Une homme, une proie. So Kishin.

Nom : Kishin

Prénom : So

Surnom : Hideto

Age : 25 ans

Description : So a toujours été frêle, fragile. C’était un enfant malade. En grandissant sa constitution s’est légèrement forcit mais malgré une taille raisonnable, 1 m 83, il ne dépassa jamais les 70 kg. Son visage est androgyne, d’une grande pâleur et souvent maquillé. Ses yeux, à l’origine, étaient noirs mais sans doute à cause de son abus des drogues dures, ses yeux ont pris une légère teinte rouge .On ne peut pas dire que sa morphologie est réellement changé, curieusement sa taille est demeurée la même.

Histoire :

I_ Son ENFANCE

Il est difficile de résumer en quelques lignes, une histoire aussi complexe que celle de So. Pour commencer, So, n’a jamais eu de père, ni de mère. En fait pour faire simple, il n’a jamais eu de famille. A peine né, il était déjà abandonné, par sa mère. Son père, lui, avait déjà quitté sa mère en apprenant qu’elle était enceinte.

Situation Géographique : Le monde dans le quel vit So ressemble étrangement au Japon et il se situe a peu près a 150 KM au dessus du monde Ninja. Ainsi, ils n'ont pas d'influence la bas.

On peut se demander, dans ces conditions pourquoi l’a-t-elle gardé ? Tout simplement parce qu’elle vivait dans un petit village à la périphérie de Tokyo, où les mœurs n’étaient guères évolués et si il était très mal vu d’être une fille mère, le fait d’avorter était un crime. Notre jeune héros est né au beau milieu des années 80, époque où le Japon commençait à réellement prospérer, et sortait définitivement la tête de l’eau après le Seconde Guerre Mondiale. Pourtant dans ce Japon moderne, de grandes disparités commençait à apparaître entre les classes, et So en allait une des futures victimes.

Sa mère l’abandonna dans un chantier abandonné, en le mettant dans un carton, avec certes quelques trous, mais le Soleil était à son zénith, durant cet été de canicule et celui-ci tapait avec violence sur cet enfant à peine né. La chaleur que provoquait l’enfermement, étouffait le bébé mais celui-ci était de faible constitution, et il restait là sans pleurer. C’est du moins ce qu l’on aurait pu croire si l’on avait aperçu cette boîte, de loin, rapidement. En fait, la vérité était tout autre, il tentait de pleurer mais rien ne sortait de sa gorge, elle était nouée, ses poumons brûlaient, il était au bord de la déshydratation.

Pourtant le Ciel ne voulût pas de lui, du moins pas pour l’instant, car un paysan passa à ce moment-là et vit cette petite boîte, se demandant ce qu’un tel objet pouvait bien faire dans un endroit pareil. Il s’approchât, la prît et l’ouvrît. Quelle ne fut pas sa stupeur lorsqu’il découvrît ce frêle bébé, au bord de l’agonie. Paniqué par l’idée de voir mourir cet enfant, il se précipitât à l’hôpital. Son cœur battait, il était haletant, il refusait l’idée de voir cette créature disparaître alors qu’elle venait à peine de découvrir la vie. Il mentît à l’hôpital en disant que c’était son petit fils, car cette personne au grand cœur commençait à être âgé, et avait déjà vu 70 printemps.

Sa femme et lui, n’avait jamais eu d’enfants, et c’est avec une joie non dissimulée, qu’après sa sortie de l’hôpital, ils décidèrent de l’élever et de l’éduquer. Ils s’agissaient de pauvres paysans, vivant reclus, loin de toute civilisation. Il s’agissait d’agriculteurs à la retraite, leur amour pour cet enfant rescapé était immense. Une atmosphère tendre, et amoureuse baignait dans cette maison. So vécut ses premières années dans une insouciance absolue. Et préservé du monde extérieur, il fit ses premiers pas avec la réalité, lorsqu’il dû rentrer à l’école pour la première fois. Il avait 6 ans, c’était un garçon maigre et timide, marchant toujours tête baissé. Il n’aimait pas l’agitation des cours de récréation, et il servait de bouc émissaire à l’ensemble de sa classe. Mais il ne disait rien, il acceptait son sort, pleurnichant, mais sans mot dire. Ses « parents » commençaient à s’inquiéter de son comportement surtout que depuis quelques temps, il avait découvert un vieux phonographe dans une décharge et après l’avoir réparé, il passait des heures devant à écouter les différends disques qu’il avait volé, ou acheté avec l’argent de poche que lui donnait ses tuteurs.

En classe, il n’était ni brillant, ni cancre, il était tout simplement rêveur. Il préférait écouter les mélodies et les chants des oiseaux qui venaient se poser sur le bord des fenêtres de son école. Animé par la musique, il décidât de s’inscrire à la chorale de son école, il avait à l’époque 10 ans. Sa voix, enchantât, immédiatement tout le monde, il devint rapidement soliste et il fût l’attraction de ce village. Il permît à sa chorale de gagner le concours national des chorales, organisés chaque année. Quelques producteurs commencèrent à s’intéresser à lui, mais il refusât, s’estimant trop jeune de ce qu’il considérait comme ses grands-parents. Car ceux-ci lui avait toujours dit que sa mère était morte en le mettant au monde et que son père, c’était fait hara-kiri peu de temps après, en apprenant la faillite de son entreprise. Le jeune enfant ne s’était jamais posé la question de savoir si cette histoire, était vrai ou fausse, pourquoi, ses grands-parents lui auraient ils menti ?

Malheureusement, cette année là fut aussi l’année de la tragique disparition de son grand-père, il venait d’avoir onze ans. La tristesse et la douleur réapparaissait dans sa vie, sa grand-mère l’incita donc à la quitter pour aller tenter sa chance à Tokyo en tant que chanteur, mais celui-ci à nouveau refusa, voyant sa grand-mère malade et ne voulant à aucun prix la laisser seul, il la soutint jusqu’à son dernier souffle. On peut dire que son soutien, la préservât quelque temps, puisqu’elle ne mourut qu’à la veille de ses 14 ans. Il aimait ses grands-parents, ils représentaient tout pour lui et malgré son succès à la chorale, il ne s’était jamais fait d’amis. Pourtant avant de mourir, elle ne se sentit obliger de révéler la vérité à So, celui-ci en fut choqué. Il ne savait plus où il était, seul, désemparé, il se rendait compte, qu’il n’avait jamais eu de famille.

Mais peut-être que sa mère était toujours vivante, quelque part dans Tokyo, et il partit vers la capitale, emplit d’espoir et de désespoir. Il se disait que peut-être en devenant célèbre, il pourrait engager les recherches afin de retrouver sa génitrice, celle qui l’avait abandonné. Mais peut-être avait elle une bonne raison ? Pourtant au fond de lui, il savait qu’elle avait voulu le tuer. Il arrivât à Tokyo, il avait 14 ans, il quittait le Paradis pour l’Enfer.

II_ TOKYO

Les rues étaient sombres, ils ne savaient pas comment faire pour survivre. Il s’était présenté au près de plusieurs producteurs, mais sa voix avait mué et elle ne correspondait pas aux critères de modes à l’époque. Il avait aussi changé son nom, il n’avait pas gardé le nom de ceux qui l’avaient élevés mais il décidât de prendre le nom de son compositeur préféré : Takemitsu. Il portait un respect et une admiration sans limite pour ce compositeur japonais.

Mais il fallait bien vivre, et sans le sous mendiant, il tombât dans un des quartiers les plus sombres et les plus mal famés de Tokyo. Là, un proxénète, le remarquât, il remarquât plutôt ce corps frêle et ce visage beau, froid, et androgyne. Car So était beau, il n’était sans doute pas l’athlète que montre les magazines mais son visage effaçait tout ses défauts. Celui-ci, devant une beauté si fragile, lui promit qu’il gagnerait bien sa vie s’il s’habillait en femme et faisait don de son corps aux clients, fréquentant ce quartier des Plaisirs.

Il fut rapidement malgré son jeune âge, la coqueluche du quartier, et il réussit à vivre quelques temps de cela mais son dégoûts pour ces lubriques qui abusaient de lui, se muât en une sourde vengeance, il avait 15 ans lorsqu’il avait commencé ce métier, aujourd’hui deux ans s’étaient écoulés et un limon de dégoût avait envahi son cœur. Pour se faciliter la tâche, il se droguait à l’ecstasy, au LSD, à l’héroïne, cela lui permettait d’oublier les blessures de son âme. Il lui arrivait de se remettre à vivre, lorsque le bar où il était exploité, l’autoriser à aller chanter sur leur scène, mais en entendant sa voix, les clients abondaient chez lui et c’est comme cela que vint son premier assassinat. Lassé de toute cette mascarade, au moment où l’homme se déshabillât, il lui tranchât la gorge. Ce meurtre fut assez facilement masqué, mais So continuât à tuer, tous les clients qui voulaient profiter de lui. La situation devenait intenable pour le Quartier car la Police devenait de plus en plus pressante et commençait à se douter de quelque chose.

Heureusement pour So, ses victimes étaient des hauts fonctionnaires ou des chefs d’entreprise très respectés, et les autorités masquait ces crimes en suicide afin d’éviter qu’un scandale rejaillisse sur les familles des victimes.

Ce soir-là, notre éphèbe chantait, un homme s’approchât de lui… Et il lui proposât de le sortir de cet endroit. Il était producteur et il aimait sa voix. Il le soutiendrait et il deviendrait une Rock Star, ce fut sa promesse et il la tint. Car à 18 ans, les filles étaient folle de son look gothique rouge, de ses cheveux retombant et de ses yeux rougis par la drogue qu’il continuait de prendre, il avait pris comme nom de scène « Hideto shiyo o jin'sei» en référence à son visage translucide. Ses chansons firent un carton dans les charts, les fans venait dans sa loge et il n’hésitait pas à en abuser, se vengeant de son passé, aveuglé par sa gloire, aveuglé par la revanche qu’il prenait sur la vie. N’hésitant pas à supprimer, quelques fans qu’ils jugeaient trop encombrants, juste pour le plaisir de sentir leur gorge se craquer sous ses doigts frêles. Ils aimaient ressentir leur dernier souffle au moment de leurs étreintes. Il y prenait un plaisir jouissif, ses sens s’en trouvaient décuplé.

Pourtant son producteur, acceptait de moins en moins ce comportement et même si cela était arrivé rarement, il fallait que cela cesse. De plus, le succès de So commençait à faiblir, et il trouvait qu’il manquait quelque chose à sa voix. Inquiet, violent compulsif, il se tranchât la langue afin de trouver un nouveau son pour celle-ci. Le résultat ne se fit pas attendre, tout le monde adora la nouvelle manière de chanter, il avait 21 ans et il participait aussi à l’écriture de nombreux morceaux qui furent des cartons au Japon, il écrivît notamment en collaboration « Forever Love » du groupe X-Japan et "Chance" du groupe Uverworld ainsi que quelques autres chansons de leur album.

Sa côte d’amour était remonté, et semblait à son firmament, lorsqu’il rencontrât la fille qui bouleversa la fin de sa vie. Elle s’appelait Chiikioi, elle était brune, le visage fin, élégant et de grands yeux ébène lui donnaient un air mystérieux. Elle était venue le saluer à la fin d’un concert, même si elle n’était pas particulièrement fan, elle appréciait ce que faisait So et ce fut un véritable coup de foudre.

Pourtant celui-ci avait fermé son cœur à tout amour, il ne savait plus ce que cela signifiait lui l’orphelin que ses parents avaient tenté d’assassiner. Quelque chose de nouveau apparût dans son cœur, comme un rayon de soleil. Les moments qu’ils passaient ensemble, le temps s’arrêtait, plus rien ne comptait, tout n’était que passion et son inspiration rebondît à nouveau et elle devint sa muse. Mais il prît peur, il venait d’entendre que Takemitsu venait de décéder, et il sentit un grand vide en lui. Chiikioi était à ses côtés, tentant de le soutenir, mais son cœur de glace pouvait il accepter une brûlure aussi intense, était-il sûr de l’aimer, et si c’était le cas n’allait-elle pas l’abandonner ? Ainsi il étranglât Chiikioi. Ses mains se serraient sur son cou. Pourtant l’excitation n’était plus la même, il se rendait compte qu’il ne devait pas. Elle lui souriait. Pourtant ses doigts restaient agrippés, serrant de plus en plus fort. Il pleurait. Elle le regardait. Et pour la première fois, alors qu’elle allait mourir, il lui déclarât dans un murmure :

« Pardonne moi… Je t’aime… »

Ce fût le crime de trop, et le scandale éclatât, tout son passé fût révélé, ses anciens meurtres découvert. Le scandale plongeât à nouveau So dans la misère, et la connaissant suffisamment il décida de se venger en devenant assassin de première classe.

III_ Ninja

Après quelque année de massacres, tueries et assassinats il voulu arrêté mais il ne put s'en empêcher, il avait perdu émotion et sentiment, il avait oublier Chiikioi. Malgrès tout, il avait trouvé un livre. Pas n'importe quel livre. Lorsqu'il était encore tueur en série, il était allé dans une bibliothèque celèbre, celle de Kyôto. Il ne faisait pas que tuer, il volait également. Un livre, nommé "Shinobi", lui avait revelé qu'un deuxième monde complétement différent du leur existait. Son visage s'était brusuement arrété sur le village d'Oto, ou le chef, nommé Orochimaru, l'intrigua : c'était un tueur sans pitié. Comme lui. Les jours passèrent et il n'eut plus de client, alors depuis peu il partit errent de village en village,foret en foret, montagne en montagne,paysage en paysage....Puis un jour il rencontrait une personne plus jeune triste,c'était une fille de 12 ans environ. Elle était vêtue de vêtement déchiqueté par le temps et les rats, un visage sale mais saint en même temps, elle avait toujours le sourire au visage comme si elle était heureuse malgré sa pauvreté. Il la recueillis car elle lui as ouvert l'esprit avec son air si triste qui était caché au fond elle même, il la soigna, lui offrit des vêtements propre et neuf, puis je la laissa dans le rue avec 1000 Y. Elle était encore plus triste que joyeuse, soudain elle hurla et pleurait quelques que gouttes de larmes.

"Ne me laisse pas,ne me laisse pas,s'il te plait!!!!!Je veux resté avec toi je serai ta garde apprend moi a tuer a assassiner"

Elle lui fit de la peine au fond de son cœur avec cet air triste et mélancolique, et répondit avec un sourire heureux.

"Bien, suis moi nous partons alors dans un village sous le nom de ... de... d’OTO."

Alors les deux nouveaux compagnons partir vers Oto. Les semaines passèrent et Oto n'était toujours pas en vue, la jeune fille avait dévoilé son nom durant le voyage, Hinoi Asuka. Les jours passèrent elle s'entraînait durement afin d'arrivé à un au niveau. Elle s'était nettement améliorée en vitesse et précision, de même qu’en force cela dit son physique ne changea pas, elle restait toujours aussi féminine… Peu après avoir terminer de manger dans un village, ils allèrent discuter avec le chef du village pour avoir des renseignement sur le village caché, mais ils n'obtenurent presque rien hormis qu'il fallait être très prudent alors le chef leur proposa de s'entraîner d'avantage et de passer le test du village mais ils n'avait nullement besoin de s'entraîner, cela n'était que perte de temps. Alors ils reprirent la route en direction de Oto. Un mois après, de long marche, avec de nombreux combats contre les brigands et de dur labeur, ils arrivèrent enfin, heureux et épuisé à Oto, le repère du célèbre et cruel Orochimaru...

IIII_MARIONETTES & MASSACRE

Par « chance », Oto avait mis la main sur un élément très…prometteur.

Il avait suivi un enseignement certes baisques, mais vital pour un ninja "apprenti". C'est ainsi qu'il se retrouva comme un simple Esclave d'Orochimaru. Mais cela ne le dérangeait pas le moins du monde. Se contentant de cet entraînement, le jeune garçon avait eu vent que des armes terribles arrivaient du village de Suna, le pays du vent : c'était des marionettes. Bien sur, il ne crut d'abord que ce n'était que des gros pièges, mais quand on lui apprit qu'avec le simple contrôle du chakra, on pouvait manipuler un engin de cette taille, il en resta bouche bée.

Ayant de suite été fasciné par les merveilles que les marionnettes spécialisées dans les assassinats pouvaient faire, en commençant son apprentissage de ninja, il put en manipuler une, par accord de l'Otokage, qui se dit qu'un ninja de si petit pouvoir ne pouvait ni nuire, ni même abîmer la chose. Il faut croire qu'il avait tort.

Par mystère, So avait comme un don caché pour manipuler cette marionnette : ses cheveux brillèrent de milles feux, et le sourire que So avait lorsqu’il faisait quitter la vie des corps de ses victimes refit surface sur son visage. Hinoi, qui voulut aider à contrôler le jeune garçon, le paya. Très cher. Trop cher même. Les yeux de So se révulsèrent, ne laissant plus que place à un psychopathe sans merci. Plus de dix ninjas haut gradés perdirent la vie en essayant de canaliser l’énergie du jeune garçon. Ayant été tout de même remarqué par son potentiel énorme, il fut « nommé » temporairement Jounin en attendant qu’on analyse ses compétences ainsi que sa capacité pour tuer. Comme Orochimaru le faisait, il adorait rencontrer de nouveaux « barbares » sanguinaires qui ne cherchent que le sang et la violence. Il avait trouvé sa prochaine « proie ». Elle se nommait So. Kishin So.

Bienvenu à Oto,

Tu commencera Genin soit Serviteur d'Orochimaru, tu peux faire ta fiche techniques. Si tu veux créée une marionnette tu peux m'envoyer un mp avec ses caractéristiques et ses techniques en prenant exemple sur des marionnette existante bien sûr j'effectuerais des modifications si nécessaire. Tu gagne aussi 7 Xp pour ta présentation.

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