[Mission de rang D] animalerie

Sadoruro arriva enfin dans le desert marquant la frontiere est de Suna, la plus rapproché du village (que l'on pouvait toujours appercevoir depuis cet endroit). Il avait rendez vous avec l'homme possedent l'animalerie et ayant perdu ses chameaux. Et bien sur, cet homme etait incapable de retrouver seul ses chameaux, et a qui ont faisait appelle dans ces cas la ? Au ninjas, bien sur !

Sadoruro marchait donc dans le desert quand il apercut au detour d'une dune un petit campement devant lequel s'impatientait un petit homme traput avec une barbichette, habillé de beaux habits du desert brodé de rouge.
En le voyant, l'homme trepigna.

"Vous ete le ninja chargé de la mission" demanda t'il prcipitement.

Sadoruro acquiessa part un bref signe de tete.

"Alors, vous devez vous depecher ! J'ais exactement onze chameau qui ont disparut, il faut que vous les retrouviez avant la tombée de la nuit ! C'est urgent, je ne peut pas risquer de les perdre !"

"Houla, doucement, doucement monsieur, vous allez vous faire un infarctus. Ne vous inquietez pas, vous chameaux seront ici avant ce soir.
Onze vous avez dit ? Et bien ca fait deja un de moins" dit il en regardant une grande bete aux longues jambes et au dos surmonté de deux bosse qui marchait en haut d'une dune a coté.

Sadoruro partit alors, laissant l'homme un peut sur le c... heu... desarsonné, puis il courra en direction du chameau. Il contourna la dune, de façon a devoir l'escalader en arrivant dans le dos du chameau, ce qu'il reussit a faire, le chameau ne se doutant de rien. Le probleme, c'est que la, le chameau n'avait pas de corde autour du cou pour le ramenner en le tirant... et il allait s'enfuir...

Alors, avant que le chameau n'est pas mettre sa fuite a execution, Sadoruro passa son coup sous son aisselle, et l'immobilisa au sol, les quetres fer en l'air. Profitant de sa main mise, il souleva alors le chameau, et le porta a bout de bras en direction du petit homme. Ce dernier, horrifié, regarda l'homme transporter son chameau, craignant pour la santé de la bete. Mais Sadoruro reposa alors la bete au sol, et cell-ci, estimant qu'elle avait eut assez de sensations pour le reste du mois, s'en alla directement dans son enclos sans demander son reste. C'est a peine si elle ne ferma pas la porte de l'enclos elle meme.

"Et voila, et de un !" dit fierement Sadoruro. "Plus que dix ! Mais je me demande ou ils sont.

Sadoruro, ne laissant meme pas le temps a l'homme de lui faire des reprimandes, disparut alors derriere une dune.

Gravissant une dune de sable, Sadoruro eut bientot une bonne vu en contrebat. Il chercha donc ce qui pouvait ressembler a un chameau, pas facxile me direz vous dans un desert, et c'etait vrai, c'est pour cela que plutot que de voir en detail, il se contenta de regarder toute chose qui bougeait. Et ce fut fructueux, car meme avec les robe aux couleurs du desert, les deux chameaux qui etaient en contrebas, batiffolants inocement, ne purent lui echapper. Et c'est comme cela que deux chameau purent une fois dans leur vie admirer avec de grand yeux ronds un cinglé devaller une dune de sable haute d'une dizaine de metres... en plein dans leur direction.

"Yyyyyyyyhaaaaaaaaaa !!!!!" cria Sadoruro en premier lieu, devalant la pente a toute vitesse.

"Aaaaaaaiiiiiieeeeee !!!!!" cria t'il en second lieu, en heurtant le bout de rochers qui sortait la, au mileu de la dune, et qu'il n'avait pas vu.

"Aaaaaaaaaahhhhhhhhhh !!!!" cria t'il en dernier lieu, alors qu'apres avoir fait un triple salto manqué en l'air, il etait retombé sur le flanc, et degringolait la dune tantot sur les fesse, tantot sur la tete, tantot sur le dos, bref, les quatres fers en l'air.

Boum bam bim... reboum rebam rebim... Sadoruro degringola la pente a toute vitesse, du sable partout, puis finit par s'arretter en bas de celle-ci; Pendant un moment, il aurait juré voir les deux chameaux se mettre debout sur leur pattes arrieres et sortir deux pancartes, l'une avec un huit, l'autre avec un sept.... Mais non, ca devait etre dut a la chute et a la chaleur.

Bref, passons. Sadoruro se releva, pour enfin se retrouver nez a museau avec deux chameau ruminant tranquillement en le regardant. Ceux-la ne semblait pas farouche, et de plus, par chance, avait une cordellette autour du coup, chacun d'eux deux. Mais ce ne fut tout de meme pas un mince affaire pour parvennir a tirer ces betes tetus jusqu'a l'enclot.
Mais bon, a force de perseverance, de ruminage dans sa barbe, apres etre passer deux fois tres pret de se payer un steak de chameaux, Sadoruro finit tout de meme par ramenner les deux betes dans leur enclots, duquels il referma la porte, afin de ne pas les laisser se reechapper.

Pfiou, ceux la n'avait pas été si facile que cela. Allez, plus que 8.

Apres avoir but goulument la petite bouteille d'eau que l'homme lui avait apporté servillement, Sadoruro repartit a travers les dunes, recherchant les autres abrutis de chameaux n'ayant que la seule envie de gambadder tranquillement. Mais cette envie allait a l'encontre de celle de Sadoruro. Et ce n'est quand meme pas des chameau qui vont faire la loi, non d'diou !

Quoique...

Apres avoir ramenné les deux chameau les plus abrutit de toute la creation, Sadoruro devait deja repartir, apres avoir juste engloutie presque avec le plastique la bouteille d'eau que lui avait tendu l'homme.

Et rebellote ! Ce coin etait vachement grand pour un coin quand meme !
Apres une bonne dizaine de minutes d'escalade de colline, Sadoruro apercut enfin quelque chose au loin... C'etait bizare, on aurait dit un grand cactus vert avec six mini-dunes tout autour de lui... Mais il avait des berlues ou quoi ? Ca devait etre le solei... Insatisfait de sa vision, il plissa les yeux, mit sa main au dessus de ses yeux pour mieu voir (comme les indiens, car si tu la met devant, tu voit plus rien !).

Etrange, ces dunes semblait se prolongé en un espece de cylindre a la forme bizare, terminé au bout par une tache noir... Soudain, un des cylindre se releva... et oui, c'etait une tete de chameau !

A l'assaut !!!!!! Sadoruro coura comme un deraté pour attraper les chameaux. Ce coup ci, il fit bien attention a regarder par terre pour ne pas encore trebucher sur un rocher ! Il courait vite, vite !

Et puis, quand Sadoruro releva la tete pour voir si les chameaux avait bougé, la seule chose qu'il vit, c'etait du vert. Un bon gros vert verdatre.

BANG....... AAAAAAIIIIIIIEEEEEE !!!!!

Sadoruro venait de se prendre le cactus (ou cas ou vous ne vous en seriez pas douté). Il etait collé et remplit d'epine. Avec beaucoup d'effort, il se decolla de la plante epineuse. D'ailleur, cette pauvre plante avait encore sur elle la marque de Sadoruro, vagement en forme de 9.

Et puis, vous le croirez jamais, mais Sadoruro entendit rire a coté de lui ! Oui, c'est les hyennes qui rient, mais la, c'etait vrai. Quand il se retourna furax, il se retrouva devant... trois chameaux couché par terre qui ruminait tranquillement... decidement, plus ca allait, plus elle etait bizarre cette mission.
Ces trois chameaux la se revellerent moins abrutie que les deux precedements, il se laisserent rammené sans trop de difficulté, enfin, pour Sadoruro...

"Pfiou, plus que cinq" dit Sadoruro en enfermant les trois chameau dans l'enclos, une fois revennu au camp.

Il attrapa alors la bouteille que lui tendait le petit homme, l'ouvrit, en but un petit peu, puis versa le reste sur sa tete.

"Pfiou, ca fait du bien ! Bon, allé, allons retrouver ces cinq derniers fuyard !"

Cette fois ci, les chameaux furent plus difficile a trouver, et surtout, plus long. Ils etait partit loin cette fois ci.

Sadoruro marchait depuis plus d'une demi heure quand il appercut enfin les dix dernieres bosses, a l'ombre d'un palmié, ou bord d'une minuscule oasis. Mais quelque chose semblait bizare: il semblait qu'un chameau etait couché sur le coté, haletant, alors que les autres s'etaient rassemblé autour de lui. Quelque chose s'etait passé, et ce n'etait pas bon. Sadoruro accoura alors, traversa l'assemblement des quatres chameaux, et alla regarder le dernier, couché sur le coté.

Sa respiration etait sacadé, son torax montait et descendait anarchiquement, mais au moins, il respirait. Sadoruro remarqué alors sur sa jambe une petite marque noir: sans aucun doute, le pauvre animal s'etait fait piquer par un scorpion. Et Sadoruro savait que les venins des scorpions de cette region etaient de puissante neurotoxine, et que le pauvre animal devait deja avoir quelques defaillances sur sa respiration.
Mais la masse importante de la bete devait lui garantir un peu de sursis, mais si il n'etait pas soigné, le pire allait arrivé.

Sadoruro chargea alors la bete sur son epaule, et prit la direction du campement, suivit par les quatres autres chameaux, qui apperement preferait laisser tomber leur petite fugue pour aller soutenir leur ami.
Sadoruro coura alors du plus vite qu'il put vers le campement, et fit le trajet en une vingtaine de minutes. L'etat du chameau, par chance, ne s'etait pas agravé durant ce laps de temps.

Sadoruro arriva alors au campement, deposa le chameau delicatement au sol, et courut prevenir le proprietaire.

"Vennez vite, un de vos chameau a de gros soucis !."

L'homme sortit alors en trombe de sa tente, et accoura au chevet de l'animal.

"Au non ! Il s'est fait piqué par un scorpion ! Vite, allez me chercher l'antidote."

Pendant un moment, Sadoruro eut peur que l'homme s'adresse a lui, mais il se rendit compte au final qu'il parlait a un de ses valets, qui lui savait ou se trouvait la trousse a pharmacie. Ce dernier, apres s'etre eclipsé pendant quelques secondes, revint alors, et cria a l'homme.

"Nous n'en avons plus !"

Le petit homme devint rouge de colere.

"Si je met la main sur celui qui etait scencé preparer les medicaments ! Huuuummmm !!!!!!"

Puis il se tourna vers sa bete.

"Au non, c'est affreux ! Comment allons nous la sauver !?! Il faudrait retourner au village, cerhcer l'antidote, mais nous n'aurons jamais le temps !"

"Laissez moi essayé." dit alors Sadoruro. "Donnez moi l'argent, j'irait jusqu'a la pharmacie, et je vous rammenerait l'antidote."

Les yeux de l'homme se remplirent d'espoir ! Il donna repidement a Sadoruro l'argent necessaire, puis lui indiqua alors le bon medicament.

"Il faut que tu prennent de l'extrait de xenophion ! Surtout, prend celui la, et rien d'autre !"

Sadoruro acquiesa alors, puis partit en courant vers le village.
Il savait qu'il n'avait pas beaucoup de temps, et le village semblait tellement loin.
C'est alors que Sadoruro se rendit compte qu'a cette allure, il n'y arriverait pas.

"Je ne peut pas laisser mourir cette pauvre bete, seulement pour quelques minutes. Non, ca serait trop injuste. Ca va faire mal, mais il me reste encore un espoir. Il faut que je l'utilise. Je recupererait."

Il se concentra alors sur lui meme. Au fond de son etre, il apercut alors une petite boule bleuté. Il se concentra alors sur cette petite boule bleu, et la visualisa se cassant, se fragmentant. Instantanement, Sadoruro sentit une decharge d'energie dans tout son corps.

"La premiere porte, la porte de l'ouverture, est ouverte !"

Il se sentit alors decoller. Ses jambe, bien que lui faisant mal, le portait a une vitesse que seule son esprit controllait. Ses muscles avaient depassé le cadre de leur utilisation, et leur performances n'etait plus qu'en lien directe avec son esprit.

Il traversa alors le dersert, soulevant derriere lui des gerbes de sable. Il passa bientot les portes de Suna comme une fusée, et traversa les rues a toute allure. La pharmacie etait la, devant lui.

Il y entra, et demanda instantanement de l'extrait de xenophion, que la preposé, assez terrifiée, lui donna directement. Sadoruro laissa tomber quelques pieces sur le sol avant de repartir, de retraverser les rues de suna, de repasser les portes.

Il retraversa le desert a toutes allures. Ses jambes, desormais, lui faisait horriblement mal, mais il se forca a accellerer encore. Peu de apres, il arriva au campement, et s'arretta devant l'homme aux grands yeux ahuris. Sadoruro lui fila une petite baffe pour le reveiller, et lui colla le medicament dans la main. Puis il laissa retomber les effets de la portes. A l'interieur de lui, la boule bleu se reconstitua, et se referma.

Sadoruro s'efondra a genoux, atrapant ses jambes dans ses bras, a cause de la douleur. L'homme revint alors le voir, pour lui dire que l'animal etait hors de danger. Ca y etait, il avait finit sa mission... Ces chameaux devaient vraiment lui en etre reconnaissant.

Sadoruro laissa passer quelques dizaines de minutes seul, afin de laisser a la douleur le temps de se dissiper, puis, apres avoir reclammé a l'homme son bulletin de fin de mission, qu'il lui donna quasi instantanement tellement il etait heureux, Sadoruro repartit en boitant vers le village.

Il avait bien merité un bon somme.

[Fin de la mission]