes simplement accrocs a la vie; Ou au chocolat ? Mais le choix d'être accroc a une cigarette conduit inéluctablement a la pensé ' es que je vais mourir d'un cancer si je n'arrête pas ? Le temps joue contre nous, frappant notre corps sans que notre cerveau s'en rende réellement compte. Et nous n'avons pas le choix définit : j'arrête, je ne meurs pas. Je n'arrête pas je meurs demain. Demain nous pouvons mourir, écraser par un bus; demain nous pouvons cracher nos poumons dans les chiottes à cause de cette foutue clope ? Et la mort nous frappe. Sans que nous puissions réagir. Parfois nous mourrons lentement, chaque jours un peu plus. Chaque jour le mal nous emporte. Pourtant parfois mourir c'est une délivrance non ? Et le bien alors prend sa place dans la mort et nous prend de toute sa douce hargne.

Mais. Ici se n'est pas l'histoire d'un homme qui vie petit à petit. Je ne vous raconte pas l'histoire d'un être qui vie. Mais je vous raconte l'histoire d'un homme qui est déjà mort mais qui ne mourra jamais vraiment.
Là je vous raconterais l'histoire de cette homme a la chevelure ténèbres qui n'est est aussi égoïste que non hypocrite. L'histoire d'une sorte d'homme dont la franchise ferrait rougir le Père d'un confessionnal.
Nous parleront d'un homme qui aime la chair, qui aime les plaisirs de la vie mais qui se drogue de mort et de souffrance.
C'est un homme qui prend son pied à tuer. Qui prend plaisir à voir souffrir les autres.
Mais qui à l'originalité de nous dévoiler cette partie de sa personnalité, ouvertement.

C'est un homme pourtant mystérieux, une être qui ne dit pas tout et qui peut paraitre bizarre. Protégeant parfois les siens, les tuants à d'autre moment. C'est un homme qui pleure par l'intermédiaire des autres.

Chapitre 1 : Un sacrifice.

- " Kriss ... Qu'es que tu es ?
- Moi ? Mais, je ne suis qu'un gamin Maitre ! "

Maitre. Le maitre d'un jeune homme à la chevelure grise, longue en bataille. Des yeux verts en bataille. Sourire sur les lèvres. Le sourire d'un garçon qui n'avait pas encore vu la mort en face mais ... C'était aussi un sourire dotait d'une grande sagesse. Un sourire doux semblait calme mais plein de vie.
C'est le sourire de l'homme touchera le plus notre personnage principal. C'est son sourire à lui qui touchera cet homme. Se sourire chaleureux, sage. Mais a cette époque la, il n'était encore qu'un gamin. Et, en ses temps de guerre, se jeune guerrier n'avais pas encore fait sa première victime.

Kriss, c'est le nom d'une arme de cérémonie. Une arme de sacrifice. C'était le surnom qu'on lui avait donné car son vrai nom était bien plus triste encore. Donc : Kriss parcourait le monde de ces yeux. Et son Maitre, portant le nom charmant de : Kuragari. Maitre Kuragari. Son nom signifiait ténèbres. Il avait des yeux noir intense. Des cheveux ébène et un sourire fin, très doux ... Comme son visage tiré par la vieillesse, ridé.

- " Et qu'es que tu veux? demanda il lentement. D'une voix claire Résonante dans la petite pièce.
- Rien de particulier. Je veux juste faire plaisir. "

Le vieil homme se mit à rire. Se redressant, passant ces doigts dans les cheveux de celui qui n'était encore qu'un gosse pour lui.

- " J'espère que tu y arriveras. "

Son sourire était toujours le même. Celui d'un homme sage. C'était sur lui peut être que l'enfant avait copié le sien sur lui ? Le jeune homme regarda l'autre partir. Mais celui ci s'arrêta devant la grande porte de bois. Il tourna la tête, laissant son manteau noir de cuir trainait sur le sol. Celui que plus tard, Kriss prendra.

- " Reste ici. Le Maitre va venir. "

Kriss hocha la tête, son sourire toujours sur ces belles lèvres fines. Et son professeur disparut derrière la porte. Et un frisson parcourut le dos du jeune homme attendant patiemment l'heure de son 'jugement'. Observant la pièce dans la quel il se trouvait. Spacieuse à la fenêtre fermer sur une nuit sombre dont la tempête faisait claquer la pluie et le vent sur les vitres trop fine pour retenir le froid. Quelque meuble, un lieu très sobre et sombre contrairement a se jeune homme aux cheveux bizarrement gris assis sur une chaise de chaine au milieu. La fenêtre non loin éclairait son corps, se qu'il portait. Des vêtements d'un blanc très pur. Illuminant son visage ... ces trait fin, trop féminin pour le futurs chef de famille qu'il était... Mais…
Et quelqu'un entra. Sans frapper. Entrant dans la pièce, ne surprenant même pas le jeune homme qui se leva lentement, s'inclinant devant le vieux chef. Plus grand que lui, d'une bonne trentaine de centimètre, plus droit, plus large aussi. Mais ... Etait il beaucoup plus vieux ?

- " Kriss c'est ça ? "

Le jeune homme se redressa. Les yeux clos hochant la tête.

- " Sais-tu pourquoi notre famille est unique ? "
- Par ce qu'elle a un lien directe, grâce a vous, avec les Dieux.
- Parce que grâce a moi, tout les membres de se clan, ou toute personne lier a nous par le sang se voix doté d'une vis plus longue que la normal. Son âge s'arrête et le temps n'a plus d'emprise sur lui. Connait tu les contre partie?
- Beaucoup de prétendant meurt et nous sommes peux nombreux. Il nous est aussi impossible de procréer. "

L'homme s'approcha. Le Maitre fit quelque pas vers le jeune homme s'approchant de sa proie, comme un prédateur le ferrait ... Et ces yeux rouge percèrent les ténèbres, se posant sur la carcasse du petit Kriss qui ne bougea pourtant pas.

- " Ouvre les yeux. " Ordonna l'homme aux yeux rouges. Les yeux verts de Kriss s'ouvrirent se posant sur les prunelles sanguines.
Un autre aurait pu avoir peur. En fait, un autre aurait dut avoir peur ! L'homme aux yeux rouges leva les doigts vers le visage de celui qui était bien trop féminin, caressant du bout des doigts cette peau douce et blanche. Aujourd'hui c'était la première fois qu'ils se voyaient seul à seul. La première fois qu'il pouvait avoir cet homme qui ressemblait plus à une femme qu'à l'un de ces guerriers qui s'entrainait plus bas dans la tour ...

- " Non. Les vraies contraintes de notre clan résident dans notre vie. Nous frôlons la mort. Nous la voyons à longueur de temps puisque nous ne sommes plus réellement en vie. Tu ne pourras jamais plus regarder l'espèce humaine comme avant après ça ... "

Le jeune homme hocha simplement la tête. Observant toujours les yeux sang de son maitre.

- " Je t'apporte la mort le sais tu ? "

Kriss offrit son sourire à cet homme. Que lui donner de plus ? Pour la souffrance qu'il allait lui donner. Le Maitre regarda se petit homme. Lui, il n'avait pas encore passé se test imposé a beaucoup de membre. Pouvait-il ... Le supporter ? L'homme aux yeux rouges se demandait s’il survivrait à tout cela. S’il supporterait les évènements à venir.

Alors le vieil homme approcha. Son visage passa dans la lumière de la lune, révélant ces traits très fin marquant un coté ténébreux. Aucun sourire sur ces lèvres fine mais un pouvait apercevoir deux crocs blanc sur ces lèvres.

Puis ... L'acte se fit : les doigts blancs du Maitre caressaient toujours la joue de Kriss. Et ces crocs se plantèrent dans la gorge du sacrifier. Lui offrant la mort, la souffrance.

Mais ne lui offrant aussi qu’une vie sans limite une vision des choses qui serra a jamais changé par l’âge.
Car celui qui ne meurt pas du temps peux offrir le sien a tout se qu'il aime.

Aime-moi, Kriss ...

¤*¤

Il parait que, c'est en faisant n'importe quoi qu'on devient n'importe qui. Mais es que vous y croyez vraiment ? Pour sa par, l'homme assis dans les ténèbres pensé que tout cela était faux. En faisant n'importe quoi, la seule chose que l'on devient c'est : un cadavre. Un homme qui ne respecte pas se qu'il dit ou se qu'on lui ordonne ne mérite que de mourir. Et Le Maitre, le Dieu, le savait comme tous ses subordonnés... comme tous les hommes et les femmes qu'il gouvernait.

Cette nuit là il était assis, non loin de la fenêtre, observant l'extérieur. La tempête éternelle qui se dressait dans les landes de neige face à la grande tour. Dans la pièce, une flamme rougeâtre dansait et frémissait sur une tige blanche. La bougie consumé sa vie illuminant quelque peu les mains ganté de noir de l'homme qui était la. Soucieux ?
La flamme gigota. Comme dans un courant d'air. Ne faisant pas bougé le maitre des lieux, mais illuminant un peu plus loin quelque seconde, le lit de soie rouge plaçait derrière ... Une femme y était étendu. Nue brillante de sueurs, semblant dormir. Était-elle morte? Ou simplement trop épuisé par des actes charnels avec le Dieu ? L'homme aux yeux noirs ferma ces prunelles. A quoi pouvait il bien pensait ? Que se passait-il dans la tête de cet homme ? Son visage ivoire semblait parfait. Une parfaite expression de pensé divine. Une expression simpliste. Un calme intense presque comme si il dormait mais ... Ces yeux rouge s'animèrent soudain. Son regard se posa sur l'extérieur, puis il se leva s'approchant de la créature de rêve étalait sur le lit couleur sang. Posant une main sur la couverture, s'approchant comme un prédateur ... l'animal allongeait ouvrit les yeux, posant ces dernières, azur presque gris, sur le visage de son Maitre souriant doucement. Elle murmura :

- " Mon maitre, les initiations vous rendes soucieux ...
- La ferme. "

Lui fit-il sans douceur. Sa voix autoritaire n'était pas la même qu'avec l'autre homme qu'il avait vu plus tôt dans la nuit. Il posa, écrasa plutôt c'est lèvres sur celle de la femme. Et la nuit continua.

Chapitre 2 : Une éternité morte, et un présent miroir du passé.

Mon nom ? Quelle importance? A quoi sert-il ? Je veux juste connaitre le tien! Moi, appelle-moi Kami. Appelle moi Maitre, appelle moi comme tu veux qu’importe réellement puisque je n’ai jamais le même nom et que je ne suis même pas sur de me souvenir de mon vrai nom…

On ma appeler le Dieu de la destruction autrefois. Car je détruisais tout sur mon passage pour faire réagir ? Pour tuer ? Qu’importe les raisons, les actions seules comptent. Donc : je détruisais tout, tout se que je voyais, sourire aux lèvres fiers de mes actions qui vous paraissez si démesuré pour mon but.
Des femmes, des enfants, des ninjas, des vieillards, tous mourait les un âpres les autres. Et moi ? Recouvert de sang je sentais la fin approcher lorsque …

Mes yeux se sont posé sur lui. Fiers dans la bataille, il faisait partit de mes compagnons mais je ne l’avais jamais observé comme je le faisais maintenant. Quoi, c’est si dure de regardait quelqu’un se battre avec le regard qu’il avait ? Ces yeux d’un vert si pure semblait être prit d’une terrible mélancolie. Vieux comme mon clan, il possédait déjà de nombreuse année de lute derrière lui mais là…
Que m’arrivait-il ? Pourquoi tuais-je des gens ainsi ? Pourquoi es que je massacrais ? Qu’était mon but d’origine ? Qu’es que je voulais pour moi-même et pour mon futur monde ?

Je l’avais oublié. Mais ces dans tes yeux que je les retrouvé.

*‘Tue-moi.’*

Les murmures, non un souvenir plutôt. Les assauts avaient disparut dans ma tête. La neige souiller de sang ne semblait plus existait pour nous deux et même si il était loin et que le fracas des armes résonnaient dans nos cœurs, tu avais comprit n’es pas. Et tes yeux vert posait sur moi semblait encore plus triste qu’avant, encore plus mélancolique. Qu’es tu pour moi? Je ne me souviens pas. Mes souvenirs se brouillent. Mes idées deviennent ternes et je ne réagis plus. Vais-je mourir ? Enfin ?

Flash Back

[i]Des Montagnes, il faisait très froid.
Il y avait de la neige partout, un blanc immaculé avec, au milieu de tout cela un jeune homme avec dans ces mains un katana qui vibrait. Son visage aux yeux verts, ces yeux qui pleurait sans aucune retenue. J’avais dans les mains la tête d’un homme juste la tête, car le corps était arraché quelque mettre plus loin.
Il y avait de la neige partout, un rouge sanguinolent avec, au milieu de tout cela un cœur torturé par des sentiments vibrant. J’avais l’âme prête à mourir, et bizarrement je sentais des choses bizarre coulait sur mes joues. Une chose que je ne faisais d’habitude pas, en fait, que je n’avais jamais fait…

C’était peut être l’image de ce jeune homme à l’apparence chétif qui pleurais qui m’avais fait ça. C’était peut être la force de son cœur, et se qui le lier a moi qui faisait que mes yeux versé des larmes de sang… J’avais était malade jusqu’ici, je ne savais pas pourquoi, je savais simplement que c’était ça faute… Que ces yeux vert, que ces cheveux gris m’avais apaisé, que je l’avais sertit quelque temps … Avant de retrouvé mon vrai moi ! Par la mort de l’autre…

Étais-je malade ? Même maintenant, suis je malade ? Qui suis-je ? J’étais cet homme qui le servait sans retenue, le consolant de ces misères. J’étais cette homme qui l’accompagné ou il voulait, j’étais cette homme qui avait tout fait pour lui ! Mais … Seulement ça après qu’il est prêté de l’amitié a mon cœur … Qu’il met donner de son sang…
Je savais qu’avant de le rencontré j’étais le même homme que maintenant : un tueur sanguinaire revenant toujours d’entre les morts, toujours avec le même corps, le même but, appartenant toujours a la même élite mais …. Cette fois la, ça ne s’était pas passé comme avant. Peut être que son sang à lui était plus pur que les milliers d’autre que j’avais reçu ?
Il m’avait aussi offert son cœur … Son corps sans que je ne lui demande. De lui même m’amadouant facilement, me prenant contre lui pour me câliner sans que je ne résisté. Qui était-il ?

« Tue moi … »

Cette voix ?! C’était la mienne, mais je n’avais pas prononcé ça ! Je n’avais pas voulu les prononcer ! Comment aurait je pu vouloir qu’un homme aussi faible me tuer ? Un homme tremblant et pleurant comme une femme ! Oui … Il avait des traits de femme avec ces yeux couleurs de jade…

« Tue moi … »

Une nouvelle fois. Je lâchai cette touffe de cheveux sombre portant mon regard floue et brouillait par des larmes rouges vers se jeune homme aux cheveux gris et a l’âme hésitante.

« Empêche-moi de bafouer encore ton nom … »

Jeune homme … Je me souviens plus exactement de ton nom. Je sais que tu m’as appartenue, que le cri, le hurlement que tu poussas après m’avoir planté se katana sombre dans le ventre je l’avais déjà entendu, en mieux. C’était plutôt des cris de plaisir.
Rouge écarlate, mon sang s’évade, comme mon âme. Rouge, comme la pureté de mes yeux, rouge, prenant, l’air de rien, ma vie avec elle …
Je n’y comprenais rien, pourquoi m’étais je laissais tuer par cette homme au cri si déchirant a mon oreille ! Pourquoi pleurait-il sur mon cadavre ? Pourquoi m’appelait il par se nom grotesque et ténébreux ? Peut être … Peut être que je le connaissais ? Et que … j’avais inconsciemment effacé mes souvenirs de lui pour reprendre se que j’étais réellement … Un espèce de monstre sanguinaire et sans pitié. Vivant pour tuer, tuant jusqu'à être emplie de vie et de plaisir…
Mais … Tout ces mort autours de moi … Tout se rouge qui baigné la neige immaculé… Il ne me faisait pas plaisir. Se cris qu’il poussait, qui percutait mon âme, ébranlant mon cœur … Je ne l’aimais pas … Il faisait s’échapper de mes yeux ces larmes qui ne coule pas. Il faisait pleuvoir de mon âme cette triste, cette mélancolie qui n’a d’habitude rien à faire dans mon corps… Des larmes couleurs sang, puisque c’est une douleur que j’ai oublié, que je ne comprenant pas … Sans doute aussi parce que … Parce que ….

« Je … Je … »

Ces yeux vert s’ouvrir, je levai lentement la main armé d’un Kunai, posant celle ci sur ces cheveux gris. Long, si doux … tranchant lentement cette crinière qu’il avait… Le changement … Comme moi, il devait changer … Mes cheveux avait était coupé aussi il y a longtemps … Par qui déjà ? Un homme … Qui était-il ??

Sa main prit le Kunai que j’avais tranchant le reste de ces propres cheveux laissant ces dernières s’étaler dans mon sang. Je me redressai un peu. Pourquoi ? J’aurais pu l’égorgé, plongea mes croc dans sa gorge et le tuer ainsi ?!

Cet homme aux yeux verts porta ces doigts sur mon visage, me caressant doucement… Mes yeux se fermèrent un instant … C’était plaisant, bien plus plaisant que toute ces femmes qui m’avais caressé avant lui ! Pourquoi ?
Mes longues mèches furent coupé elle aussi, avant que je retombe dans la neige et dans mon sang ….

Je mourus ainsi… C’était la dernière fois, la fois juste avait celle ci …

« Je t … »
« Je sais …. Dort maintenant … »

Me dit-il doucement. Mes lèvres s’étirèrent, pourquoi je souris à cet être étrange que je trouve beau ? Plus beau que moi, bien plus beau que la vie… J’ai simplement l’impression de subir les actions d’un autres, d’entrer dans ces pensé ! Qu’es que je suis ? Qui suis je ?

Fin du Flash

Fait moi tout recommencé une nouvelle fois. Encore une fois, porte ta lame sur moi pour effacé ma folie, mes péché. Puisque j’oublie si vite, comme tous ces humains que je tue … Fait tout disparaitre de mes yeux, moi l’immortel au sang d’or. Toi celui que j’ai créé de mon sang. Tu le sais non ? Ta triste éternité, tu ne l’as que grâce à moi? Qu’à cause de moi! Et, tu sais aussi que vivre éternellement et un tel fardeau pour nous. Voir sans sesse le monde redevenir se qu’il avait été. Voir la guerre, voir le sang, voir la mort puisque les hommes ne comprennent pas que le sang n’arrange rien, que ‘l’union fait la force’ parait il.
Alors, l’homme aux cheveux gris et aux yeux verts s’éloigne de moi, épée en main, transperçant mon âme de cette distance qui nous sépare. Je ne comprends pas. Qui est-il ? Pourquoi ai-je oublier ? Pourquoi des souvenirs tendre me reviennent autant que ce de mort ?

Mais de ses yeux roulent les larmes qui auraient dut naitre des miens. Pleure t il toujours pour les autres ?

Maintenant, le temps est passé, une nouvelle fois, la guerre était finie. Enfin, officiellement. Mais, moi, qui ne subit pas les années, je sais une chose : la guerre reviendra toujours. Incarné différemment, par différentes personne. Mais, toujours elle reviendra. Suis-je se que je suis ? Ou peut être l’histoire que j’ai lu ma rendu fou ? Mais … Que je lise, que j’écrive, que je face ou que je le dise : je suis l’homme au mille nom et au pouvoir caché. Je suis celui qui veut conquérir le monde pour l’unir à jamais. Pourquoi ? Ca, c’est un autre secret.

Mais mon nom ? Es ce que tu veux toujours le connaitre ?

Je suis … Je suis Aiko Hateshinai. L‘enfant de l‘amour éternel. N‘es pas ironique comme nom ? Pour un meurtrier comme moi?