Planete Naruto
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 Appartement de Kyuuden Akegata

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Kyuuden Akegata
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Kyuuden Akegata


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MessageSujet: Appartement de Kyuuden Akegata   Appartement de Kyuuden Akegata Icon_minitimeDim 27 Mai - 3:57

Kyuuden était passé récupérer sa récompense au bureau du Kazekage après avoir terminé sa mission à l’arène, et il était exténué. Il se préoccupait de son avenir, les questions envahissaient son esprit tout au long de la journée. A bout de forces, il enleva ses sandales et s’allongea sur son matelas posé à même le sol, tout habillé. Il clos ses yeux et s’endormit… Dans son sommeil, un rêve se dégagea des brumes de son esprit…

- Ca fera deux ryos, assena le tavernier en posant le verre de saké sur le comptoir.
- Je peux payer par carte ? demanda Kyuuden sans relever la tête.
- Non mon gars, et si t’as pas de quoi payer, va t’en et ne remet plus les pieds chez moi.

Kyuuden releva sa capuche noire pour toiser son créditeur de son regard doré caractéristique des habitants de Suna. C’était un homme d’une quarantaine d’années, ruisselant de sueur, l’œil torve.


- Alors, cet argent, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ? la maison ne fait pas crédit !

Avec un soupir d’exaspération, Kyuuden sorti une pièce de sa bourse et le déposa sur le comptoir. Une lueur d’intérêt s’alluma dans l’œil du tavernier lorsqu’il entendit tinter la pièce sonnante et trébuchante.

- C’est de l’or, fit il, incrédule.
- Une autre saké, tavernier. Et pas de glaçon, cette fois.
- Tout de suite, shinobi-sama !

Kyuuden profita de ce que le tavernier s’affairait au bar pour examiner la clientèle de l’auberge. Des saoulards en train de se faire détrousser par les courtisanes, des mercenaires, des hommes d’armes, quelques pêcheurs venus se détendre avant de retourner au travail. Personne n’avait l’air très gai. Mais qui aurait pu l’être, au pays de l’Eau, en ces temps de trouble ? Entre les rafles des gardes du Mizukage et les intrusions des shinobis du village caché de Kiri, il était impossible d’avoir la paix un instant, et il n’était personne dans la ville qui n’ait eu un proche emprisonné ou n’ait assisté à une exécution publique. D’ailleurs, il entendait déjà des pas cadencés par la porte qui donnait sur la ruelle. Des shinobis venus asseoir leur autorité ou des miliciens avides d’or et de vin, s’interrogea Kyuuden, l’ombre d’un sourire narquois étirant ses lèvres, tandis qu’un silence de glace s’abattait sur l’auberge. Même les musiciens s’étaient tus, laissant planer au dessus de leurs têtes une atmosphère plus lourde que du plomb.

- Par les dieux, il est donc impossible de boire un verre ou deux tranquillement dans cette ville de fous ? s’écria quelqu’un, en fracassant sa chope sur le comptoir.

La porte à double battant s’ouvrit à toutes volée, dans un grand fracas de bois brisé, tandis qu’un héraut du Mizukage entrait et proclamait d’une voix forte, en lisant un parchemin qu’il venait de déplier devant lui :

- Suivant le décret 82, et par ordre du grand Mizukage, Zabuza Momochi, le ou les tenanciers de la taverne dite du Dragon de Glace sont en état d’arrestation pour le motif de lèse-majesté, et tous leurs biens confisqués par la même occasion pour une durée indéterminée. Tout le monde dehors !

Aussitôt, les gardes restés stationnés à l’extérieur pénétrèrent dans la grande salle, torche et lance en main, et entreprirent de faire évacuer la taverne. La foule, les cris, les gardes.
Tout cela répugnait Kyuuden. « Je vais passer par la porte de derrière » pensa-t-il. Il s’engagea rapidement dans les cuisines, tandis que les premiers émeutiers se manifestaient en lançant des projectiles sur les miliciens. Kyuuden déboucha dans ce qui semblait être une cour alors que les premiers tirs d’arbalète se faisaient entendre derrière lui. « Par le sabre de Gama Bunta, un cul de sac ! Trop tard pour faire demi-tour, on me prendrait pour un fuyard et on m’abattrait aussitôt. Autant essayer de grimper à un de ces murs. ». Cependant, si Kyuuden avait hérité des aptitudes de shinobi de son père, de sa force et de son agilité, il ne saurait en aucun cas faire preuve d’une dextérité suffisante pour monter les cinq mètres de granit lisse que constituaient le mur. Aussi, entendant dans les cuisines les pas d’hommes en armure qui se rapprochaient, il fit volte-face, décidé à user de ses pouvoirs s’il le fallait.
Car des pouvoirs, il en avait. Né dans le prestigieux village caché de Suna, au sein du pays du Vent, Kyuuden avait suivi des cours dans la renommée Académie Ninja de Suna, tout comme ses aînés et ses ancêtres. Il avait eu le temps d’étudier beaucoup des secrets des shinobis, parvenant même à mettre la main sur des parchemins de techniques interdites, avant… Avant l’incident. L’incident qui l’avait conduit ici, dans cette ville perdue au milieu d’un pays misérable dont tout le monde se fichait, à boire l’infect alcool local en compagnie des plus repoussants habitants des bas-quartiers.

Kyuuden fut tiré de ses pensées par les cris d’un des gardes qui venait de débouler dans la cour, l’arbalète rivée sur lui. Il entendit le bruit sec du carreau qui se détachait de la cornée de l’arme, qui fendait l’air dans sa direction. Comme toujours dans ces moments intenses, Kyuuden sentit le temps se figer. Une profonde mélancolie l’envahit. Tout en se jetant sur le coté, il prononça le mot « Raykuu ! » et tendit la main vers le soldat. Le chakra affluait le long de son bras. Le bout de ses doigts crépitait. « Pauvre gosse, se dit-il, sincèrement désolé. Il ne doit pas avoir plus de seize ans. ». La boule de foudre atteignit sa cible en pleine poitrine. Elle n’eut qu’un faible sursaut, un hoquet de douleur, puis le corps carbonisé s’affaissa enfin, mort sans même avoir eu le temps d’atteindre la fin de sa première journée au sein de l’armée.

Kyuuden rabattit sa capuche sur sa tête et, prenant appui sur la cabane abritant les latrines de l’auberge, se jeta sur le toit de chaume. Il n’y avait plus un instant à perdre. Il sentait déjà l’odeur de brûlé, les miliciens avaient certainement du, devant trop de résistance, mettre le feu à l’auberge. Kyuuden pressa le pas, les poutres du toit cédant une à une devant l’incendie. Les flammes lui léchaient la cape. Après une dernière foulée, il sauta dans la rue au moment même ou le sol s’écroulait sous lui… pour atterrir juste au pieds d’une patrouille.


- Tiens tiens, un fuyard. Alors, jounin de Suna, on se promène ? fit un ninja de Kiri, tout en levant sa masse d’armes haut au dessus de la tête du shinobi.
- Non, attendez, je…

Choc. Douleur. Noir.

Combien de temps s’écoula ? Une minute, une heure, un jour ?

Dans un espace hors du temps, toute la vie de Kyuuden défila devant ses yeux clos. Son enfance à l’auberge de sa mère, ses premières veillées d’armes avec ses frères Renards Gris, le genjutsu tragique qui coûta la vie de sa famille, les cours à l’Académie. La mission de rang A qui lui avait été confiée, à lui, à qui l’on faisait confiance. Sa fierté lorsqu’il avait appris que c’était lui qui avait été choisi. Sa première mission de cette importance… Sa dernière mission. Protéger un éminent membre du conseil. Comment tout avait basculé, l’attaque rapide des déserteurs de Kiri, son impuissance à les repousser, le déshonneur subit, son bannissement. Enfin, son exil au pays de l’Eau pour retrouver cet homme, ce tueur borgne qui avait brisé sa vie. Il devait le tuer. Maintenant, c’était Kyuuden qui allait mourir. Quelle futilité… Quelle ironie…

Lumière. Douleur.


- Il s’en remettra. Vous pouvez l’emmener, fit une voix féminine.

De nombreuses mains gantelées agrippèrent le shinobi et le soulevèrent de la table ou il était allongé. Il tenta de reprendre ses esprits. Il avait mal, très mal. Un filet de sang lui coulait entre les yeux, filait sur l’arête de son nez, continuait jusqu’au menton pour ensuite goutter sur le sol. Il avait mal. Très mal. Il avait l’impression qu’un dragon avait élu domicile dans son crâne et essayait d’en sortir en hurlant et tambourinant sur les parois. Mais il vivait. Il allait vivre.

- Attention, je crois qu’il se réveille !

[i]Un mouchoir humide sur sa bouche. Une odeur douçâtre. La dernière pensée de Kyuuden fut pour son cheval Horatos, resté devant l’auberge, avant qu’il ne sombre de nouveau dans les méandres de l’oubli.

Pendant les heures qui suivirent, il reprit conscience par bribes. D’abord, une sensation d’étouffement. De manque d’air. Est ce une main sur sa bouche ? Il replonge dans le néant. « Tiens, il fait complètement nuit. Ai-je dormi si longtemps ? ». Il retourne dans le néant. « Qu’est ce que c’est que cette odeur ? Quels sont ces cris ? ». Il se rendort.

Ce n’étaient que des éclipses de quelques secondes, chaque fois, mais qui avaient goût d’éternité.
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Kyuuden Akegata
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Kyuuden Akegata


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MessageSujet: Re: Appartement de Kyuuden Akegata   Appartement de Kyuuden Akegata Icon_minitimeDim 27 Mai - 3:58

Au bout de quelques minutes, ou peut être quelques heures, il parvint à rétablir la réalité des faits. Il était allongé sur quelque chose de dur, peut être un banc, en bois, et on lui avait lié les mains dans le dos. Il lui semblait que tout bougeait autours de lui. Il ouvrit les yeux, doucement, craignant qu’une lumière trop violente ne lui blesse les rétines, mais l’obscurité régnait. Il se releva à moitié, et ce simple geste lui donna la nausée. Tout tournait. Il tenta de porter la main à son front douloureux, puis se rappela qu’il était attaché. Il examina les alentours. Il se trouvait dans une cage recouverte d’un tissu blanc, en mouvement. Peut être dans un chariot. Il se leva doucement, mais perdit brusquement l’équilibre alors que le chariot s’arrêtait net dans un grand crissement de gravier, à peine couvert par les hennissements furieux de plusieurs chevaux.

- Arrêtez la carriole, au nom du Shogun notre souverain ! cria une voix à l’extérieur.

Les pensées reprirent leur place dans l’esprit de Kyuuden qui achevait de regagner toute sa lucidité. Le shogun en question, Mitsuzo Hinaki, était au cœur des problèmes que connaissait le pays. Il avait été le conseiller et l’ami de l’ancien Mizukage pendant douze ans. Le shogun avait tenté et échoué un coup d’état lors de l’ascension au pouvoir du nouveau Kage, Zabuza, et avait du se retirer dans le sud du pays, où il avait constitué une petite armée. Depuis, le pays est au bord de la guerre civile, l’armée régulière est occupée par la guerre et l’économie est effondrée.

Un cavalier, peut être celui qui avait sommé le chariot de s’arrêter, retira promptement le tissu qui recouvrait la cage, puis dévisagea longuement Kyuuden tandis que derrière lui d’autres cavaliers dépouillaient le muletier, dont ils avaient fait leur prisonnier. Le cavalier, visiblement un haut officier d’après les insignes et décorations qui ornaient son plastron de cuir noir, brisa le cadenas de la cage de la pointe de sa lance.


- Vous pouvez sortir, citoyen. Il ne sera pas dit que le Shogun laisse ses sujets se faire emprisonner par les troupes de l’usurpateur !

Sur ce, les cavaliers, dont les armures étaient bien frappées aux armes du Shogun – un aigle dont le bec et les yeux laissaient s’échapper des flammes d’argent – reprirent la route au galop.

Kyuuden se retrouva seul, au milieu de la route. Complètement désorienté, il supposa tout de même, en raison de la nature des arbres alentours, qu’il se trouvait au nord de la cité. Il devait regagner la ville au plus vite pour retrouver Horatos, aussi, s’orientant grâce aux étoiles, il partit vers le sud. A peine une demi-heure de marche plus tard, il entendit de nouveau le bruit des sabots sur les pavés. Il se jeta promptement dans des fourrés, pour voir passer devant lui un homme en haillons, hors d’haleine, suivi de près par deux cavaliers. Ceux-ci n’étaient pas des partisans du Shogun, mais des hommes de main du Mizukage. Il brandirent leurs lances, et s’apprêtèrent à les abattre sur le fugitif.


- Non ! Laissez-moi ! Ahhhh ! hurla le fuyard tandis que les deux pointes d’acier s’enfonçaient dans son dos.

Un des cavaliers descendit de cheval et tata le corps inerte de sa botte, pour s’assurer qu’il était bien mort. Il remonta ensuite en selle, après avoir récupéré les armes et les avoir bien essuyé dans l’herbe.

- Eh bien comme ça, il ne nous emmerdera plus.

Les deux hommes partirent d’un petit rire, puis s’éloignèrent au galop, bride abattue. Kyuuden attendit quelques secondes, puis se précipita sur le corps encore saignant de l’homme.
Celui-ci tenait serré un petit papier dans sa main. Kyuuden l’extrait des doigts déjà rigides et le déplia. C’était un petit parchemin sur lequel était tracé au fusain une sorte de carte, au centre de laquelle figurait, inscrite à l’encore rouge, une croix. Kyuuden se fit la réflexion que c’était peut être du sang. Il s’éloigna promptement.

Le soleil achevait de se coucher, les ombres s’étendaient lentement sur la plaine. Au loin, dans les lueurs ocres du jour qui agonisait, Kyuuden apercevait les lumières de la ville. Il pressa le pas. Il songea que si des ninjas l’attaquaient à cet instant précis, affaibli et sans armes, il n’aurait pas de moyen de se défendre. Mais cela n’arriva pas, et bientôt il pénétra dans la grande ville. Il marchait au hasard des rues, hagard, éberlué par le spectacle qui s’offrait à lui :

La ville était la proie des flammes. Ca et là, quelques bâtiments brûlaient. La population effrayée se massait dans les rues, parfois tentait d’affronter les troupes du Mizukage, qui patrouillaient, arme et main et casque rabattu. Les avenues principales étaient barrées et les arbalétriers menaçaient quiconque s’approchait trop près. Plus loin, vers le nord, Kyuuden semblait entendre les éclats d’une bataille et le fracas des armes. Les sous-officiers sommaient tout le monde de rentrer chez soi ou de se rendre au poste de la milice le plus proche s’ils avaient des déclarations à faire au sujet d’un quelconque complot contre le Mizukage.

Kyuuden poussa un long sifflement ondulé, qui dura de longues secondes. Il s’y reprit à plusieurs reprises, puis senti le soulagement l’envahir lorsqu’il entendit enfin le bruit de sabots qui lui était si familier.


- Horatos… Enfin, te voilà…

Le ninja caressa longuement les poils noirs de son cheval qui blottissait ses naseaux dans le creux de son épaule, puis monta en selle.

- Allez Horatos, il faut partir d’ici, et vite !

D’un petit coup de talon, Kyuuden fit partir immédiatement sa monture au galop. Il franchit à toute vitesse les quelques rues qui le séparaient des portes de la ville, puis se retrouva enfin à l’extérieur de la cité incendiée. Galoper ainsi, les cheveux au vent, dans la douce tiédeur de la nuit tombante, lui procurait un plaisir indicible. Il emprunta un petit chemin qui slalomait entre les collines, à l’Est, dans l’espoir d’atteindre rapidement une auberge de voyage sur le bord de la route, lorsque deux sombres personnages sortirent de l’ombre, lui barrant le passage. Un troisième se posta derrière lui, lui interdisant toute retraite.

Un d’entre eux, un borgne à l’air patibulaire, s’approcha de Kyuuden, tout en jouant avec la lame de son sabre.


- Bonsoir mon gaillard. Tu m’as l’air bien fringué, pour un gars d’la ville ! Allez, aboule le pognon ou je te dessine un troisième trou du cul avec ma pointe !

Ses acolytes ricanèrent.

Le ninja n’eu qu’un simple mouvement à faire, et la ruade fut pour le brigand de derrière. Horatos, en bon destrier parfaitement éduqué, lui décocha un coup de sabot en pleine face. Il se cabra violemment et le borgne fut renversé avant qu’il n’ait eu le temps de pousser un cri. Quant au troisième, il fut plus chanceux : avec un hurlement de terreur, il prit la fuite et abandonna ses deux camarades, que le brave Horatos achevait de piétiner. Le shinobi descendit de cheval, tapota l’encolure de sa monture en signe de félicitation et commença à fouiller les corps. Il ne trouva que quelques piécettes, leurs armes et un croûton de pain.
Il ramassa le sabre d’un des rôdeurs, puis offrit le quignon de pain à Horatos. Alors qu’il s’apprêtait à repartir, il s’aperçut que le borgne était toujours vivant. Il était agité de soubresauts et tentait en vain d’agripper son arme. Kyuuden fit quelques pas en sa direction, ramassa le sabre et s’avança vers l’homme.


- Non ! Pitié messire, je ne voulais pas vous faire de mal… Pitié…

Dans l’œil du gisant, Kyuuden reconnut une lueur qu’il avait déjà vue, quelques années plus tôt. Une froide haine, mêlée de désir de vengeance et d’excitation le parcourut. Il avait reconnu l’homme. C’était lui, le déserteur. Lui qui avait souillé son honneur… Kyuuden approcha la lame de son sabre de la gorge du déserteur, et…

Kyuuden se réveilla en sursaut, en sueurs. Qu’est ce que c’était ? Un rêve ? Ca avait l’air tellement réel… Il se leva et alla se passer la tête sous l’eau. *Une prémonition ? Ne sois pas ridicule, Kyuuden…* Mais tout de même, un doute persistait dans l’esprit du genin tandis qu’il retournait se coucher. Dans le rêve, Kyuuden était jounin et avait bien cinq ans de plus… Qu’y avait-il de vrai dans cette histoire ? Quelque chose à craindre ? Kyuuden se rendormit, peu rassuré…


Dernière édition par le Dim 27 Mai - 4:29, édité 1 fois
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Mitsuomi
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MessageSujet: Re: Appartement de Kyuuden Akegata   Appartement de Kyuuden Akegata Icon_minitimeDim 27 Mai - 4:27

[3Xp, passage parfois incompréhensible]
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