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 Doku Saïto.

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Doku Saïto
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Doku Saïto


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MessageSujet: Doku Saïto.   Doku Saïto. Icon_minitimeMar 8 Avr - 22:30

Nom : Saïto

Prénom : Doku

Age : 17 ans

Sexe : Masculin

Grade souhaité : Genin ou Chuunin (Chuunin si possible)


Avant toute chose, ne lisez pas ces lignes. Elles sont sans doute d’un français médiocre et ne vous apporterons strictement rien dans votre vie. Pourquoi ? Et bien parce qu’elles ne servent à rien, ceci n’est qu’une page web sur internent. Une page concernant un certain nombre de personnes, infimes si l’on prend la population de notre planète. Ces lignes ne feront que vous narrer l’histoire d’un jeune homme, ni gentil, ni méchant. A vrai dire, si on devait lui attribuer un mot, et un seul… Fou serait sans doute le plus juste. Pourquoi ? De toute manière vous vous en moquez, vous ne lirez pas ces lignes.
Puisque vous ne lirez rien de ce que j’écris, je ne vous avertis pas des propos choquant (pour les âmes sensibles) qui seront tenu dans cette fiche. Et je ne vous dit pas non plus qu’ils ne traduisent en rien la pensée de l’auteur (c'est-à-dire moi-même). Sur ce je ne vous souhaite pas une bonne lecture…
Mesdames, messieurs, je vous salue.

Physiques:

Comment décrire un jeune homme ? Tout d’abord il serait bien de savoir ce qu’est un homme. Un homme, est un être vivant un mammifère et même si on ne veut pas le dire, c’est un animal. Il est vrai que l’humanité se croit supérieur au règne animal. D’un point de vue évolutif elle a totalement raison, qui du singe ou de nous est en train de taper sur un clavier ? (Ne cherchez pas la réponse, vous allez vous faire du mal…) Cependant, d’un point de vue comportemental, dissocier les deux est plus dur qu’il n’y paraît. L’homme est l’animal se reproduise pour la survie de l’espèce, sauf que l’homme a crée le latex… L’homme et l’animal on tout deux un instinct de survie. Les deux font la guerre, les animaux c’est entre meutes, l’homme c’est 14-18… L’homme est l’animal tuent, l’animal pour sa survie, l’homme, c’est pour le plaisir… enfin pas tous, mais nous y reviendrons plus tard dans le risque d’être trop lourd…
Bien ! Maintenant que nous savons ce qu’est un homme, nous allons pouvoir continuer notre description, ou plutôt la commencer.

Dix sept ans ! C’est l’âge de notre protagoniste. Un âge plutôt, difficile à cerner… A dix sept ans, on n’est pas encore un homme, mais on n’est plus un enfant. Alors que sommes nous ? La société nous appelle les adolescents. Cette période est sans doute la plus courte dans notre vie, mais aussi la plus agréable. L’adolescence, la période de dépravation… Enfin passons.
A dix sept ans, le corps change. Pour certains, les changements sont plus tardifs, pour d’autres ils sont déjà terminé, ou presque. Le corps de notre jeune homme a lui bien changé depuis son enfance. Avoisinant maintenant le mètre quatre-vingts, la taille de notre jeune homme ne reflète en rien sa carrure. Doku n’est pas ce que l’on pourrait communément appeler : une armoire à glace… Il n’est pas maigre cependant, à vrai dire, il est entre les deux. Le corps aux formes finement dessinées, les dépôts de l’âge ne se sont pas encore formées, et les poignets d’amour n’ont pu venir se greffer sur son corps, car vous verrez, vous ne l’aimerez sans doute pas…

Même si l’allure reste le changement le plus marquant chez Doku, comme chez tout le monde vous me dire, son visage lui aussi a changé…
Sa peau a elle gardé son teint beige est craquant, lisse comme la soie. Caresser un tel visage est synonyme d’extase chez les mortels. Taillé par la nature et terminé par Dieu, ce visage si proche de la perfection est sans nul doute l’arme la plus dangereuse de notre homme. En guise de consolation, il vous fera sans doute un sourire avant de vous tuer, un sourire de satisfaction…
Si le visage est une arme, ses composants font partis de cette mécanique minutieuse… Commencer par son regard sera sans doute le plus logique.
Des yeux en forme d’amande, un regard couleur noisette, tels sont ses atouts. Ses perdre dans ses yeux rappelant les belles forêts de sapin en hiver. Regarder une couleur si intense, un regard si expressif, si trompeur aussi… Imaginer vous dans une belle chambre d’hôtel, au fond d’une rue sombre, au milieu du désert, au moment d’accomplir un acte de pur plaisir. N’importe, Sexe, baiser, étreinte, ou votre mort (on n’a pas dit quel plaisir…), ne seriez vous pas heureux d’avoir comme dernière vision ce regard si délicat ? Ce marron qui sera la couleur de votre tombe. Mille arcs-en-ciel ne vaudraient pas ce regard prêt d’un coucher de soleil. Les bonheurs les plus recherchés son les plus rares, et pourtant ce regard est là, devant vous… Voilé par quelques mèches blondes, le rendant plus parfait encore…
Parlons un peu de ce voile, ces mèches blondes. Observez la coiffe de ce garçon, cette chevelure blonde et fine. La couleur même du soleil, l’astre du jour semble se refléter en permanence dans ces cheveux. Ni trop long, ni trop court. Que dire ? Un tel élan de chaleur accentué par des yeux couleur ébène, tant de passions qui ne demandent qu’à s’exprimer là, maintenant…
La première d’entre elle sera sans doute d’embrasser ses lèvres. Fine, douce, rosâtre. Comment ne pas les embrasser ? Pourquoi ne pas les embrasser ? Vous mourrez tous un jour, il serait dommage de ne pas profiter de ce dernier plaisir…

Peu importe son habit, rien ne peut entacher ce charme. Classieux malgré lui, (si c’est possible) Doku ne cherche pas le raffinement. Le vie est trop incertaine pour être gâchée devant un miroir. La plupart du temps, l’adolescent est vêtu d’une simple veste blanche [même genre que les manteau de l’Akatsuki ou des ANBU], sous laquelle il porte des tenues plus ou moins différentes selon les occasions. Car même sans prendre soin de soi, quelques occasions nécessitent un peu de d’attention, allant de la simple tenu de shinobi jusqu’au la plus raffinée des tenues. Du moins, tout sera fait pour vous attirer, et quelques soit le pêcher qui sera commis, ce sera un pur moment d’extase…

Petit plus : Est tatoué sur son bras droit : On tue un homme, on est assassin. On tue des millions d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est Dieu.

Caractère :

Vous ne préférez pas vous arrêter là ? Ce serait sans doute mieux pour vous, ne chercher pas à connaître Doku. Sachez qu’il est beau, passer une nuit avec lui et partez. Ne creusez pas, ne serait ce même qu’un tout petit peu. C’est inutile, et dangereux… Ne lisez pas ces lignes, encore moins que celles du dessus. Ce qui suit est la description d’un homme fou, vous n’avez pas besoin de la connaître, elle ne vous servira à rien… Enfin, je vous aurais prévenu.
Ce qui suit est… Assez paradoxal avec son physique. Nous nous étions quitté sur le mot extase ; vous vous en souvenez ? Vous auriez mieux fait d’en rester là. On ne saurait dire ce qui est le pire. Ce qu’il est ? Ou bien qu’il en soit conscient et persiste dans cette voix ? Enfin, vous ne pouvez pas encore avoir de jugement. Mais ça ne saurait tarder…

Sous cet aspect angélique et quelque peu négligé se cache une personnalité, plutôt… Affreuse. Il me semble que c’est le mot. Doku ne cherche pas à être gentil, il ne cherche pas à avoir des amis. Nouez des liens est un poids qu’il faut porter trop longtemps dans sa vie. Bien sur il est capable de gentillesse, de bonté et même d’amour, mais sachez le, tout est à double sens dans la vie… Tant qu’il sera satisfait de ce que vous lui apporter, vous ne craignez rien.
Vous vous demandez sans doute où est la folie dans tout cela ? Et je vous répondrai que ce qui le rend fou, c’est son nindo, sa loi, celle qu’il s’est imposée : On tue un homme, on est assassin. On tue des millions d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est Dieu.
Bien sur ces mots peuvent être pris des multiples façons… Les plus simples d’esprits prendront cette loi contre eux. Les plus ambitieux sauront sans doute s’en servir. Cependant manipuler notre homme peut s’avérer très délicat. N’étant pas tombé de la dernière pluie, Doku est très fin stratège, et vicieux qui plus est. Tenter de le doubler est un risque que très peu son prêt à prendre.

La mort est le passe temps préféré de cet homme. Cependant lui ne l’est pas. C’est ça aussi la folie, vouloir se sentir en vie en permanence. Sa voir que chaque bouffé d’air que l’on respire est la preuve que l’on vit. Pour cela tous les moyens sont bons… Le danger reste une des manières les plus efficace. C’est aussi pour cela qu’il est devenu ninja, pour être en vie, et savoir que la mort peut vous prendre n’importe quand…
Mis à part le danger, il existe bien d’autres moyens de se sentir en vie, l’un d’entre eux étant la dépravation. Doku est avide de toute débauche, quelqu’elle soit. Alcool, sexe, tout est bon à prendre. Pourquoi se priver de la beauté féminine ? Les draps tâchés de sang sont tellement beaux au soleil levant. Telle est sa manière de vivre, sa façon d’être.

Vous vous demanderez sans doute pourquoi n’a-t-il pas déjà déserter ? Cet homme n’est pas fait pour vivre en société. Il doit vivre, seul, vivre libre… Et bien il ne saura pas quoi vous répondre. Sans doute sa sagesse qui le fait rester, car même si cet homme est fou, il reste rationnel. Ses crises de folie ne sont que l’expression frénétique de ses désirs.
Voilà ce qu’il est. Il pourrait contrôler ses désirs, alors il serait quelqu’un de normal. Mais qu’est ce que la normalité ? C’est ici que se situe la folie de ce personnage. Il sait qu’il peut se maîtriser, mais il ne le fait pas, il est simplement là pour vivre ses plaisirs.


Qualités :

Doku est capable du meilleur, même si le pire l’emporte. Il peut faire le parfait amant, attentionnée, gentleman, doux et gentil. Il s’avère être capable de s’adapter à toute sortes de situation, gênante, dangereuse, propice au vice. Rien ne l’embarrasse ni même ne lui pose problème. C’est un homme d’action qui sait prendre les bonnes décisions au bon moment. Malgré sa personnalité complètement déjantée, Doku est protecteur envers les plus faibles. Son nindo ne s’applique pas seulement à ses propres fins, mais aussi pour le plus grand bien. En temps de guerre, il saurait se distinguer de par son efficacité.

Défaut :

Enumérer les sept pêchés capitaux serait sans doute banal. Bien sur ce point de vue est purement religieux, et la religion, dans ce monde, à quoi ça nous sert ?
Ce jeune garçon peu se montrer très désagréable, tout dépendra de ce qui lui arrive, de son humeur, ou bien de vous. Avide comme un jeune enfant, Doku est un peu un de ses enfants qui vous prend le bras lorsque vous lui donnez la main. Bien sur ce défaut s’avère parfois être une qualité, les shinobis doivent parfois recueillir des informations cruciales…
Impulsif, cet homme a la gâchette facile si je puis me permettre, un défaut qui lui vaut bien des ennuis auprès de l’administration de son village.
Mis à part ces détails, et ses crises de folie, Doku est une personne très saine d’esprit et équilibrée…

Peur :

Ce n’est sans doute pas une peur commune aux êtres normaux. Les personnes comme les autres ont peur des insectes, des grosses bêtes, du noir. Non, ces peurs là sont trop insensées pour être celles de Doku. A vrai dire, le danger ne lui fait pas peur, la mort non plus, son coté fataliste. Une chose peut lui faire peur. Une seule, certes elle débouche sur de multiples chemins, mais c’est la base… Tisser des liens.
Certes cela peut paraître stupide, est ça l’est d’ailleurs. Mais à quoi bon ? Se lier trop intimement aux gens débouche à des souffrances trop grandes. La peur de perdre un être chère, l’inquiétude que l’on éprouve. Ces liens son trop dur à dénouer, ce piège est redoutable. Qui pourra le faire ?
Faire confiance aux autres est un challenge difficiles lorsque l’on connaît la personne, et qu’on l’apprécie. Rien ne sert d’avoir des amis. Du moins pas des shinobis, leur vie est trop incertaine…
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Doku Saïto
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MessageSujet: Re: Doku Saïto.   Doku Saïto. Icon_minitimeMar 8 Avr - 22:33

Histoire :


[Avis au lecteur ! Cette partie de la présentation peut contenir des passages choquant pour les âmes sensibles. Les propos tenus ne reflètent en rien l’opinion ni même la personnalité de l’auteur.]


Genèse : Avant LA vie, des vies, puis deux vies…


Avant toute chose, ce passage est, comme son nom l’indique, la genèse de Doku. Ce n’est pas son histoire. C’est simplement celle de deux personnes qui se sont connus par hasard et qui ont su donner la vie à notre protagoniste. Vous l’aurez compris, je parle de ses parents… Cette histoire est sans nul doute un passage important, un moment clef de l’histoire. Commencer à lire ces lignes vous condamne à lire le reste, parce que vous en avez envie, du moins je l’espère.

Notre jeune homme est issu de deux personnes, une femme, et un homme. Leurs noms nous seront inutile, car de toute façon, vous ne feriez que vous attacher à ces personnages, et il ne faut pas.

La jeune femme en question était issue d’une bonne famille. Père était un ancien Jounin et mère était elle aussi ancienne shinobi. C’est au cours de leur carrière qu’il se sont rencontrées et donnèrent naissance à notre future mère. La vie de notre jeune femme était équilibrée, ses deux parents s’occupaient d’elle, son éducation était rigide et aucun écart de conduite n’était toléré. Bien entendu il n’y en avait pas, la jeune enfant était naturellement très docile, et la forger à sa guise était très facile.
Au premier abord, cette famille n’avait aucun défaut. Bien entendu, au premier abord. Une seule chose était gênante. Savez vous laquelle, Non, le père ne buvait pas. La mère ne battait pas sa fille. Un seul indice pourra vous aider : la croix au dessus du lit conjugale. Grand père et grand-mère était tout deux croyants, et inutile de vous dire que le futur réceptacle à bébé prenait cette voix. Tous les dimanches, la famille allait se recueillir sur les tombes des défunts ninja. Leur faire une prière, « parler avec eux ». Il est vrai qu’un mort accorde beaucoup d’importance aux actualités ou autre potin du village.
Le plus grave cependant, c’est qu’il n’était pas seulement trois à s’adonner à ce rituel religieux. Toute la lignée maternelle pratiquait fermement cette chose du dimanche. S’en suivait un repas de midi des plus noirs, le silence ,ne se trouvait brisé qu’à partir du moment ou l’alcool dénouait timidement les langues.
Vous pensez donc que cette famille est tous ce qu’il y a de plus équilibré. Une famille parfaite en somme, avec c’est vrai une seule chose intrigante, leur religion.

Bien des années passèrent avant que cette chose ne soit changée. Notre jeune femme a maintenant quatorze belles années derrière elle. Quatorze années à prier un « pseudo » Dieu et à parler le sourire aux lèvres à des tombes dont les corps ont été dévorées par le premier vers venu. Il était temps de changer ces habitudes complètement stupides.
C’est un homme qui s’en chargea, ou plutôt une autre lignée. Le plus jeune partisan avait environ quinze ans. C’était le dernier venu dans cette famille, bien sur on se fiche totalement des ses cousins ou cousines. Cet homme lui était dans le droit chemin. Portant en aberration la plus simple des prières, le seul but de ce « clan » de nomade était de décimer toute troupe religieuse qui existe. Voilà comme la mère de Doku fut libérer, certes trop tard des griffes de sa religion :

C’était un dimanche, la lignée maternelle allait pratiquer son fameux rite, toute la famille était là. Ils eurent le temps de faire leur « prière » et partirent en direction de la tabler qui s’annonçait comme à son habitude en deuil. C’est ici que la lignée paternelle agît. Guettant le rituel divin depuis la forêt, les ancêtres paternels vinrent accoster violemment les ancêtres maternels.
A milieu des flammes, le sang coulait à flot. Tous s’entretuaient, le spectacle était sublime. Toute ces tombes souillées par le sang des impurs. Cette famille criant, hurlant les pires ignominies sur le pseudo Dieu qu’ils rejetaient. La bataille dura une semaine, et se finit le dimanche d’après.
Au milieu des cadavres, toutes les femmes, tous les hommes, des deux clans ; ils étaient tous mort. Tous sauf deux personnes. Le plus jeune, le futur père était en vie. Et au fond d’un sous-sol, la mère était là, au milieu des cadavres de sa propre famille. Des larmes coulaient, elles reflétaient tous les sentiments qui avaient animés cette bataille, la colère, la haine, la douleur, la tristesse, et pour finir, le désespoir… Elle était là, à pleurer telle une faible femme, mais qu’importe, de toute façon elle mourra bientôt.

Un grincement se fit entendre, on venait d’ouvrir la porte, la jeune fille poussa un sursaut de terreur. Les marches de escaliers en bois grinçaient sous les pas du dernier survivant, sous les pas du père… Il arriva au pied de l’escalier, la pièce était couverte de sang sur les murs, les cadavres ne se contaient plus, trop de morceaux étaient éparpillés. Il y en avait de toutes origines, celles du père, et celles de la mère.
Le jeune garçon s’avança alors, croyant que tous étaient morts ; mais non, il y avait une personne qui vivait encore. Une fille, elle était là, elle s’était relevée et tenait un katana entre ses deux mains.
Le jeune garçon la regarda, il la trouva magnifique. Elle était là, sa robe noire tâchée de sang, le visage apeuré. On pouvait voir dans ses yeux couleur noisette les pires frayeurs du monde. Sa chevelure brune tombait sur son corps frêle, marquant la pâleur de sa peau.
Elle était contre le mur, l’arme à la main, la peur au ventre. Le jeune garçon sourit, puis remontât l’escalier… Elle tomba littéralement sur place, elle avait eu la peur de sa vie. Pourtant elle aurait pu rejoindre sa défunte famille.
De cette guerre il ne restait que deux survivants.

La nuit venue, le jeune garçon descendit de nouveau pour revoir la jeune fille. Il tenait alors dans une main une couverture, et dans l’autre une assiette avec un morceau de viande cuit au bord de laquelle étaient posés des couverts. La jeune fille ne dénia pas lever les yeux, trop occupée à pleurer. Qu’à cela ne tienne, le jeune garçon s’en moquait de toute façon. Il posa la couverture devant elle et l’assiette près d’une bougie qu’il alluma. Puis il remontât, la nuit passât.



Chapitre premier : Au profit de la survie de l’espère humaine.


Une semaine s’était écoulée depuis la fin de cette tuerie. La jeune fille était toujours au fond de sa cave, les bras serrés sur ses genoux. Le jeune garçon avait continué à lui apporter de la nourriture, et avait dégagé les cadavres qui commençaient à pourrir sur place.

C’était le repas de midi, comme à son habitude le jeune homme descendit en bas, une assiette à la main, les couverts dans l’autre ? Au menu d’aujourd’hui de la viande est quelques plantes comestibles. Il posa l’assiette à coté de la belle qui ne voulait toujours pas lever les yeux vers celui qui l’avait laissée en vie.
Il s’apprêtait à repartir, à remonter l’escalier. Et c’est à ce moment qu’il put entendre le son de sa voix :


« Pourquoi ? Elle leva un peu son visage. Pourquoi tu m’as laissé en vie ? »

Elle ne le vit sans doute pas, mais le jeune homme eut un sourire. Il était content, enfin elle parlait. La voir remonter les escaliers ne serait sans doute plus très long. Après tout, c’était dimanche, elle devait faire sa prière.
Il ne lui donna pas de réponse et remonta à l’extérieur. Le soleil était éblouissant aujourd’hui. A la saison où les cerisiers fleurissent, le soleil aime faire savoir qu’il est là.
On ne sait pas vraiment ce qu’il s’est passé, est ce la lumière qui l’a attirée ? Ou tout simplement la fatigue d’être assise inconfortablement, peut être était ce la puanteur du sang. Mais le fait est qu’elle sortit. Les rayons du soleil venaient frapper son visage. Tant d’agressivité envers de si beaux yeux n’était pas compréhensible. Elle mit sa main sur son front, faisant un peu d’ombre et ces yeux d’ébène. Lentement elle les ouvrit, et la première chose qu’elle pu voir, c’était cet homme.
Il était là, en train de s’occuper du feu. Il était grand, mais ce n’est pas la première chose qui la frappa en le voyant. Ce fut son visage, un visage tellement beau et délicat. Comment un si beau visage pouvait appartenir à un homme si cruel ? Un homme qui avait contribué au massacre de sa famille…
Il avait les cheveux d’un blond presque aussi flamboyant que le soleil, et ses yeux bleus donnaient à son visage un aspect tellement calme. Il ne souriait pas, mais il n’avait pas l’air triste. Elle parvint difficilement à défaire son regard de son visage. Elle ne remarqua pas les cadavres sur le sol, ni même la façon dont il était vêtu : à savoir une cape de voyage blanche tâchée de sang et un simple habit de voyageur.

Il ne fallut pas longtemps à notre homme pour lever les yeux et voir qu’elle était sortit. Il s’avança alors vers elle et reprit son sourire ; sourire qu’elle trouva des plus beaux, des lèvres fines venaient s’étirer le plus simplement du monde, mais c’était tellement beau ; et lui dit d’un la voix calme mais tout de même heureuse :


« Tu es enfin sortie. J’ai cru que tu comptais rester sous terre un bon moment encore. »[b]

Il retourna alors vers le feu en trottinant, il le couvrit afin de l’éteindre prit ce qui ressemblait à un sac et revînt vers la jeune femme.

[b]« Il ne faut pas trop traîner, ça fait deux semaines que personnes n’est venu ici. Mais ça ne saurait tarder, il faut partir. »


Elle ne savait que faire, devait elle le suivre ? Ou bien rester ici, seule… La réponse n’est pas aussi évidente qu’il n’y paraît, croyez le ou non… Cependant elle n’eut pas trop le temps de réfléchir, le jeune garçon lui prit la main et commença à la tirer vers la forêt. Par instinct elle dégagea sa main et la colla contre elle. Le jeune homme se tourna alors pour la regarder et préféra ne pas la brusquer. Il lui dit simplement :

« Contente toi de me suivre si tu veux. »


Ce qu’elle fit sans trop hésiter. Elle ne savait pas où il les menait, mais ça ne pouvait pas être pire qu’ici, là où toute sa famille était allongée sur le sol. Ils passèrent devant les tombes du cimetière, elle les regarda sans aucune expression, sa couverture sur les épaules elle marchait. Aujourd’hui elle n’irait pas prier…
Rapidement ils s’enfoncèrent dans la forêt, elle ne savait pas où ils allaient, elle se demandait même si lui le savait. Il marchait plutôt rapidement, scrutant les alentours et jetant quelques regards dans la direction de la jeune femme, histoire de voir si elle continuait de marcher. Et elle continuait. Ils parvinrent à rejoindre la route, le chemin était nettement plus agréable. Au bord de la forêt, un ruisseau s’écoulait. Curieusement, la couleur bleutée de l’eau lui rappela le regard du garçon devant elle.
Elle leva alors son visage vers lui et posa de nouveau la question :


« Pourquoi tu m’a laissé en vie ? »

On ne distinguait plus trop de tristesse dans sa voix, elle était claire et neutre. A croire qu’elle n’éprouvait plus de peine. Elle regardait fixement le jeune garçon, attendant une réponse. Et alors elle eu sa réponse, comme si elle coulait de source…

« Je fais pas de mal aux filles. »

Cette réponse était absurde, complètement stupide. Ce qui ne manqua pas d’irriter la jeune fille en deuil.

« Et les autres filles ça ne t’as pas gêné de les tuer ? » Dit elle en colère.

« C’est pas moi, c’est les autres. Moi je touche pas aux filles. »

« Je te signale que ta famille aussi est morte ! »S’exclamât elle au bord des larmes.

« Tant pis pour eux. »

Cette réponse ne manqua pas de la déconcerter… C’est alors qu’elle commença à comprendre, regretter les morts ne servait pas à grand-chose…
Nos jeunes gens reprirent leur voyage. Ne sachant où ils allaient. Ils étaient des vagabonds qui suivaient le fleuve. Tout semblait de nouveau stable dans la vie de notre future mère. Le jeune couple s’était même sédentarisé dans un petit village nommé Konoha, et pour couronner le tout, ils attendaient même un enfant.
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Doku Saïto
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MessageSujet: Re: Doku Saïto.   Doku Saïto. Icon_minitimeMar 8 Avr - 22:36

Chapitre troisième : Une bonne confession vaut mieux qu’une mauvaise excuse.


Douze années se sont écoulées depuis le meurtre de notre chère mère. Sa tombe n’a pas attiré grande foule. Après tout cela était normal, elle ne connaissait pas grand monde au village. Sa mort est presque passée inaperçu, même pour lui, pour cet enfant qui n’avait alors que quelques minutes lorsque sa mère mourut.
Il avait toujours vécu selon la dite vérité de son père : « Ta mère est morte en te mettant au monde, elle t’a offert sa vie, ne la gâche pas. »
Des mots certes très attachant mais au fond, que dire ? Il n’a jamais vraiment connu la vérité. Les douze premières années sa vie furent sans doute les plus idylliques de sa vie. Le reste le sera sans doute moins.
Les deux hommes de la famille Saïto étaient très discrets au village, à vrai dire, personne ne les connaissait. C’est une chose pratique lorsque l’on commet un meurtre… N’est ce pas ? Bien sur nous parlons de celui de la mère de Doku, du moins pour le moment…
L’enfant n’avait pas vraiment d’amis, il ne jouait pas avec les autres enfants, il restait dans sa maison, avec son père, suivant à la lettre l’éducation du saint père… C’est le nom que s’était auto attribuer le père de Doku, plutôt comique pour un homme impie.

Vint un soir où le jeune garçon ne vit pas son père rentrer. Tout du moins, pas à l’heur habituel. En effet ce soir là le chef de famille était sorti au bar, pour s’abreuver allègrement d’alcool. La chose était rare, à tel point que c’était la première fois que Doku voyait son père soul en rentrant.
Vous rappelez vous de la Genèse ? Bien sur, qui aurait pu l’oublier ? Il a été dit une chose que l’on retrouve, car c’est une vérité. L’alcool dénoue lentement les langues…
L’effet ne fut pas immédiat, bien sur auparavant il fallait amener le sujet sur le tapis. Chose que l’ivrogne fit de la plus délicate manière qui soit…


« T’es pas au lit toi ? Ta mère t’a pas couché ? »

Doku n’eut pas l’air choqué par ces propos, il se contenta d’épauler son père et de lui rappeler que mère était morte. Chose que fit l’enfant le plus naturellement du monde en posant son père sur le canapé, même canapé qu’il y a douze ans auparavant. Le père rit à la pertinente remarque de son fils, et approuva son fils. Si la soirée s’était arrêtée là, il aurait pu vivre au moins une nuit de plus…
Nenni, il devait entamer les explications. Il regarda alors son fils et lui clama la vérité, il lui dit que c’est lui qui avait tué sa mère. Bien entendu l’enfant cru bon de ne pas le croire. C’était sans compter les détails troublant qui avaient été donnés par l’ivrogne pas encore mort.

Les révélations du paternelles eurent un effet, disons le violent sur le jeune enfant, révélant ses talents de meurtrier à merveille et sa cruauté, sans égal…


Ceci est un meurtre, lire ces lignes revient à accepter, voir approuver le meurtre de l’homme qui va suivre…

L’enfant frappa son père au sommet du crâne, celui assommé, il se laissa sans problème traîné jusqu’à la cave de la maison. L’enfant bâillonna alors la bouche de ce qui lui avait servit de père durant ces douze années. Douze années de mensonge qui allaient ressortir ce soir. Doku avait changé, il laissait doucement la folie l’envahir. Le sang chauffait dans ses veines, et ce qu’il s’apprêtait à faire était sans doute la meilleure chose qui soit…
Il prit les chaînes de la cave et encercla les poignets du condamné à mort. Le hissant jusqu’à ce que ses pieds ne touchent plus le sol, il serait le martyr d’une nuit. Lui qui se voulait impies serait le sosie de Jésus Christ ce soir. Il allait subir les sévices de son fils, et ce le plus naturellement du monde.

Prenant quelques couteaux de la cuisine, notre cher garçon redescendit le plus gaiement du monde. Cette fois ci les escaliers n’étaient pas en bois, il ne fallait pas faire de bruits. La discrétion est mère de sûreté. Il attendit calmement que le père se réveille, et lentement il laissait échapper quelque sourire sadique sur son visage.
D’après notre saint père, Doku devait devenir un shinobi. Qu’à cela ne tienne, tout bon shinobi doit savoir lancer le kunai, n’est ce pas ? Certes les couteaux sont plutôt artisanales. Mais leur efficacité est tout aussi grande. Preuve en était les cris étouffés du père lorsque le premier se planta dans son bras.
Alors que le jeune garçon prenait un plaisir malsain à voir souffrir son père, l’homme aux yeux bleus prenait un certains plaisir lui aussi à voir sa fin arriver. Comme il l’avait dit douze années plus tôt : « Tu seras mon Doku ». Et ce soir il allait mourir, tué par son propre fils…

Le lancé de kunai n’est que trop lassant à long terme, le jeune enfant avait alors descendu une belle panoplie d’instruments tous plus excitant les uns que les autres. Par soucis de pudeur (oui, pudeur.) nous ne décrirons pas tous les instruments utilisés. Décrivons simplement un des passages les plus délicats et harmonieux de cette torture divine.

Le sang coulait à flot, plusieurs organes étaient percé ; Les riens, le foie, le père n’en avait plus pour très longtemps. Il était maintenant temps de faire preuve de créativité : d’imagination. Le corps étant tellement endommagé, l’homme ne pouvait plus bouger. Doku crut alors bon de le redescendre, afin de continuer de s’amuser…
Il retira les chaînes de son père, le laissant tomber violemment au sol. Immédiatement il se jeta dessus en se mettant à califourchon sur son abdomen. De là il avait pleine vue sur son futur jeu. Il avait toujours aimé la couleur des yeux de son père. Pourquoi ne pas les regarder de plus près ce soir ?

Lentement il s’avança alors vers le globe oculaire de son père, posant deux de ses doigts pour retenir chaque cil. L’œil ne doit pas se fermer, sinon on ne le voit plus… Déçu de ne pas le voir dans sa globalité Doku trouva une solution à ce problème. Il retira un couteau du bras droit de son père puis lentement il s’avança vers l’œil.
L’instant était tout ce qu’il y a de plus excitant. Très lentement il plant la lame sous l’œil, et l’enfonça d’environ cinq centimètres. L’enfant riait le plus explicitement du monde. Un sourire ahuri sur son visage il fit lentement un mouvement de bascule avec le couteau, faisant ainsi remonter la pointe.
L’effet fut immédiat. Le globe oculaire sauta de son orbite. La réaction de l’enfant fut elle aussi instantanée… Il ouvrit grand la bouche et prit l’œil sur sa langue. Quelle vision excitante de la scène ! Doku ne voulait savoir qu’une seule chose. Est-ce que son père voyait l’intérieur de sa bouche ? il sentait la petite boule bouger dans sa bouche, comme si elle était vivante.
Le père pleurait de douleur, il avait laissé de coté l’extase et contemplait maintenant la cruauté de son propre fils…Doku planta alors son regard dans l’unique œil encore en place de son père. Il eu un sourire et lentement il coinça l’œil dans sa bouche. Un fil liant l’œil au cerveau dépassait de la bouche de l’enfant et rentrait de le socle de l’œil. Ce petit fil servait à transmettre les informations.
Doku jubilait. Sentait il la pression grandissante sur son œil ? Allait il crier lorsqu’il croquerait à pleine dent ? La réponse allait se faire savoir maintenant. Il croqua, l’œil éclata dans sa bouche. Un des yeux qu’il avait tant admiré était maintenant dans sa bouche…
Le père hurlait à la mort, bâillonné, on ne pouvait l’entendre…

Par soucis de décence nous ne poursuivrons pas la description de cette nuit. Il faut laisser une certaine intimité à notre protagoniste, qui règle ses comptes avec son père…



L’histoire passée de notre jeune garçon est maintenant terminée. Finalement, Doku tua son père dans la plus grande euphorie qui soit. Ce qui suit se déroule après la mort du père du protagoniste. Inutile de vous dire que ce qui suit est tout ce qu’il y a de plus choquant pour les âmes sensible…


Introduction : Nouveau deuil, nouvelle vie.


Inutile de préciser que les périples de Doku avec son père ont eu un impact des plus grand sur notre cher héro. Lesquels ? Au rassurez vous, rien de bien méchants, une simple addiction à la tuerie… Cependant pour un effet néfaste de cette envergure, l’enfant a beaucoup mûri, devenant plus assidu à sa tâche et plus appliqué aussi. C’est sans nul doute une des meilleures choses qu’il fit. A croire qu’il faut tuer quelqu’un pour révéler sa vraie nature…
S’impliquant dans sa nouvelle vie, le jeune garçon a très vite compris qu’il fallait faire ce qui lui tenait à cœur. Pour lui, un seul objectif à atteindre, il deviendrait un grand ninja de son village. C’est d’ailleurs la première chose qu’il fit le lendemain de son meurtre, il partit s’inscrire à l’académie.

Que dire de cette période ? L’âge où normalement, on rencontre d’autres enfants, on se fait des amis. Et bien pas du tout, l’assassinat de son père a permis à Doku de se détacher de toutes ces choses inutiles comme l’amusement ou la camaraderie. A quoi bon trouver des amis d’un jour ? Ils risqueraient tout au plus de mourir. Ces liens ne nous servent à rien, alors inutile d’en créer. Il se contentait de faire son chemin, chaque jour.
Naturellement avec tant d’hardiesse à la tâche, Doku finit vite premier de sa classe et terminer Génin. Les choses auraient sans doute pu s’arranger avec le temps. Un nouveau sensei, des coéquipiers permanent. Vivre avec eux, exécuter des mission, cela allait sans doute forcer le jeune garçon à tisser ses liens. Ce jeune garçon de quinze ans allait sans doute se sociabiliser…

Le lendemain matin, il se rendit devant la porte de Konoha. Lieu de rendez vous que lui avait donné son sensei. Il allait rencontrer son maître pour les années à venir, et retrouver deux de ses camarades.
Il se rendit à la porte le lendemain matin, il était le premier. Tant mieux, il pourrait contempler les étoiles. Le soleil ne s’était pas totalement levé, on pouvait encore voir à travers la lumière de l’aube. La journée s’annonçait sèche, la rosée du matin avait déjà disparue. Il restait là à contempler les astres de la nuit qui allaient bientôt partir avec l’arriver du soleil.
Rapidement une compagnie vint se joindre à lui. C’était une demoiselle, une des plus charmantes. Elle n’aura pas de nom afin de ne pas s’attacher à elle. Nous saurons juste qu’elle était brune d’une rare intensité et ses yeux pourpres la rendaient sublime. Le teint bronzé, fine et déjà bien en chair malgré son jeune âge, elle avait tout pour plaire. Cependant à seulement quinze ans, Doku avait déjà développé les charmes décris précédemment [vois physique], et il lui plaisait, cela ne faisait aucune doute à la couleur rouge de ses paumes.
Elle ne put l’aborder que déjà l’autre coéquipier venait s’ajouter au groupe. Curieusement celui-ci lui rappelait son père, les mêmes yeux, la même couleur de cheveux à peu de choses près. On aurait pu les prétendre frère.
Tel fut l’équipe de Doku.
Alors un homme des plus étrange arrivât. Il portait une veste de voyage noire, on distinguer seulement sa chevelure blanche et ses yeux gris. Le coté mystérieux qu’il dégageait le rendit fascinant aux yeux du jeune Génin. Même si il avait voulu le tuer, il n’en aurait pas été capable. Cet homme était trop intéressant pour être gâché. Dorénavant, Doku servirait cet homme, jusqu’au jour où il lui serait inutile…


Dernière édition par Doku Saïto le Mar 8 Avr - 22:45, édité 1 fois
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Doku Saïto
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MessageSujet: Re: Doku Saïto.   Doku Saïto. Icon_minitimeMar 8 Avr - 22:39

Chapitre premier : Une bribe de vie, un garçon différent.

Ce jeune garçon avait maintenant seize ans, plus précisément 16 ans et trois cents soixante-quatre jours. En effet, son anniversaire était demain. Forcé de constater qu’il n’avait pas laissé indifférent le reste de son équipe, Doku semblait attirer la sympathie des autres malgré lui. Etait ce le fait de se voir tous les jours qui produisait ce phénomène ? La réponse ne lui parvenait pas, et il ne voulait pas la chercher…
Comme d’habitude, il arriva le matin devant la porte de son village, il était le premier comme toujours. Il se posa en haut de la porte et contempla les étoiles comme à son habitude, cette fois ci l’hiver se terminait. Le jour était plus long à se lever, et on pouvait encore voir la lune dans le ciel. Le Génin portait une tenue chaude, sous son habituel manteau blanc il portait sa tenue de shinobi sous quelques couches de laine. Il restait alors là, allongé sur le sol froid à contempler les étoiles dans la chaleur de son propre corps.
Cet instant ne dura pas plus longtemps que la première fois où il l’avait vu. La jeune fille était là, elle l’avait rejoint. Et commençant à connaître Doku, elle se contenta de lui sourire en guise de salut, chose qu’il remarqua et leva la main pour lui retourner son attention. Elle s’allongea alors non loin de lui et posa une question :


« Pourquoi tu regardes sans cesse les étoiles ? »

Le jeune garçon l’air interloqué répondit à la belle :

« Pourquoi me pose tu cette question sans arrêt ? »

« J’aime bien t’entendre raconter ton histoire » Dit elle en baissant la tête.

Le jeune garçon se redressa alors et contempla sa partenaire. Il poussa un léger soupir et se rallongea.

« Je me dis que peut être un jour je serais une étoile. Et ce jour là je serais mort. Mais avant cela j’aurais su mériter ma place au sein de nos anciens kage. J’aurais eu une belle carrière shinobi, je serais sans doute devenu un grand homme de science et le soir, lorsque j’aurais pris ma retraite de shinobi, que je ne partirais plus en mission, je serais là avec quelqu’un qui sait jouer aux échecs. Et nous jouerons notre partie journalière, puis ensuite j’irais sans doute dans sur le toit de ma maison et je contemplerais le ciel. Et le soir venu, je verrais les étoiles s’éveiller peu à peu.
Jusqu’au jour ou ma vie sera mise en péril pour une ultime mission, et je mourais alors pour protéger mon village. Je m’arrangerais pour vivre seul, de cette manière je ne causerais de peine à personne et je mourais en paix. J’aurais sans doute de belles obsèques par le kage, puis le soir venu. Celui avec qui je jouais aux échecs regardera le ciel, cherchant une nouvelle étoile, ce sera sans doute la mienne, parmi les autres ninja de ce village… »


Doku se redressa sur les coudes et regarda la jeune fille, elle entrouvrit sa bouche, il savait ce qu’elle allait dire. Ils dirent les mots à l’unisson :

« La fin est triste… » Elle regarda Doku qui souriait et poursuivit. « Moi j’aurais de la peine. »

« Il ne faut pas, c’est la vie. C’est pour ça que je reste seul, les gens ne comprennent pas… »

« Tu as changé en un an tu sais. Avant tu ne nous parlais pas. Maintenant tu me souris , elle sourit, je suis contente. »

Doku se laissa retomber contre le sol, c’est à ce moment là que le dernier compagnon et le sensei arriva, toujours vêtu de son manteau noir. La première chose qu’il dit, c’est qu’aujourd’hui ils ne partiraient pas en mission. Les deux compagnons protestèrent, notre jeune garçon resta allongé à attendre la suite.
Ils n’allaient pas être déçu. La nouvelle qu’il annonça était des plus réjouissante. Il les avait inscrit à l’examen de sélection des Chuunin. Doku ferma alors les yeux et imagina les étoiles dans sa tête, et cherchait peu à peu sa place au centre des astres de la nuit… Il ne put faire ceci bien longtemps. Le sensei dit à son équipe de partir, la jeune fille voulue inviter Doku, mais le sensei protesta. Il devait parler à son élève.
Il s’assit près du Génin et dit :


« Tu savais que ça devait arriver non ? »

« Je me doutait que ça arriverais un jour. Mais peut être pas si vite… » Le jeune homme sourit.

« Je savais que tu ne le prendrais pas mal, tu as mûri. Je ne t’obsède plus autant, et c’est bien. »

« Comment vous ?... »

« Dès la première seconde ou on s’est vu. Je savais que je t’intriguais, et cette curiosité s’est peu à peu estompée, ça n’a pas été facile de te rendre plus calme et sensible. »

Le jeune garçon baissa la tête, les étoiles ne l’attiraient plus. Il regarda alors son sensei qui lui dit quelques dernières paroles :

« Reviens me voir quand tu seras chuunin. »

Puis il disparu. Il était maintenant temps de passer à autre chose. Encore une fois la vie de notre jeune garçon allait prendre un chemin différent. Mais pas forcément celui attendu…


Chapitre dernier : Le plaisir de l’extase, restons nous même…

Inutile de vous dire que la première épreuve fut une simple formalité… Et puis elle est totalement inintéressante. La seconde est bien plus exaltante, et fut le théâtre de ce qui rendit notre jeune homme propre à lui-même…
L’équipe se trouvait dans la forêt, et comme à chaque fois, ils devaient atteindre une tour au centre de ce lieu. Un lieu parsemé d’ennemis, à savoir les autres équipes, et de créatures dangereuses.
Il faisait noir, la forêt ne respirait plus, deux équipes étaient entrées en confrontations. Peu importe leur village, Doku faisait partie de cette bataille, c’est ce qui comptait.

Rapidement chaque membre trouva son vis-à-vis et les équipes se dispersèrent plus ou moins. Notre héro ne se faisait pas de soucis pour ses coéquipiers, ayant rapidement évalué le risque il savait qu’ils gagneraient. Par contre son adversaire à lui, il avait beau le regarder, il ne trouvait pas ses renseignements, tant pis. Il combattrais et apprendrais en même temps. Doku avait été préposé doué au Taï-jutsu et au ninjutsu, ce qui en soit était totalement vrai. Il ne semblait avoir développée aucune prédisposition au Genjutsu. Du moins pas jusqu’à aujourd’hui…
Le combat faisait rage, bon en corps à corps, l’adversaire de Doku avait su chercher et trouver le contact. S’était alors engagé un danse sensuel et viriles des deux corps qui ne voulaient pas se toucher. Cependant le Génin de Konoha fut bien obligé de plier, il avait trouvé meilleur que lui. Doku chuta violemment au sol, sonné par le choque son adversaire était venu lui planter un kunai en pleine poitrine, chose qu’il put éviter pour se faire perforer l’épaule.
C’est à ce moment là que tout bascula. La vue du sang, de son sang eu un impact dans la suite de ce combat. Il passa sa main droite sur son épaule gauche (épaule blessée) et laissa le sang couler le long de ses doigts. Ses yeux avaient changé, son expression aussi, il revoyait tout son passé. La scène avec son père, la torture interminable. Une douce chaleur envahissait son corps, il restait là inerte un petit moment, jusqu’à ce que son adversaire vint de nouveau au contact. Tout fut si rapide… Il voulu lui donner un coup circulaire au visage, Doku para le pied de son adversaire de sa main blessé et posa les cinq extrémités de sa main droite sur le front de l’autre génin, faisant ainsi cinq tâches de sang. Ce détail importait peu, c’est ce qui s’était passé au moment du contact qui importait.
Au moment ou son sang avait touché l’autre, il s’était sentit comme aspiré à l’intérieur de son vis-à-vis. Il était à l’intérieur de sa tête, il voyait de multiples images qui n’avaient strictement aucun rapport avec lui. Il savait très bien ce que c’était, il voyait la vis du garçon qui l’avait frappé plus tôt. Il voyait tous ses souvenirs, les tendres câlins avec sa famille, la vue de ses amis, tout, il voyait tout. Il avait une vision bien étrange de ce coin du cerveau, comme des tiroirs dans lesquels des dossiers étaient empilés, lentement il ouvrit un tiroir. Il sortit un dossier, dessus était écris ces mots « Examen de Chuunin. »
Le réflexe fut immédiat, il déchira le dossier, il déchira les feuilles. Il ouvrit un autre tiroir, un autre dossier : « Comment faire bouger son bras droit. », puis un autre : « Comment marcher », il continuait, il déchirait tout ce qu’il voyait. Une fois la pièce mise à feu et à sang, il se sentit de nouveau aspiré en arrière. Cependant il n’apparut pas devant l’homme, du moins pas dans le sens ou il l’entendait. Il était devant son adversaire, à environ deux mètres de lui. Et lui était là, en train de baver debout, Il ne savait pas ce qu’il lui avait fait, il avait juste un kunai avec sa lame en sang dans sa main.
C’est lorsqu’il fut de nouveau reporté dans son vrai monde qu’il comprit. Il l’avait pris dans une illusion, et dans cette illusion, une autre lui apparut, montrant les dégâts qu’il causait en torturant le pauvre garçon…

Doku était là, dans la même position que tout à l’heure. En train de parer un coup de pied qui n’existait plus, le front du garçon s’éloignait des doigts du génin de Konoha. Il tombât inerte sur le sol.
Il entendit des voix au loin, ses coéquipiers qui l’appelaient. Il fouilla son adversaire, trouva le parchemin et partit en direction de ses camarades.
En l’espace de quelques secondes, il retrouva sa vraie nature, il avait changé… Il se souvenait maintenant de cette soirée avec son père, il se rappelait son envie de sang. Il sentait une chaleur inexplicable envahir son corps. Il revivait. Ne manquait plus que les femmes. Mais elles arriveront plus tard, il était temps de finir cet examen.

Ne relatons pas le futur…


[HJ : Vous inquiétez pas j'écris pas super vite. c'est juste que je fais ma présento avant de m'inscrire pour tout poster d'un bloc. Ca doit faire une semaine que je suis dessus, j'espère que ça a plu
PS : J'ai vu en m'inscrivant le sujet dédié aux règles. je les lirais sans doute plus tard. Je suis en classe de Terminal et cette semaine j'ai examen blanc. Excusez par avance mon absence, ou ma présence un peu rare.]
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Yamanaka Lita
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MessageSujet: Re: Doku Saïto.   Doku Saïto. Icon_minitimeMer 16 Avr - 22:22

Bienvenue sur PN

L’homme est l’animal se reproduise pour la survie de l’espèce, sauf que l’homme a crée le latex…

    Heureusement oui ! XD J’adore cette phrase, une autre excellente citation.
    Avançons à présent dans ta fiche. Fais déjà attention à « et/est ». Je ne sais pas exactement parfois quel des deux mots va à sa place, quoique parfois si mais je me demande si ce n’Est pas une erreur de structure de phrase. Alors une simple relecture à ce niveau là, ça ne te ferai pas de mal. Razz

    Mais oh mon dieu…Quelle description ! Tu as une plume excellente, ta façon d’écrire m’impressionne vachement. Surtout que tu rentre dans la peau du personnage dès le premier post, laissant alors une sorte de grain de folie sortirent de tes textes. Moi j’adore, et sans oublier qu’il n’y à peine de fautes ! C’est vraiment à crier de joie ; on n’a pas vraiment l’habitude d’avoir de si bon Rp-istes qui s’inscrivent de suite. Et puis… Tes phrases…elles sont magnifiques, je n’arrive pas y croire… Ton Shinobi a l’air bien charmant…Mais attention le physique n’est pas aussi attirant qu’on ne peut le faire croire (et c’est moi qui dit ça XD). Sans oublier que sur le forum, il va falloir miser sur le relationnel pour pouvoir suivre une telle description Razz. Mais comme je te l’a dis, ton style est tout bonnement agréable, une lecture appétissante, je regrette déjà de ne pas avoir lu ta présentation avant !

    Le caractère maintenant… Un style toujours si impressionnant, intéressant, appétissant, bref ce que tu veux. Effrayante, parfaite pour le fou que tu vas jouer (À Konoha on a déjà quatre je pense…Et cela en même pas un mois… Tous des Rôle-payer d’un talent incroyable…). Des tournures de phrases pas mal, des mots bien trouvés et un caractère élaboré. Franchement ça fait plaisir de voir des gens comme toi sur ce forum. « Vivre ses plaisirs »… On pense souvent cela, mais on change bien vite d’avis…Quoique je ne crois pas que ça soit le cas pour ton cher psychopathe. Passons. Rappelle moi seulement, malgré la nymphomanie de mon personnage (et la mienne XD) de ne jamais coucher avec toi ; c’est juste que je n’aime pas que les draps soient recouvert de rouge…XD

    Pour la suite… Toujours excellente, ça nous donne vraiment envie de lire la suite ; ce que je vais faire rapidement. D’ailleurs je garde aussi cette citation ; lier trop intimement aux gens débouche à des souffrances trop grandes… C’est si vrai…Ça mérite d’être mon sous-pseudo sur MSN. Bref, ton début de présentation m’a charmé.

    Ton histoire… Est tout bonnement excellente. Encore un style si incroyable… Un vocabulaire varié et riche. Peut-être quelques problèmes avec les « balises » de forumactif (les couleurs, le gras ?) Une orthographe excellente, des accords à travaillé parfois. Une simple relecture arrangera le tout. Alors laisse-moi te dire que je suis tombée folle amoureuse de ta présentation. Elle est dans mes favoris, je peux te le jurer. Bien que parfois trop « dégueulasse » (On ne mange pas un œil, Beurk ! >.<). C’est vraiment bien… Mais je ne comprends pas trop la fin enfaîte… Technique héréditaire, Flashback ? Si tu pouvais m’expliquer. Alors passons à ta validation ! Razz


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MessageSujet: Re: Doku Saïto.   Doku Saïto. Icon_minitimeMer 16 Avr - 23:21

Merci de ces quelques compliments (restons modestes). Je ne reviendrais pas sur les paroles élogieuses, vu qu'il n'y a rien à dire si ce n'est "c'est normal, j'aime qu'on aime me lire" ^^.
Venons en juste au défaut qui maintenant que je le vois est pertinent.

En parlant de la fin de mon histoire tu veux sans doute parler du dernier chapitre notamment, et sans doute de l'épisode de l'œil (j'aime bien ce genre de scène, et puis il en faut pour tous les goûts.).Bref, passons.
Le fait est que j'aime faire ma présentation avant de m'inscrire sur un forum. Et généralement, on peut accéder aux règles sans êtres inscrits. Or sur ce forum ce n'est pas le cas...

Je suppose que tu parles du combat de l'examen chuunin. Le technique n'est autre que du genjutsu que j'avais élaboré avant de lire les règles, donc sans connaissances des différentes genjutsu. Si tu veux l'assimiler à un style ce serait le genjutsu de lésions. Et l'image des casiers et des feuilles déchirées ne seraient qu'une métaphore servant à imager la rupture entre le cerveau et les membres du corps de l'adversaire.

Enfin bon. C'est vrai que c'est brouillon, mais j'avais vraiment pas envie de refaire ce passage, sans doute la satisfaction d'avoir finie et la "peur" de ne pas y arriver...

Pour ce qui est du genjutsu, tu peux dire que c'est héréditaire si tu veux. c'est simplement un genjutsu qui se déclenche lorsque Doku touche son adversaire (un peu comme Itachi ou Sasuke lorsque l'on regarde leur yeux.). Ou plutôt, il ne peut déclencher son genjutsu qu'en touchant son adversaire.

Et juste pour résumer. La fin c'est une bouffé d'émotion qui vous remonte en pleine tête et on ne sait pas trop comment l'interpréter ni même comment l'écrire. C'est une sorte de frénésie qui me prend lorsque je prend mon pied à écrire en écoutant les quatre saisons de Vivaldi, alors ça donne des choses parfois un peu brouillon. Je m'en excuse.
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