Presentation Sasumi 3eme division

Nom : Sasumi

Prénom : Eden

Âge : 15 ans

Taille/ Poids : Sasumi a un corps forgé pour les batailles. Elle a grandit entouré de shinobis, d’assassins, de soldats et a logiquement suivit cette même voie. Mince, muscles bien dessinés, forte, silencieuse, discrète, voilà les critères qui sont prescrits pour la réussite. Elle fait 1m75.

Nindo : Sasumi veux mettre ses qualité de meurtriére au profit de son village. Faire payer a tous ces ninjas déchu qui ont violés sa soeur et tuer son pére.(je vais trouve un nindo plus stylé)

Village Choisi : Houmei Kongen

Rang: (aucun )

Spécialité(s) : Ninjutsu

Description Mentale :

"Dites-moi, vous qui riez si fort, expliquez-moi le bonheur. Vous qui profitez de ce soleil qui me brûle les yeux, pourquoi faites-vous autant de bruit ? J’aimerai me plonger dans le silence, le noir total qui puisse reposer un instant mon âme. Juste un instant, que le temps s’arrête, que les hurlements cessent, je voudrais juste mourir. Que tout ce mal qui brûle mon cœur s’efface, que mon corps se détende. Pourquoi j’ai si mal ? Ca cogne là, au fond, quelque chose veut sortir, quelque chose griffe mon âme, me déchire de l’intérieur. Et ce masque d’indifférence posé contre mon visage ne montrera jamais au monde toute cette douleur. Car elle est douce, cette consolation. Je vais grandir. Car oui, la souffrance est la meilleure des maîtresses pour nous apprendre à survivre."

La balançoire grince. Et l’enfant observe le monde qui l’entoure.
En avant, lentement. Les couleurs se mélangent.
En arrière, doucement. Et la fillette a disparu.

Voilà ce qu’on peut dire de Sasumi. Depuis son enfance, elle a vu les horreurs de la guerre. Depuis qu’elle a apprit à marcher, ses pieds ont foulé des cadavres. Et toute la folie des hommes l’a déchiré. Pour elle, le seul moyen d’apprendre et de grandir c’est en subissant les pires souffrances qu’un homme peut supporter. « Ce qui ne tue pas rend plus fort ». Jamais, elle ne se mêlera aux autres, préférant sa solitude et ses berceuses. Elle déteste le bruit et les grandes foules, elle déteste les enfants, elle déteste la guerre, elle déteste les adultes, elle déteste les Hommes. De nature froide, elle se contente la plupart du temps d’observer ce qui l’entoure sans vraiment faire attention. Elle a développé une arme que peu de gens osent mettre en avant, la sincérité. Sa vérité à elle, dure, brutale et elle a de la peine parfois à se rendre compte des dégâts qu’elle peut causer. Sasumi est comme une automate, elle fait ce qu’on lui demande et après, elle prend ses distances. Elle jette la première pierre en somme. Et si cela déplaît, tant pis. La jeune femme tisse des liens, mais elle n’en prend pas réellement soin. Comme si son isolement la confortait, comme si sa solitude lui convient, alors qu’en réalité, elle a un énorme besoin de reconnaissance.


Description Physique :


Partons de la tête : des cheveux noirs, aux reflets rouge acier, lui tombant sur les fesses, quelques mèches s’hérissent par endroits. ILs lui retombent sur le front, le recouvrant complètement, lui barrant peut-être les yeux. Ceux-ci sont bleus, un bleu outremer pénétrant qui figent et glacent à cause de ce qu’il y a là, au fond. Une haine farouche, une souffrance sourde qui s’effrite doucement, devenant pure indifférence. Tout repose là, des pupilles déchirantes, fuyantes. Sa peau est pâle, mais pas cette blancheur laiteuse, mais grisâtre. Usée. Son visage est encore jeune, elle n’a que 15 ans. Un menton qui prolonge son visage , des lèvres pleines, un nez fin, on peut la qualifier de « jolie fille », ayant un « certain charme ».
Sasumi n’a pas vraiment de signes particuliers, quelques cicatrices, gravant sur son corps les batailles tout au plus. (regarder l’avatar)

Histoire :

Cette histoire est comme toutes les autres histoires. Celle d’un couple désireux d’avoir des enfants, dans un petit village anonyme. Une histoire d’amour entre un homme et une femme qui se déroule dans les montagnes d’Iwa, loin des guerres et des shinobis, oublié des politiciens ambitieux d’étendre leur domination. Là-haut, perdu dans les montagnes, parmi les bergers, la chasse, la vie se déroule paisiblement. Ce couple, les dieux l’ont entendu et lui ont offert la grâce d’une petite fille. Tellement belle avec ses cheveux blonds comme le plus pur des blés, ses grands yeux verts comme les forêts luxuriantes entourant la bourgade. Un sourire tendre, un caractère docile, cette enfant était la fierté de ce couple de bergers, ils la nommèrent Akimi. Et quelques années plus tard, ô bonheur suprême, le ciel leur offrit un second enfant. Une petite fille qu’ils nommèrent Sasumi. Tout à l’opposé de sa sœur, l’enfant possédait des cheveux rebelles, toujours hérissés et d’un noir de nuit. Des yeux vifs et curieux qui se posent partout et cherchent à comprendre le pourquoi de chaque chose, rieurs, innocents. La pupille est d’un bleu outremer superbe.

Mais la paix jamais ne dure, et la guerre aussi arriva dans ces lieux reculés. Ce jour-là, comme une ombre menaçante, claquant le sol à un rythme mesuré, l’armée vint recruter les hommes du village. Peu importe qu’ils ne soient pas ninja, ils auront un bref entraînement, ils seront sur les premières lignes. La guerre doit être gagnée à n’importe quel prix. Akimi voit sa mère pleurer dans les bras de son père. La Guerre, voici quelque chose qu’elle ne comprend pas. Elle sait juste que cette chose fait pleurer sa mère, et lui vole son père. Contre elle, une petite tête brune dépasse de ses jupes. Une fillette d’environ cinq ans. Sa petite sœur, Sasumi, de ses grands yeux bleu, scrute la scène, encore plus angoissé qu’elle. Ses doigts s’abandonnent dans la touffe de cheveux noirs, elle lui offre un sourire réconfortant. Non, la vie ne sera plus jamais la même. Leur père les embrasse et dignement, fier d’accomplir son devoir, il va donner sa vie pour le Tsuchikage.

Les jours passèrent, les semaines, les mois. Plus aucune nouvelle du front, mais on sait que cela s’approche. Leur mère n’arrive plus à gérer leur troupeau, Akimi l’aide comme elle peut, de ses petites mains d’enfant de onze ans. Elle s’occupe de Sasumi, la préserve de cette dure réalité qu’est la guerre. Elle la fait rire, sourire, elle joue avec elle. Jusqu’au jour, où la mort frappe aux portes du village. Un shinobis ennemi est retrouvé agonisant dans les bois. Et ce jour-la, Sasumi est seule face à lui. Elle n’a jamais vu ce bandeau, elle n’a jamais connu un homme vêtu de cette manière. Elle s’approche, ses grands yeux bleus curieux le scrutent. La gamine se baisse à sa hauteur. Dans le village, sonne l’alarme. Mais Sasumi est trop attiré par ce corps, ce liquide rouge et chaud qui sort par de nombreux endroits. Elle sait dans son fort intérieur que ce n’est pas normal, elle ressent la peur lui grimper dans les boyaux, mais en même temps, c’est nouveau, intéressant. Elle tend sa main. Son cœur est prêt à éclater plus elle s’approche. Tous les bruits alentour semblent s’éloigner, comme étouffés dans le coton.

Et soudain, le bras bougea. D’un geste habile et expert, l’homme s’éveilla et serra le poignet de l’enfant. Un regard désespéré lui fut jeté, un râle sourd. Et la terreur submergea Sasumi. Cette sourde peur lui compressa les poumons, lui interdisant de hurler. Qu’allait-il faire, l’homme au bandeau gravé d’une feuille ? Son cerveau paralysé bloquait toute pensée, toute réaction, elle y avait juste l’angoisse profonde. Allait-il mourir ici ?
Elle n’entendit qu’un son. Un sifflement rapide et lisse, fendant l’air. Et puis, comme lorsque son père abattait le bétail, un bruit sourd et visqueux. Quelque chose de poisseux lui gicle au visage, un murmure étranglé s’élève, et le ninja de Konoha s’affaisse sur le sol .
Là, le hurlement peut sortir.
Sasumi apprit ce jour-là, que les êtres humains ne sont pas tous égaux. Qu’il y a des ennemis et des alliés. Les premiers doivent être considérés comme des animaux, les deuxièmes comme une raison de vivre. Elle a apprit que la Guerre sert à diviser les Hommes dans ces deux catégories.
On ne s’occupa pas de l’enfant qui fut témoin de cette horreur. Lorsque le pays est en crise, il faut savoir accepter les chocs. Et comme pour marquer la fin de son enfance, les choses précipitèrent. La Guerre avançait dans tout les pays et la famine se faisait ressentir. Akimi ne pouvait plus cacher la vérité, ni cacher de son sourire l’horreur à sa petite soeur. Ce qui détruisit son innocence, fut ce qui arriva ensuite. A l’aube de ses sept ans, son village fut attaqué par des shinobis inconnus ainsi que des civils . Les maisons furent incendiées, les villageois massacrés sans distinctions d’âge ni de sexe.

...

Elle court à travers le bois brûlant des maisons qu’elle connaissait depuis toujours, le souffle court, la fumée lui pique les yeux, un sanglot étrangle sa poitrine. Le bois crépite, s’effondre par endroits laissant un trou béant dans le ventre des maisons. Là, c’était le vendeur de nouilles, là encore le boucher. Et là, d’après ses souvenirs, il s’agissait de la maison où elle allait acheter les légumes. La réalité se superpose aux réminiscences de son cerveau. Il n’y a que le feu, la chaleur, la fumée noire et épaisse qui la fait tousser. Elle serre de toutes ses forces la main de sa sœur dans la sienne. Les deux enfants courent à travers le village pour s’enfuir dans la forêt, trouver refuge, loin de ces hommes barbares. Soudain, un craquement sur la droite et avant que sa sœur, ô sa belle sœur si courageuse, si douce, ne puisse ouvrir ses lèvres et crier, une main l’immobilise brutalement et la plaque au sol. Désespéré, Sasumi se jette sur l’agresseur et le griffe, lui tire les cheveux, le mord, mais dites-moi… qu’est-ce qu’un enfant de sept ans peut faire contre un adulte ? D’un revers de main, il l’envoie mordre la poussière. D’autres mains l’attrapent, des rires résonnent, des odeurs la terrifient. Elle ne peut voir leurs visages. Ils ressemblent aux ninjas qui étaient venus prendre son père, mais ils sont différents. Quelque chose brille sur leur front, le symbole est différent, on dirait une feuille. Encore cette feuille !
Et sa sœur se met à hurler. Elle voit ces hommes la toucher, poser leurs doigts sales sur elle, fouiller dans ses vêtements, souiller sa pureté. Elle mord, se débat, mais Sasumi est impuissante. Ce corps immense et lourd écrase Akimi, sa Akimi. Et là, la fille sent des larmes. Le comble de l’humiliation qui est accueillit par une explosion sonore de rires lubriques. Combien a duré ce moment ? Combien d’hommes ont passé sur ce corps ? Combien l’ont violée jusqu’à la mort ? Et elle, impuissante, obligée de regarder sa sœur mourir devant ses yeux, et toute cette douleur, toute cette rage, toute cette haine pour les Hommes et leur Folie !
Tout s’arrête brusquement. Une nouvelle voix apparaît. Et un autre homme les rejoint. Sasumi lève le visage, éteint. Cette voix grave et menaçante remet l’ordre parmi les ninjas ennemis. Et comme s’il avait été pris de pitié, son immense main se pose sur le crâne de la gamine. Dégoûté, comme si une secousse l’avait remué au fond des tripes, elle se jette sur lui et hurle. Elle hurle contre cet homme, elle hurle contre ces ninjas, elle hurle contre la guerre, elle hurle contre la mort, elle hurle contre le monde. Et elle hurle pour que cette douleur au fond d’elle s’arrête. L’homme ne l’empêche pas. Il l’observe, reçoit les coups de poings sur son torse dur, il se tait et écoute et lentement, il se met à sa hauteur. Doucement il enlace la gamine.


Voilà ce qu’elle vécu. Voilà son enfance. Cet homme lui a dit « Si tu veux protéger les gens que tu aimes, tu dois devenir plus forte. Cette souffrance t’a déjà endurci et toutes celles que tu endureras te rendront adulte. »

Franchement, Sasumi ne comprend pas. Ces mots frôlent son cerveau mais résonnent aussi vide que le désert. Sans un bruit, des larmes descendent de ses joues, elle est trop fatigué pour lutter encore. Sans un son, Sasumi est morte à l’intérieur.

Les jours passent, l’indifférence a gentiment avalé son cœur. La guerre n’est plus qu’un détail, le sang, qu’une couleur qui imprègne le sol fertile. Des cerisiers pousseront.
Elle a vécu avec cet assassin jusqu’à l’âge de douze ans. Avec sa haine, son désespoir. Avec ses désillusions. A chaque fois qu’elle tombait et mangeait la poussière, cet homme l’observait d’un air sévère et l’obligeait à se relever. « Si tu veux te venger, disait-il, même si tu tombes, relève-toi et sois forte». Sans s’en rendre compte, ce ninja lui a enseigné le silence, la discrétion, l’art de tuer. Ses capacités se sont révélées d’elles mêmes. Son sang est celui d’Iwa, son cœur celui des shinobis morts avant lui pour protéger sa patrie et Sasumi naturellement, développa une affinité pour le Ninjutsu. Les ninja qui l’on élevé lui on enseigne plusieurs éléments de nijutsu ou plutôt lui on fais connaître plusieurs éléments. Ce qui fais de Sasumi une ninja complète en sois par sa culture ninja.


Bizarrement, elle n’a pas retenu son visage. Peut-être ne l’a-t-elle jamais vraiment regardé. Comme tous les humains qui sont passé devant ses yeux désabusés depuis. Cet enfant a connu la souffrance. Comme tant d’autres.
Il a erré de pays en pays, de village en village, comme une ombre. Elle a volé, utilisé ses dons pour piller et tuer. Elle a survécu. Non pas pour vengeance, car la Guerre lui a volé même sa raison de devenir plus forte. Sasumi, cette gamine autrefois innocente et rieuse, est désormais une sans-patrie, elle ne figure nulle part dans les registres d’Iwa. Elle erra sur les routes jusqu'à trouve un refuse idéal pour elle et son ours qu’elle recueilli sur les chemins des montagnes. Cette rencontre n’a rien de très extraordinaire pour Sasumi qui a un contact privilégie avec les animaux qui sentent chez elle un calme sans faille. Après un ans sans domicile fixe ( pas une sdf) elle sentit le besoin de trouve une patrie pour laquelle elle aurait un attachement sans fin où elle pourrait partage et apprendre des techniques dans son domaine pour combler son panel de technique et d'autre élements. Ce fut dans un lieu particulier où le paysage est ce qu'il y a de plus banal pour Sasumi que l'on nommé Houmei Kongen qu’elle fit connaissance de ninja avec qui des liens se créa des vrai lien pour une fois. Des ninja qui reconnaisse ses talents moraux et au combat. Ce besoin de reconnaissance fut combler après tant d’année d’attente.

Vous voyez ? C’est une histoire comme toutes les autres histoires. Une gamine qui a connu la guerre, et qui, à présent, ne supporte plus la violence pour la violence. L’histoire courante d’une femme de 15 ans qui ne mérite pas plus qu’une autre d’être contée.
Comme tous les autres, elle revit la nuit, en rêve, le meurtre de sa sœur, l’abandon de son père. Et chaque nuit, elle pleure sa faiblesse. Sasumi a changé. Son visage d’enfant est devenu dur, grave. Son regard pétillant, malicieuse ressemble à un puit de ténèbres insondable. Elle a suivit la voie des ninjas. Cette jeune femme a intégrée le concept de la souffrance et l’applique jour après jour. Oui, la douleur permet de grandir. Et cet air sombre et fermé l’isole du monde. Personne ne saura jamais ce qu’il y a à l’intérieur. Elle s’est fermé, fermé à jamais.
C’est une histoire comme beaucoup d’autres, d’une froide et sanglante banalité.

Désolé pour le retard, mais y'avais personne dans la 3° divsion, chose que tu as sans doute déjà remarqué^^
Je vois juste quelques incohérences, genre le Houmei qui est qualifié de "village magnifique", alors que les premiers posts qui s'y sont déroulés décrivent le lieu comme... euh... pas forcément super-beau !^^ (d'ailleurs c'est pas non plus un village à proprement parler... Enfin, pas de mon point de vue )

Ensuite, tu dis avoir recueilli un ours... Je râle pas pour le fait que ce soit pas développé, mais je suis pas sûr qu'on puisse l'intégrer.. En tous cas, pas dans les combats, ce serait trop bourrin !^^

Bon, je te valide ça, avec 8XP, en tant que membre de division (si un admin passe et trouve que ça convient pas, dites-le-moi, je débute en tant que validateur de présentation^^)

Voila, faudra juste qu'un admin te mette dans le bon groupe, et tu pourras te mettre à ta fiche technique !