Presentation de Mazaru... [Validé 9XP]

~~Présentation~~

Bien,je n'ai pas suivi l'exemplaire d'inscription mais j'ai resumé le tout.

Nom:Satô
Prénom:Mazaru
Age:16ans
Grade souhaité: Juunin of Kiri
Taille:1m80
Poids:60 Kg
Groupe sanguin: O
Anniversaire:17 janvier
Nindo:Montrer a tout le monde qu'un raté peut surpasser un genie avec un entrainnment rigoureux...
Qualités:Mazaru n'abondonne jamais,c'est un bon ninja Intelligent,robuste, Aimable, Stratégique,courageux...
Defaut:Il n'a pas de defauts^^vous allez comprendre en lisant l'histoire...
Peur:Tout le monde a peur mais lui il a peur d'une seule chose....La mort de ses parents.

Description physique et morale:

Mazaru, un jeune homme plein de ressource. Si vous l’observez de loin, vous ne trouverez rien de particulier. Un jeune homme détendu, calme et réfléchit. Si vous le croisez tous les jours, son style vestimentaire ne vous échappera pas. Et il reflète en fait son jeune esprit comme son calme. Tantôt clair, tantôt sombre, il n’a pas réellement de goûts particuliers. Dans la plus part des cas, Il porte une chemise assez large qu’il laisse à moitié ouverte. En dessous de celle-ci, un vêtement léger et souple, peu chaleureux. Ses pantalons sont pratiquement tous les mêmes. Large aux genoux, réduis aux chevilles et à la taille. Il se munit en général, de bon vêtement qui ne rédui en rien les mouvements du corps. Il aime se sentir constamment libre de ses propres mouvements, libre de lui-même.

Si vous vous rapprochez encore, il se peu qu’il sourit. Il n’est pas tout le temps en train de sourire, en fait, principalement, son visage est calme. Ses cheveux d’un noir foncé, proche du violet tournant au rouge, selon les idées du soleil, vole souplement balancés par des petits souffles d’airs. Ceux-ci ne sont pas bien courts, mais ils ne sont pas vraiment longs non plus. Ils lui recouvrent le front, et parfois les oreilles. Pratique, cette forme de cheveux est apparemment un signe familial. Tout comme la couleur en fait. Alors votre regard se baissera, vous lui trouverez des yeux profonds et souvent tintères. Dans le regard on lire bien des choses. Vous trouverez dans le sien comme une volonté, un caractère. Regard fixe, regard calme, vous risquerez également de lui trouver de son tempérament. Ses yeux sont d’une couleur assez étrange. Un bleu d’azur s’inspirant du ciel pour ses couleurs vivaces. Les yeux de son père, c’est qu’on a pu lui dire lorsqu’il était petit. Vrai ou pas, il s’en moquait. Même s’il ne connaissait pas celui qui devait être son paternel, il l’aimait et l’admirait. C’est donc également des yeux fiers qui illuminent le doux visage du jeune garçon. Le reste de son visage, est tiré de traits fins. Son nez fin et pointu présent pour rajouter un peu de relief à son visage. Bouche fine et étiré, pour y rajouter un peu de douceur et de délicatesse. Dans l’ensemble,ce garçon à un visage assez mignon et assez valorisant pour son image. Mais sa démarche comme ses mouvements, montrera de lui quelqu’un de pacifique, lent et mou. Mais c’est en regardant le ciel que l’on découvre des étoiles, et non pas en l’ignorant. Attardez vous donc un instant près de lui. Vous y verrez bien plus qu’un simple garçon apathique. Rapprochons nous de ce jeune garçon, et suivons le pour en savoir un peu plus à son sujet. Vous découvrez, lorsqu’il soulève sa coiffure un petit motif partant de la racine des cheveux en direction de ses yeux. Dans le même style que les tribales, ce petit tatouage lui donne un certain genre, dommage qu’ils soient cachés par les cheveux. Vous découvrez également de lui, que Mazaru est un jeune actif. S’il s’assit près d’un arbre pour observer le ciel, s’il s’assit sur un banc pour observer le monde, c’est soit qu’il pense, soit qu’il se repose.

Vous remarquez, que Mazaru a la manière de remonter constamment ses manches. C’est comme ça depuis qu'il était petit, il n’apprécit pas avoir de tissus sur les avants bras. Vous remarquerez donc, que ce jeune garçon est un jeune homme assez musclé. Vous comprendrez alors vers où se tourne ses passions. La combativité.

Histoire:

Chapitre 1:La naissance d'un nouveau shinobi.

Les Satô, famille étrange et mystérieuse qui ne fit pas parler de soi. Il était su, que tous les hommes de cette famille étaient des shinobis, et que toutes les femmes étaient d’efficaces calligraphes. Il est dit dans cette famille, que le destin peut être un fardeau, mais qu’une fois sur terre, il faut être bien veillant à accomplir leurs rôles. Enrôler dans une doctrine efficace, la plupart étaient de cet avis. En retrait socialement, pour des raisons de vie, cette famille ne se fit jamais connaître. Favorisant la paix et le calme à la gloire et le renom, jamais aucun ne voulu se mettre en valeur. Pourtant visible à leurs chevelures noires, rouges selon le désir du soleil, ils ont su se dissimuler des regards et écoutes. Tous, étaient secrètement tapis dans un coin de la ville de Kiri, exploitant leurs propres fruits à des objets personnels. Sans réel but, sans réelle préoccupation, durant tant d’années, ils ont su être pour eux même.

C’est dans cette famille, au combien étrange que cette jeune femme naquit. Une magnifique jeune femme, plein de talent de vigueur. Une véritable force de la nature, son esprit était inébranlable. Il paraîtrait, que justement, dans cette force l’endoctrinement de la famille ne parvint en rien à toucher la volonté de la jeune femme. Voyant ses oncles et frères depuis petites, elle rêvait de combattre pour ceux qu’elle aimait. Elle désirait imposé aux yeux des autres le respect de sa lignée, et surtout, elle désirait avoir la capacité de se battre pour protéger ce qui était important à ses yeux. Mais une femme dans cette famille, ne pouvait atteindre une telle destinée. Et, la famille entière n’hésita pas à se monter contre elle pour essayer de lui faire baisser les bras.Y arrivèrent-ils ? Un cœur valeureux ne se laisse pas aisément corrompre. Elle se battit contre les siens pour vivre la vie qu’elle voulait. Mais même toute l’ardeur, même toute la volonté ne suffisait pas. C’est après bien des mots,c’est après bien des gestes que la pauvre femme céda son avenir. « Le fardeau du destin » Elle subit donc sa vie. Le combat pour les hommes, la vie pour les femmes.. La vie, a quoi bon vivre une vie qui n’est pas à soie. Quand vivre devient devoir, alors effectivement, vivre devient fardeau. Et c’est le cas pour cette jeune femme, qui passa sa vie à étudier la calligraphie, et à créer tout genre d’objets spéciaux pour les hommes de la famille. Qu’a-t-elle a avoir avec notre jeune garçon ? Cette femme deviendra bien plus tard la mère de notre jeune Héros. Les enfants naissent en recevant l’influence de leurs parents. Tout ce qui a été vécu, ou tout ce qui a été subi, aura une répercution sur l’enfant. Dès la naissance, dès même la création, ils offrent la vie et une partie d’eux même. Alors, caractère, volonté, force, intelligence, tout se transmet. « Rien ne se perd, tout se transforme » C’est pour cette raison, qu’il est important de parler, d’un minimum, de la vie de cette future mère.

Elle pu reprocher à ceux qui se battait, d’avoir le réel but et l’opportunité de se battre pour ceux qu’ils aiment. Un homme pu la sortir de cette destinée. Il ne pu pas lui offrir exactement la vie qu’elle désirait, mais il pu au moins après bien des actes, l’écarter de sa famille. Enfin, grâce à cette homme qui lui offrit son cœur, elle pu respirer et chercher enfin un nouveau but à sa vie. Elle, et celle qu’elle aimait, aménagèrent dans un coin éloigné de Kiri. Non pas éloigné de tout, juste éloigné des Satô. D’amour et de paix, ils forgèrent un petit être plein de force. Petit être masculin, qui aura droit de décider de son destin, petit être déterminé à vivre sa vie. C’est après les 8 mois d’amours, que le verdict et la venu de l’enfant arriva. Mais dans l’un des petits hôpitaux de Kiri, une nouvelle bouleversante arriva en même temps que l’enfant. « Il parait ne pas avoir la vue » Destin ? Fatalité ?

Cette nouvelle provoqua les lames de deux cœurs, ceux des parents du jeune enfant aveugle. Mais une chance existait. Une opération délicate et coûteuse. Trop chers, pour une si petite famille. Le destin de ce jeune garçon, était donc presque tracé. Il ne pourrait en faite, pas réellement vivre la vie qu’il désire. A condition bien sur, que son choix soit de vivre sans but et sans capacité. Ainsi, si de l’argent il fallait, de l’argent il y aura. Les deux parents se mirent à travailler plus tard le soir. Ils commencèrent plus tôt, étaient plus rigoureux. Leurs ceintures se serrèrent, leurs mobiliers disparurent. Mais rien ne suffit. Alors, le père, pourtant tendre et délicat, s’engagea comme mercenaire. A contre cœur, il dû aller tuer pour son fils. C’est en partant pour ce nouveau métier, qu’il ne rentra plus chez lui. Le cœur fendu, mais l’argent plein le sac, elle offrit à son fils l’opportunité une bonne fois pour toute de vivre sa vie. L’opération, était assez spéciale. Mazaru a montré une faiblesse au niveau de son chakra. Celui-ci devait se concentrer sur les muscles pour permettre le mouvement au jeune garçon. C’est alors pourquoi, il lui a été offert un support pour lui redonner la vue. Ainsi, son destin venait de changer, il allait maintenant pouvoir écrire son avenir. Il grandit dans l’amour de sa mère et dans la vérité. Rien de ce qui lui était arrivé, à lui, à son père, comme à sa famille ne lui avait été caché. Il adopta un point de vue, sur la vie assez positive. Il devint réfléchit, calme et profond. Sa volonté se forgea de fer, son courage se grava dans la roche. « Je forgerais ma propre destinée » c’était ses motivations. Il voulait pouvoir faire, ce que sa mère n’aurait pu faire, combattre pour ceux qui sont précieux à ses yeux. Il grandit, grandit, aidant à la maison comme hors de la maison. Il aimait se sentir utile, c’est d’ailleurs un trait qui lui est resté. Par des travaux manuels, parfois difficiles, il entraîna sont corps et son cœur. Par des jeux d'échecs ou d'autres loisirs il entraîna l’esprit. Épanouit, il mûrit rapidement, et tout comme sa mère, dès l’âge requis, il voulut devenir un Shinobi. Heureuse de voir sa vie, se réaliser à travers son fils, sa mère mit tout en œuvre pour qu’il puisse intégré l’académie.

Mais c’est alors, que la famille l’attendait. Pour l’une des premières fois de l’histoire des Satô, ceux-ci allèrent à l’académie pour demander le retrait du jeune garçon, et pour essayer d'appater le jeune garçon de leurs filets. Ils affirmèrent, qu’eux pourraient le former, et qu’il n’aurait pas les capacités requises pour égaler ses camarades. En un point, ils avaient raisons, Mazaru avait une faible quantité de chakra. Mais par la force des choses, il était convaincu qu’il arriverait à devenir quelqu’un. Le jeune garçon s'obstina, et en fit une histoire personnelle. Et c'est après bien des mots,après bien des disputes, qu'il entra dans l’académie de Kiri, village de la brume. Il y passa trois, à quatres années à y étudier le plus important: L'histoire, la géographie, les Maths, les sciences, et beaucoup d'autres matières générales. Ni excellent, ni mauvais, il s'avérait que Mazaru soit dans l'obligation de travailler dur pour des résultats plutôt médiocre. Il accepta son sort et étudia hardemment. C'est en troisième années qu'il débuta sont réel apprentissage du Chakra. Il connaissait certes, sa nature, son utilité, mais pas encore à le maîtriser. C'est donc à cette troisième année que son présent débute...

Chapitre 2: L'entrainnement pour aller vers l'avant

Mazaru, les sueurs au front, courait silencieusement. Il venait de croiser l'un des membres de cette famille qui n'était pas la sienne. L'une des familles qui pour préserver leurs silence, était près à briser l'espoir des plus courageux. '"Tu ne deviendras jamais rien'" Lui dit-on sans cesse. Même certains de ses anciens professeurs de l’académie, désespéraient à le voir tel qu’il était. Partout, il est dit que ceux du second rang, ne peuvent rien face aux doués de ce monde. Que les sourds soient bénis. Il préférait ne jamais avoir entendu, plutôt que d'entendre de telles insultes à son égard. Certes, il était faible, du moins, il l’était encore. Chaque jour, encore et encore, il s’entraînait dur dans tous les domaines. Méditation, conditions physiques, conditions mentales. Déjà à 14ans, il avait l’ambition de devenir quelqu’un, il avait la volonté de s’entraîner pour devenir enfin quelqu’un. Cette fois encore, prit d’une pulsion d’adrénaline, il s’épuisait dans les bois, courant à vive allure, comme pourchassé par ce passé tenace. Ce passé ? Mais aussi ce présent. Tout ces mépris, tout ces préjugés.

*Je leur montrerais, un jour, le soleil se lèvera, et ma persévérance aura payé !*

Le souffle court, il ne parvenait plus à s’arrêter. La machine était lancée. Alors que vingt bonnes minutes s’étaient déjà écoulé, ses jambes étaient prises dans une spirale infernale. Le désir de continuer. Avancer, avancer, avancer toujours et encore vers son objectif. Comme si ces pas, faisaient tourné sa destinée, il s’acharnait encore et encore à progresser dans la foret. En cet instant, il avait la volonté et l’envie de courir jusqu’à l’épuisement. Il courut encore et encore, jusqu’à sa vue. Il était là, massif, implanté sagement dans le sol, le vieil arbre de Kiri. Il est dit bien des comptes à ce sujet. Que parait-il, il serait le premier arbre du village. Celui là,était le premier arbre a avoir poussé a Kiri.Le vieil arbre vert, de Kiri.Ah, si celui-ci pouvait parlé, il aurait certainement beaucoup de choses à raconter.Certains, le disent centenaire, d’autre le disent millénaire,Tous, ne connaissent pas l’existence de celui-ci.Caché, au fin fond de la forêt, il n’est découvert que par ceux qui y passe du temps.Cet arbre, peu ordinaire a de profondes racines qui parcourent le sol, à la recherche de compagnie végétale.Son écorce, est fort épaisse, résistante, et humide. Comme épuisé par le temps, l’arbre se contorsionne, de multiple façon, pour finalement trouver sa place dans la hauteur des bois. Cet arbre, qui aurait tant à raconter, demeure solitaire.Etrangement, un périmètre naturel autour de celui-ci c’est formé. Pas le moindre arbre, pas la moindre pousse n’ose s’approcher de ce maître des forêts. En ces lieux, cet arbre, roi de la forêt, incarnation de la nature reine en maître. Et comme tout trône qui se respecte, ses alentours sont ornées d’une mousse végétale douce, et incroyablement tenace.L’environnement y est assez agréable, pour ceux qui aime la nature. Calme, silencieux, assez humide et assez sombre, il est un lieu de repos comme d’entraînement. La douceur de la nature et l’amour de la forêt encadrent ces lieux. Il n’y a rien à voir, par apport aux autres coins de forêt, celui-ci est sacré, banni d’un arbre qui a traversé les âges pour témoigner de l’endurance de la nature. Il est ici pour rappeler aux plus hautins, qui dirige réellement ce monde. Cet arbre, centenaire, millénaire, il est le roi de la forêt et béni ceux qui le respecte. Aveuglé par ce majestueux roi de la foret, Mazaru s’arrêta de courir. Autrefois, déformé par la colère, les yeux d’azur du jeune garçon se détendirent, pour adopter une image plus douce, plus respectueuse. D’un pas souple et léger, le souffle profond, il s’avança à la rencontre de celui-ci. Il remarqua, ce calme absolu. Pas un oiseau, pas un mot, pas un cris d’animal, rien. Seul, un profond respect du silence dominait ces lieux… Reposant. Une fois arrivé à celui-ci, le jeune garçon ne pu s’empêcher de poser une main douce et calme sur cette écorce. Epaisse, douce, humide, tel un noble manteau, il admira les marques du temps. Le jeune, rencontrait le vieux. Du haut de ces centaines d’années, l’arbre se laissait admirer par ce jeune garçon.

« U.. Un jour je serais comme toi ! Je te le jure ! Je me battrais, je défendrais mon image coûte que coûte. Comme toi, je m’imposerais sur cette foret de talents, j’en fait le serment »

lui dit-il à vive voie. La vue de ce vieil arbre qui s’était réservé le privilège d’un espace, au cœur de cette vaste forêt avait déclanché toute la volonté du jeune garçon. Plus que jamais, il était déterminé à la réussite. Respectueux du silence du vieil arbre, il s’assit en tailleur sur l’une de ses épaisses racines, et menton baissé, yeux fermés, commença calmement à méditer.

*….je t’en fais le serment…*

C’est après bien quelques minutes de méditations, que le jeune garçon décida de s’entraîner en compagnie de cet arbre qui s’était forgé une dignité au sein de la forêt. Le regard déterminé, il se releva et s’étira calmement. La nuque, les genoux, les coudes, les poignes, les chevilles, bien.. Il s’était maintenant assez étiré pour son entraînement. Il allait pouvoir se montrer qu’il avait la volonté de devenir quelqu’un d’important. Qu’il serait capable de défendre ceux qui lui sont chers. Les mains derrières la tête, il commença à quelques flexion avec les jambes.

« Un, deux trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize… »

Avec détermination, il s’acharna à son exercice personnel. Ils vont voir, tous ! Même s’il ne sera jamais le meilleur dans la maîtrise du chakra, il sera tout de même un excellent Shinobi, honorable et digne de confiance. Après une trentaine de flexions, ses jambes commencèrent à le brûler. L’effort se faisait de plus en plus difficile. Au début, ce fut difficile, il serra des dents. Ces brûlures devinrent de plus en plus désagréable. Mais au fur et à mesure qu’il s’entêtait à continuer, il se rendit compte que cette douleur n’était pas si désagréable. Elle était la preuve, que l’exercice fonctionnait. Elle était la preuve que ses muscles travaillent. Réjouis par ce point de vue, le jeune garçon redoubla d’effort, continuant encore et encore. Arrivé à la cinquantaine, ses genoux commencèrent à lui être douloureux. Il sentait son articulation, souffrir de l’excès. Cela ne montrait rien de bon, il cessa l’exercice. Essoufflé, les muscles des jambes en feux, il devait trouver quelques chose d’autre à accomplir.

*Encore, encore, ne jamais s’arrêter, jusqu’à l’épuisement, ne jamais s’arrêter*

Pauvre petit bonhomme, écrasé par l’intelligence et les talents des doués. Certains, en le voyant ainsi riraient de son infortune. Le jeune garçon s’allongea à plat ventre, et commença à faire des pompes. Les jambes ont subie un exercice, aux bras de subir la colère de Mazaru.. Il débuta lentement, pour un exercice difficile. De un, de deux, de trois, de quatre, sans la moindre hésitation, sans la moindre pause, le jeune garçon s’entraîner sans relâche. A présent, voici que la musculature de ses bras et de son torse, lui devint brûlante. Avant qu’il ai pu accepter cette nouvelle douleur, il souffre de ses muscles qui s’étirait et se contractait. Les dents serrées, le regard toujours remplie de détermination. Les épaules, lui étaient particulièrement douloureuses. Mais il ne lâcha rien. Comment cette douleur pouvait ébranler sa volonté. S’il souhaite suivre la voie des Shinobis, il devra alors subir des douleurs, bien plus difficiles à contenir que celle-ci. Ignorant la douleur, ignorant les souffrances, il arrivait déjà, lentement, au nombre de cinquante. Une larme coula alors de son œil droit. C’était trop dur, mais il ne voulait pas arrêter. Ses articulations le rappelèrent à l’ordre, Ils lui devinrent affreusement douloureux. Ses coudes, ses épaules, ils ne supportaient pas ces efforts si soudains, et si difficiles. Le jeune garçon, s’écroula. Ses muscles tremblaient, atrophié par les efforts. Une autre larme de douleur lui traversa alors la joue. Mais dans toute ses souffrances, il souriait. Lourdement, il se redressa. Les dents serrées, il prit presque penne à s’asseoir. Lorsqu’il se retrouva assis, il observa ses bras, endolori.

Il songea à entreprendre un exercice pour s’entraîner l’abdomen, et les muscles du dos. Mais les muscles des bras, lui demandaient un moment de répit. Même habitué à des tâches difficiles, Mazaru souffrait de cet entraînement un peu disproportionné, sans aucune méthode. Convaincue de devoir souffrir pour arriver à quelque chose, même si c’était une erreur, il était heureux de pouvoir sentir ses membres se développer.. Doucement. Allons, reprenons une médiation, rien de mieux pour l’esprit. Lentement, il se releva, et se rendit à la l’épaisse racine, sur la quel il avait commencé sa méditation. S’y assaillant en tailleur, il reprit cet entraînement mental..

Progressivement, son cœur se calma, les douleurs s’estompèrent. Et de nouveau, ce sont des yeux déterminés qui réapparurent. Sans perdre de temps, le jeune garçon s’allongea, les mains derrière la tête et s’exerça l’abdomen. Ses entraînements, manquaient cruellement de structures, c’était en fait une façon de se défouler. Certes, il se musclait, mais aux lieux d’entraîner les partit de son corps fautif, il entraîna ses points forts. A la fois une bonne et une mauvaise choses.. Sans répits, sans hésitation, il enchaîna effort sur effort. S’entraînant le dos, le buste, l’abdomen, les épaules, les bras, les jambes, les mollets, il essaya de penser à tout avec de multiples petits entraînements. Pour s’entraîner dos et jambes, il porta de lourde pierre et se mit à courir. Pour entraîner épaules, buste et torse, les pompes restèrent ses meilleurs éléments. C'est ainsi, que le jeune garçon déversa sa colère, sur ceux qui le disent sous doué, et dépourvu d’avenir. Enfin, c’est bien après trois quarts d’heure d’entraînement improvisé, qu’il s’allongea épuisé. Ses muscles lui étaient douloureux, ça lui faisait plaisir. Sentir son corps évoluer, était la preuve qu’il pouvait lui aussi évoluer. Rien n’est impossible !

Le souffle court, il décida de rentrer. Se relevant péniblement, il allait mettre un therme à cet entraînement. Le pas léger, les membres pourtant lourds, il commença à courir en direction de son quartier. Il jeta un dernier coup d’œil respectueux en direction du seigneur des bois, pour enfin, s’enfoncer dans la forêt dense. Lorsqu’il entra dans l’obscurité des bois, ses cheveux prirent une teinture sombre. Ceux qui autrefois étaient presque noirs, devinrent rapidement rouges sombre, presque gris. Alors autour de lui, tout devint flou. Les couleurs s’estompèrent, d’autres apparurent.

*Mer°°, me voila qui hallucine ! Je manque d’oxygène*

Sans pourtant s’arrêter, le jeune garçon respira profondément. Comme s’il méditait, il s’imaginait l’air entrer en lui, et gonfler ses poumons. Calmement, il alimenta son corps de l’air pur qui l’entourait, et tout redevint normal… Il s’enfonça encore et encore dans la forêt, traversant bosquet, rivières et autres obstacles rapidement, en direction de son quartier.

Chapitre 3:Le retour à l'entrainement

C’est la sueur au front, les dents serrés, et les bras mous, que Mazaru arriva enfin sous l’arbre majestueux. Ayant adopté un pas de course bien plus rapide qu’autrefois, il souffrait de l’effort qu’il venait de faire. Le souffle court, il s’arrêta définitivement lorsqu’il posa une main victorieuse sur l’épaisse écorce de l’arbre. S’appuyant sur le seigneur de la forêt, il se courba en deux pour combattre ses points de côtés. Mazaru essaya alors de respirer profondément pour évacuer la douleur, et reprendre de sa dernière course. Mais il n’avait aucun temps à perdre. Il s’allongea face contre terre, et se fit souffrir une nouvelle fois. Poussant puisements sur les bras, au par avant mou et dépourvu d’énergie, il ferma les yeux et serra des dents.

*Je leur montrerais*

Sans se soucier du nombre, sans se soucier de la vitesse, il exécuta rapidement et souplement quelques dizaines de pompes. Au fur et à mesure, l’adrénaline montait, au fur et à mesure, les douleurs d’entraînement augmentaient, au fur et à mesure la volonté du jeune garçon lui permit de continuer. Alors qu’il n’avait que 14ans, il arrivait déjà à dépasser les soixante pompes sans s’arrêter, avec une rapidité souple et indéterminée. Lorsqu’il ouvrit les yeux, ce fut un regard rempli d’énergie et de volonté. Même si ses membres lui étaient douloureux, même si son souffle devenait trop court, il continuerait encore et encore jusqu’à être certain d’arriver à la centaine. Quitte à les dépasser, il veut au minimum réussir à faire cents pompes sans s’arrêter. Les forces lui manquèrent, peu à peu, il ralentissait la cadence. Puis, au bout d’un moment, il fut dans l’obligation de lui arrêter. Son exercice fut alors un échec.

Qu’à cela ne tienne, il se releva rapidement. Son regard se posa sur deux grosses pierres de rondes qui lui semblèrent assez lourdent. En trottinant, il se rendit près d’elles. Alors, il eut une idée. Il attrapa les deux petits rochers, et s’en calla un, sous chaque bras. Alors son poids devenait bien au dessus que la normale. Lentement, il commença à fléchir sur les jambes. Il sentit rapidement les brûlures musculaires le déchirer. Ses jambes, supportait mal la différence de poids. Mazaru venait de se rajouter près de 30kg de poids en plus. Et pourtant, sa volonté, encore présente, lui dicta qu’il devait faire de son mieux. La douleur, la douleur, encore ces brûlures atroces qui lui harcelait les jambes. C’était bien, ses muscles se développaient. Quand il enlèvera les pierres, il se sentira alors léger comme une plume, et sa vitesse sera décuplé. Le jeune garçon ferma alors les yeux, et se concentra plutôt sur ce qu’il faisait que sur ce qu’il ressentait, c'est-à-dire qu’il s’appliquait à ignorer la douleur.

*’Autrement, tu devras mourir comme tout ceux, dont la volonté était trop faible’... Jamais*

Les paroles et les yeux lumineux de ce sombre et mystérieux personne refit surface. Lui donnant courage et détermination, il continua donc l’entraînement. Bientôt, il allait arriver à la cinquantaine. Il se mit à respirer profondément. Son souffle lui manquait, il n’était pas entièrement remis de l’entraînement précédent.

*Entraînement.. Endurer.. Durer, je dois être prêt à subir sur une longue période.*

Même si ses genoux étaient douloureux, même si ses muscles étaient en feux, il s’obstina à continuer. Il voulait encore une fois atteindre la centaine ! Mais si fort soit-il, la douleur avait encore une fois raison de lui. Une larme, perla sur sa joue, il dû s’arrêter. Lorsqu’il lâcha les deux pierres, et que celles-ci se mirent à rouler au sol, Mazaru se sentit léger. La douleur était encore présente, dans les bras et les jambes mais il s’étonna à se sentir s’élever.

*Encore, Encore, Encore*

Au pas de course, il se rendit vers un petit arbre, non loin de lui. Un pas plus léger que d’habitude lui permit d’éviter tout obstacle. Contre cet arbre, apparemment mort, il exerça ses points, et son endurance à la souffrance. Le dos droit, les jambes fléchis, les bras souples, il frappait sur l’épaisseur d’écorce que possédait encore le végétal. Il frappait aussi puisement qu’on lui avait apprit à l’académie, les années passés. Dans les cours de Taijutsu, Mazaru avait été celui qui s’intéressait et qui s’investissait le plus dans ce qu’il faisait. Pour cause, c’est l’une des seules disciplines où il arrivait à faire ce qu’on lui demandait. Sans se soucier de la douleur qui s’emparait de ses mains, il frappait violement le reste d’arbre qui se présentait à lui. L’écorce commençait également à lui endommager la peau. Quelques gouttelettes de sang commençaient à s’écouler jusqu’à son poignet. Reculant légèrement la jambe arrière, il donna à la souche quelques violents coups de pieds. Une autre larme perla alors sur son visage. Mais il s’en moquait. Il voulait arriver à être enfin reconnu. Ses mains, ses jambes, ses bras et ses tibias les faisaient souffrir. Il changea de jambe, pour entraîner l’autre. Evidemment, il eut un peu plus de difficulté à s’appuyer sur cette jambe, maintenant douloureux.

*L’entraînement ne fait que commencer, je ne faillirais pas !*

Une fois, les deux mains et les deux tibias en sang, Mazaru commença à élaborer quelques enchaînements de coups. Coup de point haut, coup de point bas, coup de pied latéral. Coup de pied latéral, coup de point enfonçant. Coup de point haut, coup de pied latéral, coup de point bas. Avec les outils que lui avaient donné ses anciens professeurs, il pouvait déjà commencer à construire quelque chose. L’adrénaline fut de nouveau au rendez vous. Se servant de tous les arbres qui l’entouraient,Mazaru frappait, frappait, frappait jusqu’à qu’il ne sente plus la douleur.

*Le mal par le mal*

Un coup de pied latéral devant, un coup de coude derrière, un coup de point à droite, un coup de genoux sur le même. Comme si le jeune garçon était encerclé d’humanoïdes, il se battait farouchement comme pour défendre sa vie. Alors que la rage et la hargne s’empara de lui, il glissa sur une épaisse racine, trébucha et tomba lourdement en arrière la tête sur un rocher. Se redressant violement, il se porta les mains à la tête. Il saignait..

"GWAAaaah!!" Il hurla sous l'effet de la douleur qui lui arcelait la tête. Ce fut atroce, comme si une lame l'avait pourfendu. Mais au diable les blessures. Coût que coût il voulait arriver à sa fin. Même si la tête lui tournait, même si la vue lui manquait, c’est les larmes aux yeux qu’il continua tout de même l’entraînement, à moitié sonné. Il sentait ce liquide chaud qui s’écoulait de sa tête et vint lui chauffer la nuque. Espérons seulement que le jeune garçon ne perde pas trop de sang durant son entraînement..

Chapitre 4: Mazaru et la nouvelle chance.

L'eau est source de vie. Elle est chaude, réconfortante, hydrate le corps et l'esprit dans un même soucis de bien être. Elle se faufile dans tous les interstices où il y a de la place pour sa petite personne. Elle n'a pas d'égal, car elle est la plus puissante. Ni ennemi, ni amis, l'onde est seule face à une destinée impérissable. Les forêts, les praires, rien ne serait sans cette entité de notre monde mystique, pas même le ciel, les nuages, ceux qui font là où l'eau n'existe pas, les nuages qui cacheront le soleil de nos peaux abîmées ; et là où elle existe, le pouvoir d'une source supérieure.De la petite source, l'eau infime qui s'égoutte chaque minute, pour donner ses petites flaques dans lesquelles les enfants aiment à jouer. Un petit filin d'eau, comme un tissu qui se propage, un long serpent qu s'étale dans les crevasses de nos pensées. Et ce filin s'agrandit, il grossit, prend de l'assurance. Il devient ruisseau, et déjà, s'il est encore manipulable, il est puissant et inarrétable. Personne ne pourra se soulever contre lui, c'est une première victoire. Les pluies, puis tous les autres réseaux se mêlent à lui pour former la grande famille des rivières, des fleuves, des mers des océans ! Le cycle de l'eau est la force qui ne pourra pas être déstabiliser par n'importe quelle querelle humaine. Rien ne donnera la peur à une telle nature, elle est opulente, elle est vénérée, ou détestée, on la cultive, on l'utilise. Mais en ce lieu plein de tristesse et de chaleur pourtant, l'eau qui coule abondamment de cette cascade est pure. Aucune particule ne l'a touché pour la polluer de ses cellules virusées.Les sources bien plus haut dans la montagne sorte d'un magma en pleine ascension. Réchauffé par la composition géologie de nos plaques, elle descend, prend vitesse et assurance, et tout en bas, à son paroxysme, elle se jette durant plusieurs secondes sur quelques dizaines de mètres, provoquant un nuage de brume, de vapeur qui entoure finement une stèle. Celle qui amène l'ambiance si triste sans pourtant y amener aucuns regrets.Il n'y avait rien autour de cette stèle placée au milieu du petit lac qui était le réceptacle de l'onde bouillante. A ses côtés, juste, une petite baraque de feuilles et de branches, une activité similaire à l'hôte des bois. Qui connait celui qui vit ainsi et ici ? Personne, la question n'est pas là. Ce qui est intéressant, c'est le nom sur la stèle, celle des douleurs et des pleurs, celui d'un homme qui releva fièrement Kiri dans ses tragédies comiques, dans un combat âpre et impossible, dans des missions plus ambitieuses que réalistes, il n'avait jamais eu l'impression de faire un tel travail, il est aujourd'hui trop tard pour lui de prendre le recul et de se considérer comme un véritable sauveur, si sauveur il y a eu.

"Mazaru Satô"

Ce nom sonne dans peu d'oreilles, car beaucoup ont du l'oublier. Qui se souvient encore de sa bonté et de sa franchise, le célèbre Genin qui durant des dizaines d'années avait vécu seul pour devenir le plus puissant entre tous. La vie n'avait pas été simple pour le shinobi, mais il avait tout donné. Aujourd'hui, dans son lit de pierre, il espère et prie, à tous ceux qui auraient besoin d'un bon bain d'amitié et de confiance, ce qu'il ne pourra plus jamais apporté.Il se reposera ici avant sa mission ultime.le soleil n'avait pas encore atteint son zénith..Mazaru songeait a sa nouvelle mission,la plus dure de tous..

Spoiler:

Les buissons bougèrent légèrement. Le soleil tombait légèrement dans la forêt amusante de Kiri. Amusante ? Oui, car ce jour la plus belle preuve d'une forêt vivante était présente. Entre les sapins, derrières les hautes racines, la vie se cachait de son gourou affamé.Mazaru n'avait jamais eu la nette impression qu'il laissait le monde en paix.Au début,Mazaru était totalement perdu, bien qu’il était bien dans son village,il ne connaissait pas bien son village. Ce n’est que la présence de la falaise près de laquelle il s’entraînait régulièrement qui l’aida. Ainsi il observa les environs, guettant toutes traces de présence humaine, mais comme prévu il n’y avait à première vue personne. Il continua de marcher, de plus en plus lentement, de plus en plus hésitant. Le soleil lui tapait dans les yeux,il commençait à avoir soif et les lieux lui paraissait presque tous identiques.Le jeune Genin s'assit sur un rocher en buvant une gorgée d'eau bien fraiche.Peu de temps apres,il se releva et continua sa route vers les inconnus...Mazaru rangea tout son matériel et serra son bandeau de Kiri et après avoir jeté un regard soucieux sur la foret qui lui faisait face,il monta d'un bond sur la cime d'un arbre.Le jeune ninja s'enfonça lentement dans la foret, de branche en branche, aussi furtif que possible.Sa course fut arrêté par un homme, assis plus bas sous l'arbre ou Mazaru guettait, somnolant, son katana sur le ventre.Mazaru prit un meilleur angle et se posta sur un arbre face à l'intriguant personnage. Un court instant se passa.Cela ne faisait plus de doute, c'était un pas un ninja mais apparement un brigant.Mazaru était omnubilé par une forme gravé sur l'épaule du type.Le jeune ninja de Kiri prit son bloc note et marqua des indices...il observait autour de lui et semblait se concentré sur son seul et unique but:sa mission.

Spoiler:

*Ils prennent une sacré distance de surveillance quand même...je ne dois plus être très loin *

Le ninja poursuivi sa progression et les indices se succédaient. Déjà plusieurs traces de feu de camp lui avait permis de dire qu'il était en permanence en mouvement et que de ce fait il ne pouvait plus compté sur les informations du village qui etait insufisante.Mazaru poussa ses recherches jusqu'à un arbre anormal.Cet Arbre n'est pas comme les autres. Ses branches sont larges, creuses, basses et confortables. Ce sont des hamacs. Ses feuilles poussent toujours sous ces lits aériens, cet arbres sont faites pour que l'on y grimpe, que l'on y dorme et que l'on creuse un passage secret. Cet arbre offre une ombre énorme, non pas qu'il soit immense, il est simplement très très large. Le tronc doit faire approximativement deux mètres cinquante. Et chaque branche pourrait laisser dormir un couple. Cet arbre n'a pas de cime, de toute façon, à part d'au-dessus, on ne voit pas son sommet, c'est trop sombre.Une cascade magnifique coulait dans les environs,Mazaru prit la carte a l'intérieur de son sac et jeta un coup d'oeil...Pas la moindre source d'eau potable à des kilomètres sauf...cette cascade.Sans nul doute, un point essentiel de sa survie dans cette foret plutôt chaude. D'après le placement du soleil l'après midi avait déjà bien commencé et le ventre de Mazaru gargouillait a en réveiller les morts.

Chapitre 5:Le debut de la mission.

Mazaru avait tres faim,il avait donc chassé un cerf et le degusta tranquillement en songeant toujours sur ses principaux adversaires..La chaleur du soleil etait toujours suffoquante.En effet la foret etait l'enfer sur terre...Dieu sait comment Mazaru soufrait dans ce labyrinte infini..

*Je crois que la meilleure façon,est d'attaquer le soir pour avoir avec sois l'effet de surprise*

La nuit venait à penne de tomber, tout le monde dormait. La lune, presque plaine, s’élevait dans les cieux. Les grillons, heureux et seuls, semblaient se donner à cœur joie. Tout dans les environs, résonnait calme et sérénité, la terre se reposait. Seul le doux son de l’écume émanait de la noirçeur des eaux profondes, où se jette l’eau douce à l’exploration de nouvelles idées de grandeurs.Mazaru était debout, ne trouvant pas la voie du sommeil. Le futur juunin, dehors, avait le sang de sa famille qui était en train de bouillir. Ses yeux étaient devenu lumineux, ses poils plus épais. Ses sens s’étaient comme soudainement éveiller, il sentait tous, entendait tout. Ses canins, comme celle d’une bête, s’étaient affinés, il était comme un prédateur dans les plaines. De petites taches de couleurs rouges trahissaient la présence d’être vivant. Ils les voyaient, même si ses yeux n’excellaient pas. D’une démarche rapide, comme hâtive, il parvint a l'arbre en question en quelques minutes. De là, il se retourna pour contempler leurs petits campements. Esquissent un sourire, il se rappela pourquoi il état là. La mission, il était tant existé. L’idée de dormir lui était impossible. Il s’épuisera donc, un maximum pour trouver le sommeil. La lune était haut de le ciel, il estimait son couché dans sept heures environs. De quoi finir la mission. Il fallait tout d’abord s’échauffer, s’épuiser pour bien travailler et ainsi reussir le but.C’est dans la douleur, qu’on est le meilleur. Il se laissa aller en avant, tombant sur les mains. Levant les pieds haut dans le ciel, pointant la lune, le voici au vertical, à l’envers. Poussant sur les doigts, il se retrouva stabilisé à leurs extrémités. Uniquement à la force des doigts et a la puissance des bras, il allait commencer l’échauffement physique. Descendant, descendant, il grinça des dents. Rien n’allait être simple, il fallait travailler. Ses doigts, sous le poids, commençant à s’enfoncer dans la terre. Pourtant, lorsqu’il poussait sur les bras pour se rejeter en l’air, il fit un petit effort pour commencer à avancer sur les mains. Torse, abdominaux, tout travaillait. Les muscles, tirés de leurs lits se mirent rapidement au travail, l’exercice pouvait commencer.Poussant sur les bras, l’effort commençait à se sentir au bout de dix minutes. Le temps semblait lui passer incroyablement vite, s’occupant à l’entraînement musculaire, voici quelques gouttelettes de sueurs qui apparaissait sur son front. Respirant profondément, il sentait son énergie vitale lui parcourir les veines lui alimenter le corps d’une sensation bénéfique. Dans sa tête, le décompte était lancé, il s’était fixé un objectif d’entraînement musculaire. Et il remplira le contrat, il le devait pour son propre salut. Ses doigts lui étaient douloureux, il concentra tout son chakra ici. Le temps passa, passa et Mazaru accélérait. Trouvant un bon rythme, il progressa rapidement. Comme d’une facilité incroyable, il arriva bientôt presque à la moitié de ses objetifs.

*Le petit echauffement est fini,maintenant place a la mission*

Mazaru Satô,le célèbre Genin,continua son chemin scilencieux et penseur..Au bout de quelques minutes de marche,il prit la parole a voix basse:

"Je crois que je devrais accelerer mes pas..J'en suis quasiment sûr que leur repère se trouve apres quelques heures de marches"

Puis le jeune Satô commençait à courir sachant qu'il ait reperé un repère anormal et soudain le ciel commençai à se faire grondé,un orage se préparait..Apres plusieurs heures de course dans la forêt humide de Kiri où la pluie tombait en litres...C'etait magnifique.Déterminé, à briller devant tout son village, et à prouver au moins que sa volonté était de fer. Toujours élancer, un instinct provenant de sa volonté de réussite le poussa à la continuité.Le temps passa autant que l’eau coula. Douce et paisible fut la nuit, plaine et bienveillante fut la lune.Dans la nature tout est beau, alors que le soleil songeait à se lever,L’humidité de la nuit était tombé, seul quelques fines gouttelettes persistaient sur les pierres. C’était magnifique, et surtout si reposant. Le ciel prévoyait des nuages, qu’on remarquera quand le jour sera levé. Il risquait de ne pas faire beau aujourd’hui. Dommage,Mazaru avait prévu d'en finir vite, aujourd’hui. A croire que même le ciel lui pose problème.Mazaru chercha longtemps apres l'arbre le plus haut de la forêt... A chaque fois qu'il en trouvait un assez grand, il grimpait au sommet, mais en voyait toujours un plus grand... Il parcourut la forêt entiere... L'arbre le plus grand n'était toujours pas visible, et Mazaru commençait a s'impatienter... Il n'allait pas rester longtemps dans cette forêt, a rechercher cette duchesse... Il concentra du chakra dans ses pieds... Une montée de chaleur commençait a se faire ressentir dans les alentours... D'un coup, il relacha toute la pression, et fit un bond gigentesque... Il vit au loin, un arbre isolé... Celui-ci parraissait le plus grand... De plus, il y avait comme un petit monticule à son sommet... Une chose qui ne devait pas être là... Il savait que c'était un humain... Il eut le temps d'aperçevoir le chemin a prendre, et réattérit... C'est alors qu'il fit quelque chose d'inouï... Il reconcentra du chakra dans ses pieds... Et c'est alors qu'il commenca a s'élever dans l'air, doucement, pour un court instant, puis il recommenca... Il mit plus d'énergie... Et d'un coup, il fit un bond énorme jusqu'au bout de la forêt... Son chakra formait des ailes de papillon... L'arbre le plus grand se trouvait au bord de la falaise... Quand il se trouva a proximité de l'arbre, il réattérit et entendit des pleurs... Il sentit une larme sur sa main... Cette pauvre duchesse...Une grotte etait creusé sous le geant arbre...L'estomac de Mazaru commença une autre fois a gargouiller alors il prit son paquet de chips et le degusta rapidement.Après un repas bien mérité,le jeune Satô se replonga dans ses notes, elles occupaient maintenant trois bonnes pages recto verso. Seul lui pouvait se repérer dans cette immondice peuplé de ratures et de signes en tout genre. Des bruits de pas l'interpellèrent.Une jeune femme en souillons fit son apparition. Elle portait, avec la plus grande peine du monde, une panière remplis de linge.Aucun signe, aucune marque, rien, impossible de savoir si elle en fait parti...Toujours dans son observation,Mazaru remarqua la négligence de la femme sur l'hygiène, elle avait les mains noirci par la terre, des éraflures sur la plus grande surface de son visage.

* Une communauté qui profite de la faiblesse des plus démunis...C'est un acte de laches... *

Dans un élan de bonté,Mazaru s'approcha de la jeune femme. Alors qu'il sortait de l'ombre de l'arbre qui le couvrait, il se reprit.Mesure prise bien trop tard puisque que la jeune femme avait les yeux braqués sur le jeune Satô, prit au dépourvu,qui murmura aussitôt avec un ton calme comme le vent:

Mazaru:"J'irai droit au but...faite-vous partie de ces brigants qui resident dans la foret?"

La femme leva ses yeux,elle avait peur et elle était térrifié,elle voulait aussi repondre qu'elle n'eut meme pas le temps de parler.En effet,Un homme,vétû d'une cape noire où un triangle etait dessiné dans la partie de l'epaule,sortit de nul part et s'exclama en lançant des morceaux d'étoffes rouge à cette dernière.

L'intru:"Tiens, tu lavera ça aussi."

Ce n'est qu'après un bon bout de temps qu'il se rendit compte de la présence de Mazaru.Il prit son katana et se metta en garde en murmurant d'une façon de tyran un ou deux mots a Mazaru:

L'intru:"Tu es qui morveux ?"

Le seul regard sur la plaque argenté frappé d'un arc en ciel qui pendait au cou de Mazaru a l'intérieur de son grand manteau et aussi le bandeau de Kiri sur son front répondirent à la question.Sans réel dialogue,les deux adversaires se comprirent.

L'intru:"Je préfère t'avertir...j'en ai combattu des ninjas comme toi, tu ferai mieux de te casser, et vite !"

Trop tard pour reculer ni pour s'enfuir,un combat allait eclaté entre le Genin Mazaru et le jeune intru Juunin...Mazaru sortit ses deux kunais.Il plaça ses doigts et effectua les signes du tigre.

Mazaru:" Mizu Bunshin no jutsu ! "

Deux clones parfaits de Mazaru apparurent a ses côtés,ils ressemblaient au vrai,on ne pouvait les distinguer du vrai Mazaru sauf en ayant un dojutsu comme le Byakugan. Ces clones du futur Juunin se ruèrent sur l'homme qui en frappa un violemment au visage et il attrapa d'une autre main en même temps l'autre clone au cou.

L'ennemi:"Pff quel nul,tu es..Genin de Kiri"

D'un elan majestieux,il tappa ses mains,l'une contre l'autre en murmurant d'un tont simple et sec et un visage vide sans aucune emotion:

Mazaru:"Katsuuuuu"

Les clones explosèrent devant les yeux ebahis du ninja ennemi qui, apparement un chuunin deserteur,et après l'impact,explosa a son tour en mille morceaux...Apres quelques secondes,Mazaru prit la femme et disparut sous terre...

Chapitre 6:La mission pour devenir un Juunin.

Le soleil avait disparu depuis longtemps laissant place a une lune pour qu'elle se dessine dans les cieux noirs comme le jais..Un vent survolait l'environnement,il était si froid qu'il pouvait geler un ninja de bas rang...Mazaru etait seul avec la jeune femme qui apparement,avait très froid,il enleva sa cape pour la mettre sur le dos de celle-ci qui etait toujours très malheureuse,Mazaru lui,était maintenant vétu d'un kimono blanc,toujours avec son bandeau rouge de Kiri...Le jeune Satô approcha d'elle et une convertation entre les deux individus eclata subittement:

Mazaru:"S'il vous plait,il me faut plus d'informations pour vous aidez..Alors aidez moi a votre tour,parlez moi plus de ceux qui t'ont emprisonné"
La femme:"Votre ennemi est composé de cinq ninjas dont un que vous avez tué tout a l'heure et Un chef qui est très puissant par rapport a ses sbires..."
Mazaru:"Oui je sais mais où est la duchesse s'il vous plait?"
La femme:"En chemin vous la trouverez encerclé par de simples brigands dans une tente..Mais a l'exterieur de la tente il y a des ninjas très puissants,tachez de rester en vie.."
Mazaru:"Oui je vois,merci pour les informations précieuses..Je reviendrai vous cherchez plus tard"

Mazaru continua sa route en direction de cette fameuse tente, après quelques minutes de marche il apperçut quelques personnes armés d'un sabre,alias un Katana.Mazaru se cacha derrière des rochers présents non-loin en attendant le bon moment pour attaquer.Les gardes parlèrent de la duchesse qu'ils avait capturé,Mazaru avait écouté toute leur convertation vu qu'il était comme un animal ayant une ouie,un odorat et une vue sur-developpé,il se mit donc à découvert et sortit son Kunai...Les deux ninjas qui,apparement chuunins,le remarquèrent...

Les chuunins:"Qui est tu ?! Et que viens tu faire ici ninja solitaire ?! J'espère que tu n'est pas là pour te battre sinon tu risque d'y laissé ta vie!"

Mazaru laissa échapper un sourire sadique,signifiant peut ête qu'il avait confiance en lui,mais il ne devait pas commetre le crime de sousestimer ses adversaires,il regarda ensuite les deux ninjas prensents devant lui tout en leur murmurant calmement:

Mazaru:"Bien sûr que si, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, je suis là pour sauver la duchesse que vous avez kidnappé. Si je dois vous passer sur le corps, ce serra un jeu d'enfant... Laissez moi passer si vous ne voulez pas y laisser votre peau, ninjas de bas niveau..."
Les Chuunins:"Tu crois nous faire peur et nous tuer ?! Tu vas voir de quoi nous somme capables Shinobi no Kiri !!!"

Les ninjas foncèrent vers Mazaru prêt à attaquer et à frapper le jeune Satô.Ce dernier les esquiva habilement et les réduit à néant à chaque coup de kunai,sa vitesse dûe a ses multiples entrainnements était redoutable et terifiante.Il rangea son arme après avoir tabasser chacuns des ninjas qui tombèrent aussitôt et continua sa route, les ninjas tombèrent un par un ensanglatés pendant que Mazaru les regardait avec un sourire en coin. Il vu une autre patrouille un peu plus loin et décida d'envoyer un clône cette fois-ci, le clône explosa et tua 5 ninjas...Mazaru sauta sur les deux derniers pour les achever.

*Je pensais qu'ils allaient être beaucoup plus fort,même sans utliser de chakra... Soit c'est une feinte, soit ils sont vraiment très faibles.Je ferais mieu d'aller sauver la duchesse.Je suis absolument sûr qu'il y a encore plusieurs ennemis qui m'attendent...*

La pluie tombait toujours d'une façon étrange comme si elle était artificielle,en effet,elle était artifficiel crée par le ciel enragé lui-même,un beau environnement qui permettait un bon camoufflage..La forêt etait si sombre le soir qu'on pouvait dire qu'on était dans un noir absolu,ou plûtot une grotte que les rayons du soleil n'ont jamais visité,et après quelques minutes de marche, un seul ninja était present devant Mazaru,qui etait-il? on connaitrait surrement la reponse à cette question par la suite.

L"intru:"Puis-je connaitre la raison pour que tu sois sur mon chemin?!"
Mazaru"Je suis ici afin de voir votre chef... Et ainsi délivrer la duchesse que vous avez kidnappé!!!"
L'intru:"Toi ?! Délivrer la duchesse ?! Hahahaha... Déjà si tu veux atteindre notre chef il y a différentes étapes a passer..."
Mazaru:"Comment ça ?! Explique moi !"
L'intru:"Tu dois battre plusieurs ninjas de différents grades... Il y en a en tout trois shinobis,tous de grade Chuunin... Ensuite tu accèdera à notre chef... Le premier ninja est un peu plus loin, moi je ne me bat pas..."

Le jeune Satô continua donc son chemin vers l'avant,toujours vers l'avant car telle est sa destinée qu'il devait accomplir coûte que coûte,il vit par la suite une personne assise sur un rocher,Mazaru s'arreta et l'interpella:

"Je suppose que c'est toi le Chuunin que je devrais combattre pour accéder à votre chef!!"

Le ninja qui était devant le futur Juunin se releva en souriant sadiquement et regardant Mazaru avec une regard si noir et froid que même les mizukages se mefieront,même si ce n'etait pas le cas,donc c'est une hyperbole^^,peu importe la leçon de vocabulaire,l'ennemi avait parlé,il disait:

L'ennemi:"Exactement, je suis le Chuunin que tu devra affronter avant de passer.Tu n'est pas là pour la duchesse tout de même ?..."
Mazaru:"Et bien si, je dois vous anéantir pour la délivrer,c'est un ordre du Mizukage lui-même... Si tu ne te sens pas capable de te battre laisse moi donc passer alors !!!"
L'ennemi:"Hmmhmmhmm... Laisse moi rire, viens te battre shinobi de Kiri si tu en a le courage !!!"
Mazaru:"Hmph...Ta tombe sera creusé ici et maintenant !!!..."

Le Chuunin sortit deux kunais et agrandi les lames grace à son chakra qu'il dégageait dans celle-ci.Mazaru souriai en sortant son Kunai. Le Chuunin fonça vers Mazaru et disparu à quelques centimètres du futur Juunin.Ce dernier ferma les yeux et attendait comme un tigre guettant sa prochaine proie,il attendait pour repérer l'adversaire. Il enttendit un bruit venant de derrière lui,en ce moment, le Chuunin était en train de l'attaquer rapidement,Mazaru le frappa d'un coup de pied mais le Chuunin se substitua directement ayant executé les taos bien avant.Le futur Juunin ferma les yeux une seconde fois et entendit des bruits de quatres cotés différents. Quatres clones sortirent subitement des rochers qui encerclaient le terrain où le combat avait lieu..Mazaru les frappa un par un à coup de Kunai qui avait la faculté de trancher sa victime, ils disparaissèrent dans une fumée blanche,en effet le vrai n'etait pas là..Mazaru ferma une nouvelle fois les yeux en pensant que ce Chuunin était un lâche,attaquant de la sorte,mais il avait tord,car un ninja doit toujours se camouffler avec l'environnement,c'est ce que la forêt de Kiri lui avait appri. Après plusieurs attaques des clones du Brigand,Mazaru en eu marre et attendit une nouvelle fois un bruit.L'ouie de Mazaru était sur-développée... Quand un bruit avait survenu,le jeune Satô se precipita vers la source et frappa sur le sol pour détruire les alentours, une fumée blanche se dissipa, c'était un clône.Le futur Juunin frappa en direction d'un autre mais une seconde fumée blanche apparut encore,ce Chuunin maitrisait reoutablement les clones et le camoufflage,ce qui fait de lui un très bon adversaire pour Mazaru.Ce dernier s'enragea et tenait fermement ses deux mains en tenant toujours son kunai...Après cette position de combat connu chez les specialistes du taijutsu, il frappa donc avec une telle force la terre avec son arme que tous les clones presents partirent en fumée laissant le vrai Chuunin à terre sans aucune defense.Mazaru souleva le Chuunin sur son épaule,tentant de le sauver mais ce dernier riait sadiquement comme un fou,cet acte,un autre l'aurait deja assassiné,Mazaru lui,prit son kunai et attaquait avec son ennemi,ce dernier tomba par terre,paralysé et incapable de bouger,pas même le petit doigt...Mazaru continua sa route en direction de l'autre Chuunin qui l'attndait.Après quelques minutes de marche, un second ninja était a son tour assis sur un rocher,un kimono noir ressemblant a celui de Mazaru et un sabre aussi grand que le sabre de Kurosaki Ichigo dans le manga de bleach.Mazaru s'arreta devant son ennemi apparement ayant des soupcons sur ce ninja.En effet c'etait un ninja que Mazaru connaissait,il l'avait vu quelque part mais il ne se rappellai plus,une convertation des retrouvailles prenait place dans cette environnement plutôt sombre et calme:

Mazaru:"C'est toi Rin??"
Rin:"Oui je me nomme Rin,ancien Shinobi des Satô et je suppose que tu es le petit Mazaru,je me rappelle bien de toi..."
Mazaru:"Oui c'est bel et bien moi,mais le petit est maintenant devenu un grand.."
Rin:"Bien,je n'ai pas le temps devant moi,sache que le temps est comme un sabre,si tu ne le decoupe pas,il le fera lui-même.. je vais t'expliquer comment se rendre jusqu'au chef sans passer par les autres sbires et il existe une règle chez nous disant que celui qui vaincra le chef deviendra le chf de notre groupe,donc,il suffit de battre le chef pour que tous ses sbires soit a ta solde.."
Mazaru:"Sache que ton offre ne m'interesse guerre,mon but est de sauver la duchesse.."
Rin:Mon ami,je sauverais la duchesse moi-meme compte sur mon aide...Mais occupe toi du reste"

Les deux ninjas disparurent sous terre pour ainsi dire se rendre directement vers le chef de l'organisation secrète des brigands...Arrivés devant celui-ci,Rin disparut aussitôt pour se rendre vers la tente où se trouvait la duchesse..Mazaru quant à lui,apparut devant le chef des chuunins..Le Juunin,il portait un manteau noir avec un chapeau de paille...Il souriait..Les sueurs au front, le sourire aux lèvres, le jeune garçon se tourna vers le Juunin. Il passa sa main derrière la tête, en tentait que la plaie était renfermée. La douleur qui autrefois harcelait son crâne avait disparue. Et il lui semblait, que les douleurs musculaires ; ainsi que les ouvertures de ses mains, et de ses tibias, s’étaient calmées. Le sourire qu’il envoya donc à son ennemi,était toujours ce regard déterminé, qu’il avait lorsqu’il s’entraînait.Ce regard, avec lequel il se sentait capable de soulever des montagnes ou plutôt la terre tout entière.Peut-être pourra t-il lui prouver, à lui, qu’il n’est pas si inutile qu’on ose le dire. Il l’espérait.Peut-être arrivera t-il enfin à briller devant quelqu’un qui reconnaîtra sa valeur. Même s’il savait que ce genre de sentiment pouvait pousser les hommes à bien des cruautés, il était presque prêt à tout. Il devait prendre foi en lui-même, pour que les autres puissent croirent en lui...Son cœur se mit à battre, son adrénaline montait. Il souffrait en quelque sorte, d'une peur,celle évidente de l’échec. Serrant des deux points, il prit une posture stable. Jambe droite devant, le genou déverrouillé, 70% du poids du corps sur la seconde jambe, fléchis, le pied dans le sens opposé à celui du droit. Une posture, que son père lui avait apprise, l’année précédente. Le dos droit, le regard fier, il lui lança quelques mots.

" Mazaru Satô, Enchanté mon ennemi " Fléchissant plus sévèrement sur les jambes, le jeune homme tendit le bras droit devant lui, et posa la main gauche normalement sur l’épaule droite. Alors, la posture, si difficile à garder soit-elle était complète.

" Slifer Kuro " Annonça t-il. En prenant une puissante impulsion grâce à la jambe gauche,Mazaru se lança sur Slifer. Le bras droit, devant lui, se plia,le poing gauche se serra. Encore en plein air, le jeune garçon n’en attendait pas moins du Juunin, d’une esquive. Il arma donc sa jambe en arrière, prête à enchaîner. Mais ce fut le point gauche, qui d’un mouvement latéral, se dirigeait vers le visage du chef des brigands. Ce coup, n’était que la feinte qui devait attirer l’attention de l'ennemi, le coup suivant arrivait…

Chapitre 7:La fin de la mission

Le soleil berçait doucement les pas du jeune Satô qui avançait doucement le long du chemin qui menait à son ennemi, le regard sûr, le coeur amplit de la volonté de bien faire et de montrer sa puissance, il regarda une silhouette devant lui, un homme qu'il allait vaincre, son futur adversaire, il avait entendu son nom résonner dans toutes les villes qu'il avait traversé, le brillant Slifer Kuro, ce n'était pas seulement la puissance d'une famille qui se lisait au travers des yeux du Satô, c'était celle d'un surhomme...Mazaru essaya de garder la tête froide et sa concentration intacte, malgré que le terrain n'est pas en sa faveur, il savait ce qu'il avait à faire, c'était sans doute le combat de sa vie, il allait gagner, montrer la puissance de sa famille, la puissance d'un Satô.

*Je vais montrer qui est le plus fort, je vais mettre le paquet.*

Jettant un regard vers son épée, il se demanda s'il devrait l'utiliser.. "Je ne perdrais pas... Slifer Kuro!" Il était maintenant sur le terrain, en face de celui ci, ils allaient finallement se combattre,Mazaru souriait malgré tout, enfin un homme qu'il allait avoir du mal à vaincre.

"Bonne chance,mais sache que je te vaincrerais pour la fiérete de mon village"

Le combat allait maintenant commencer...A vrai dire,Mazaru ne savait rien sur son adversaire. Peut être que lui non plus...Peut être qu'il ne savait pas qui était Mazaru. Il ne fallait pas user de trop de stratagème, mais au cas ou garder des ressources...Le jeune futur Juunin n'avait pas envie de perdre, devant ce beau monde. Et son adversaire non plus. Il devait prouver que Kiri était le meilleur village et qu'aucun autre village ne pouvait rivaliser avec.Il mit sa main dans sa poche arrière, et en sortit un bandeau frontal. Quel bandeau ? Il avait déjà celui de Kiri sur front... Il commença le mettre sur son le bras gauche, et on pouvait lire sur celui ci...Non on ne pouvait pas,le reflet du soleil empêchait quiconque de voir l'inscription dessus. Il savait éperdument juste en le voyant qu'il n'était pas le genre de personne a être vaincu d'un seul coup...Sa faisait longtemps que Mazaru n'avait pas combattu.Slifer sortit trois katanas noirs... Il sourit, légèrement, passa sa langue sur ses lèvres...Et partit en trombe vers Mazaru, le futur Juunin de Kiri...Les yeux bleu ciel, les cheveux blonds, et un air d'enfant...Mais...son regard était plein de haine, de soif de sang...Il avait vécu tellement de chose...Le combat était lancé, nul doute qu’aucun des deux hommes ne laisserait prendre de l’avance à son adversaire,Slifer avait certe des qualités dignes d’un surhomme, mais Mazaru avait lui aussi des choses à montrer,il voyait le chef de l'organisation debout face à lui, son regard remplit de force et de sagesse.Il n’était pas question de cadeau, et encore moins de défaite, il ne connaissait rien de la puissance de ce surhomme, mais rien que les chuchotements, les murmures et les regards que laissait le bandit après son passage, tout cela même étudiant, cela ne l’avait pas laissé insensible, il savait à qui il avait affaire.

*Tu es celui que tout le monde rêverait de combattre, et moi j’ai cette chance, et je veux même plus, je veux te battre, je vais te battre.*

Mais ces pensées rêveuses prirent rapidement fin,le Genin de Kiri avait eu un léger temps de réaction, il était sans doute encore perdu dans son monde imaginaire, et le Brigand se rua vers lui,Mazaru tenta quelque chose, en dernier recourt et juste avant le choc, il essaya de permuter.Puis, il se replongea dans ses pensées, il n’était peut être pas encore à la hauteur, il venait après tout juste d’atteindre le niveau d'un Juunin, l’expérience lui manquait sans doute cruellement…Il tourna son regard vers son kunai, un regard de doute et remplit d’hésitation…Il lui fallait faire quelque chose,Slifer semblait toujours aussi menaçant, il fallait inverser cette tendance à tout prix, mais ce serait sans son épée pour ce tour du moins.Songeant à son village,ses amis, son père,sa mere et sa famille, il allait leurs montrer qu’ils avaient bien raison de se sentir fier de leur village, car c’était le meilleur et de loin le plus puissant.Le chef des brigands fit enfin des signes des mains en murmurant: "Suiton,Raz de marrée" Un raz de marrée aussi geant et quasi-inesquivable apparut en se dirigeant ainsi a vive allure en direction de Mazaru qui souriait a son tour en tapant ses mains et en criant:"doton ,avalanhe de terre" Une avalanche aussi geante et puissante que le raz de marrée fit surface..Le choc était terrible ce qui expulsa les deux adversaires en derriere,le Juunin deserteur prit parole en souriant:

L'ennemi:"Voila j'utiliserai ma plus puissante technique contre toi car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'amuser"

Apres ces paroles,le chef des brigands fit des signes des mains rapides en restant toujours aussi calme que le vent..Il murumura aussitot deux petits mots:"Ninpo technique des sables mouvants" la terre commencait a flechir et a absorber tout l'environnement qui contenait les fleurs,les arbres et Mazaru.Celui-ci enchaina aussitôt les taos necessaires pour une technique..[i]Mazaru disparut en un éclair pour apparaitre devant Slifer pour ainsi le frapper severement a la nuque,il survolait maintenant dans le vide,Mazaru lui,était exactement sous ce dernier,exactement comme une ombre...Le bandages que le futur Juunin avait sur ses bras se materialisa pour enfin ligoter l'ennemi,Mazaru murmura calement le nom de la technique qu'il allait executé:

"Technique du marteau pilon"

Presentation de Mazaru... [Validé 9XP] Marteaupillon2jr

Presentation de Mazaru... [Validé 9XP] Marteaupillon2jr

Mazaru,qui tenait Slifer fermement grace a ses deux mains,se dirigea a une vitesse incroyable vers le sol,ça ressemblait a une fusée qui se dirigeait droit vers la terre sans freins,donc probablement elle explosera,voila ce qui est arrivé au Juunin deserteur...On vit que son cou etait cassé ou plûtot fracturé..Une technique redoutable connu par les specialiste de taijutsu...Peu de temps après,Mazaru apparut devant la tente où se trouvait Rin,les brigands prisonniers et la fameuse duchesse.Le jeune Satô reprit enfin sa route vers le village caché de la brume...Kiri.

Bienvenu à Kiri,

J'accepte ta présentation en tant que juunin de kiri, cependant il reste quelques points a amélioré dans tes futurs rp:

-La formulation des phrases.

-Eviter de se référé a d'autres manga même dans la narration et préféré a cela une description plus détailler.

Mazaru Satô a écrit:: un sabre aussi grand que le sabre de Kurosaki Ichigo dans le manga de bleach

-Fait également attention à la ponctuation.

-Pour finir il n'y a pas de Duchesse dans le monde de naruto^^' Il vos mieux dire l'épouse d'un seigneur ou l'épouse d'un Daimyo.

Tu commencera Juunin avec 9 Xp, tu peux commencer a faire ta fiche technique.